Sous la pluie [PV Aeglos] Terminé

Ce jour-là, j'avais décidé de faire un petit tour en ville. Je n'y allais que très rarement, ce qui était peut-être un tord. Un fois sur place, je flânais autour des magasins, regardant un peu tout, mais n'achetant rien. Je portais des vêtement de couleur violette, se mariant parfaitement bien avec l'énorme barette dans mes cheveux. J'aimais beaucoup cette tenue. Elle était bien sur totalement différente de ma tenue de combat, un ensemble noir unie, avec une longue cape noire. Je la transportais d'ailleurs toujours avec moi, pour me protéger ou en prévoyance d'un combat inopiné. Je n'aimais pas beaucoup me battre sans elle en fait. Je continuais donc ma visite. Au détour d'une rue, je levais les yeux au ciel. Il était gris et menacant, mais depuis peu de temps. Quand j'étais partie de chez moi, il n'y avait que quelques nuages. Au moment où je baissais la tête, une goutte tomba sur mon nez. Tout de suite après, une trombe d'eau tomba du ciel. Me protégeant d'abord avec un dôme d'air, j'enfilais ensuite ma cape pour lacher ma technique. Heureusement qu'il n'y avait plus personne dans les rues, sinon, j'aurais pus me faire taper sur les doigts. Je marchais ensuite d'un pas des plus naturel. La pluie qui coulait sur le tissus ne me faisait rien, Je devais paraitre telle une ombre. Mais je m'en fichais, j'étais bien. Il n'y avait aucun temps que je n'aimais pas, a part celui qui précédait l'orage. La chaleur lourde de ces temps-ci me rendait colérique. Mais la pluie, aussi forte soit elle, ne me déplaisait pas du tout.

Je m'avançais dans les rues. Le changement de luminosité avait changé l'aparence de la ville et j'étais un peu perdue. Je regardais à gauche puis à droite, mais je ne reconnaissais vraiment rien. Puis, je sentis une préscence derrière moi. Je me retournais vivement et percuta la personne. Elle était vraiment très discrête pour être arrivé aussi prêt de moi sans que je m'en aperçoive. Après m'être excusé, je l'osbervais. C'était un homme, d'une vingtaine d'année. Les yeux gris translucide et la peau blanche, il avait de magnifiques oreilles d'elfe. Ses longs cheveux blancs était attaché en une demi-queue de cheval. Je reculais légèrement avant de me présenter. Je n'aimais pas beaucoup être trop près des personnes.

"Bonjour, je suis vraiment désolé, je ne pensais pas que vous étiez si pret. Je suis Nariwen Akikaze. Heureuse de vous connaître."

Je lui décrochais mon habituel sourire amical. J'avais toujours mon capuchon noir, qui cachait mes cheveux et ma coiffure. Le reste de ma cape cachait mes vêtement de couleur. J'espérais ne pas paraître trop mystérieuse, ou dangereuse. Après tout, cette cape n'était là que pour me protéger. J'attendais patiemment que l'elfe en face de moi se présente. Je me demandais aussi s'il savait que j'étais une elfe comme lui. Il n'y avait en effet que l'odeur pour le lui dire...

Aeglos aimait bien flaner en ville, trouver une perle rare et la refaire. Cela parait contradictoire mais il aimait la nature et ne supporte pas qu'on lui fasse du mal mais il tenait une boutique non loin de là, dans une petite ruelle adjacente de restauration d'ancien meuble en bois. En fait, il essayait de redonner une seconde vie aux objets tombé dans l'oubli. En ce moment, il n'avait pas trop de client. Il pouvait donc avoir du temps à lui. C'est donc avec cette idée qu'il parcourait les rues et les magasins à la recherche de n'improte quoi. Il se foutait de la nautre de l'objet. Tout ce qui lui tapait l'oeil, il prenait.
Il était habillé d'un pantalon de soie gris et d'un tee shirt blanc. Il avait toujours sa demi queue de cheval montrant ses oreilles. Il aimait bien voir la tete des humains lorsqu'il se baladait. Il avait avec lui, un manteau à capuche de couleur grise. Qu'il avait passé sous le bras.
Il eut un bruit qu'Aeglos connaissait bien. L'orage. Un orage approchait. Il en sourit. Il voyait déjà les humains courirent partout pour se mettre à l'abri. Heureusement qu'il avait prévu d'emmener sa veste. Il continua de marcher. Cette fois ci un grondement plus distinct se fit entendre et comme il l'avait prévu, les humains s'affolait déjà et courait partout pour se mettre à l'abri avant la tempete. Les nuages obscurcirent le ciel et cachèrent le soleil. Une soudaine baisse de luminosité rendait la ville bien triste et les rues furent vidés en très peu de temps. Il mit sa veste sur ses épaules ainsi que la capuche. Il aimait la pluie mais n'aimait pas etre mouillé par cette dernière. Il regarda le ciel. Il allait pleuvoir d'une minute à l'autre...Une goutte s'écrasa sur sa joue et Aeglos rebaissa sa tete. Qu'est ce que je disais?
Je marchais un peu plus vite essayant de trouver un abri ou un café où je pourrais rester au chaud et au sec avant de repartir vers mon atelier. Sans vraiment faire attention, je percutais une personne devant moi. Cette personne légèrement plus petite que moi, recula tout en s'excusant. J'eut un faible sourire. Je l'entedit me dire:

"Bonjour, je suis vraiment désolé, je ne pensais pas que vous étiez si pret. Je suis Nariwen Akikaze. Heureuse de vous connaître."

Aeglos sourit et baissa la tête dans un signe de politesse et lui répondit, posé:

-C'est moi qui m'excuse. Si je vous aurez vu, je me serais ecarté de votre chemin. Je m'apelle Aeglos. Je suis moi aussi heureux de vous connaitre.

Aeglos sourit et inspira discretement. Stupéfait il regarda à nouveau cette prénommée Nariwen. Une elfe? Ici? Certes, il en avait déjà rencontré mais cela fait toujorus bizarre de croiser un des siens. Il lui demanda poliment:

-Puis je vous proposr de vous abriter le temps que la pluie cesse?

Il attendit une réponse de Nariwen avant de continuer soit son chemin ou de l'emmener dans un café le temps que cette pluie affreuse cesse.

La personne qui venais de me percuter semblait à permière vue douce et polie. Il sourit, baissa la tête en me répondant.

-C'est moi qui m'excuse. Si je vous aurez vu, je me serais ecarté de votre chemin. Je m'apelle Aeglos. Je suis moi aussi heureux de vous connaitre.

Ile leva les yeux vers moi, et parut qeuqlues peu surprit. Venait-il de s'apercevoir que j'étais un elfe ? Je lui sourit en penchant la tête. Mon regard devait pour une fois monter, car il était plus grand que moi.

-Puis je vous proposer de vous abriter le temps que la pluie cesse?

Ces mots était décidément très doux. Si la pluie lui déplaisait, je ne voulait pas le contrairier. Même si personnellement elle ne me faisait rien, cette forte pluie. C'était une musique qui a mes oreilles me rappellait un tas de choses. Mais je ne devais pas m'égarer dans mes pensées.

"C'est si gentiment proposé."

Je lui sourit encore, avec cette expression de chaleur qui est souvent mienne. Nous nous avançâmes donc vers un petit café, où il n'y avait pas grand monde. Tant mieux, car je detestait la foule et le monde. Mon coté solitaire redoutait cela. On s'assit à une table. Un serveur vint immédiatemment nous voir, pour prendre commande.

"Un thé pour moi, s'il vous plait ."

J'interrogeais ensuite Aeglos du regard, pour savoir s'il voulait quelque chose aussi. Le serveur repartit ensuite, nous laissant seuls. Baissant les yeux pour ne pas soutenir son regard, je me rendis compte qu'il était le premier adulte à qui je parlais vraiment. Jusqu'ici, j'avais croisé surtout des élèves, ou des jeunes. Mon coté solitaire, toujours. Bref, cette situation était étrange pour moi, car je n'était pas en position de professeur. Je restais silencieuse. Je ne savais en réalité pas trop quoi dire. J'avais peur de paraître bizzarre aux yeux d'Aeglos...

Aeglos observa son interlocutrice. Elle pencha légèrement la tête devant mon air surement surpris que j'abordais. Elle devait savoir que je sais que c'est une elfe. Tant mieu. Cela m'éviteras de lui poser la question. Je l'entendit me prononcer ces mots:

"C'est si gentiment proposé."

Aeglos sourit. Il l'invita à avancer et me mettant à ses cotés, nous sommes allés vers un café où il n'y avait pas grand monde. Tant mieu. Nous nous installames à une table un peu à l'écart, près de la fenetre.J'enlevais ma veste d'un geste souple et je regardais dehors lorsqu'un serveur arriva. Il nous demandas ce que nous voulions et j'entendis Nariwen dire qu'elle voulait un thé. Aeglos dit au serveur:

Je prendrais un thé vert moi aussi.

Aeglos sourit poliment et le serveur partit. Un silence pesant s'installa ensuite. Il lui demanda néanmoins:

-Eh bien que faisiez vous dehors par ce temps?

Question absolument stupide. Il soupira. Tu n'a rien trouvé d'autre que ca pour lui parler? Il baissa les yeux et sentit le serveur revenir. Il leva les yeux vers l'homme et lui sourit en lui murmurant un merci. Il prit sa tasse et commenca à faire infuser son thé. Tout en faisant ses gestes, il tendit une oreille pour entendre la réponse de la jeune femme assise en face de lui. Même s'il trouvait cette question stupide, il était assez curieu.

Après avoir commandé un thé vert, Aeglos sourit poliemment au serveur. J'enlevais ma cape noire nuit, pour découvrir mes vêtements violet et ma coiffure avec sa fleur. Je me sentais plus légère comme sa. En effet, mouillée comme elle était, ma cape faisait son poids. Après quelques secondes de silence, il me dit tout de même :

-Eh bien que faisiez vous dehors par ce temps?

Au moins lui avait eut le courage de commencer une conversation. Je relevais la tête, le regardant sans soutenir son regard. J'allais parelr lorsque le serveur ammena les thés. Je le remerciait d'un sourire chaleureux. Je m'appliquais à me détendre, et à le paraître surtout. Après une petite gorgée du liquide sucrée que j'avais devant moi, je répondis à la question d'Aeglos.

- C'était une simple balade. J'aime la pluie, aussi forte soit telle. Comme tous les autres temps d'ailleurs. Puis-je vous retourner la question ?"

J'éspérais ne pas être indiscrête sur ce point là. Au pire, il pourrait me mentir. Mais si je le sentais, je saurais comme ça que c'était un sujet que j'allais devoir éviter pas la suite. Je repris mon sourire chaleureux habituel. Ca y est, j'avais passé mon coté silencieuse et recluse. L'ayant ainsi dépassé, je pourrais parler un peu plus facilement. Je me détendit, sirotant mon thé. Il était chaud, et cela faisait un bien fou. J'avais beau aimé ce temps, la fraicheur que cela dégageait influençait tout de même mon corps. Je fermais les yeux en prenant une autre gorgée. Les yeux fermés, les oderus et les brtuis me parvenait plus facilement. J'en profitais pour mémoriser celle d'Aeglos. Ainsi, il ne pourrait plus me surprendre dans l'avenir. Du moins je l'éspérais. Car je n'aimais pas du tout être surprise comme tout à l'heure. Revenant au moment présent, je rouvris les yeux en attendant la réponse de mon interlocuteur...

Aeglos enleva les feuilles de thé et commenca à boire tranquillement une gorgée. Le liquide chaud le rechauffas de l'interieur. Il se sentait bien là. Au chaud et au sec. Il reporta son attention sur Nariwen qui lui dit:

- C'était une simple balade. J'aime la pluie, aussi forte soit telle. Comme tous les autres temps d'ailleurs. Puis-je vous retourner la question ?"

Il la regarda, toujours avec ce sourire poli. il la regarda. Elle avait enlevé sa veste noire. Il vit des vetements voilets ainsi qu'un fleur de la même couleur orantn sa coiffure. Elle 'n'avais pas peur de porter ces couleurs. Il ne lui dit rien, lui même portant du blanc et du gris presque tout le temps. Il répondit à Nariwen, après avoir bu une autre gorgée de son thé:

Je me baladais moi de même. Mais je me suis fait surprendre par le temps. Quand à moi je ne supporte pas la pluie. Elle mouille, nous rend froid et vulnérable.

Aeglos ne dit rien de plus. S'il continuait, il fairait un baratin de plus de quatre heure juste pour argumenter le fait qu'il n'aime pas la pluie. Néanmoins, il ajouta:

-Mais je dois admettre que le son des gouttes de pluie sur les vitres apporte un rare sentiment de confort.

Toujours avec le sourire, il but une autre gorgée de son thé. Sa tasse était à moitié vide. Il attendit cette fois ci que Nariwen prenne la parole que se soit pour poser des questions ou tout simplement confirmer ses dires.

Aeglos me répondit avec un sourire polié, après avoir bu une ou deux gorgée de son thé.

-Je me baladais moi de même. Mais je me suis fait surprendre par le temps. Quand à moi je ne supporte pas la pluie. Elle mouille, nous rend froid et vulnérable.

Je souris, mais ce n'était plus le même sourire que précédemment. C'était un sourire plein de malice. J'adorais la plui pour un millierds de raisons. Les odeurs se réveillaient quand la pluie les touchaient, les humains rentraient hez eux, laissant les courageux seuls. Me laissant seule. Lors des journées de pluie, je pouvais utiliser mon pouvoir contre l'eau, ce qui me fortifiais. Mais je pouvais aussi me laissait tremper, comme pour me laver de tous les problèmes humanoïdes qui me collaient à la peau. Et j'aurais put dire tellement de moments pluvieux qui me réchauffait le coeur... Mais je m'égarais, et la voix du l'homme le rammena à la réalité.

-Mais je dois admettre que le son des gouttes de pluie sur les vitres apporte un rare sentiment de confort.

Je repris mon sourire chaleureux, me demandant s'il avait remarque mon changement d'expression. Et si oui, qu'en avait-il pensé ? Mais je ne voulais pas aborder ce sujet là. Je dis alors :

-Cela fait maintenant un bout de temps que je suis là. Mais je ne vous ai même pas aperçut... Si ce n'est pas indiscret, puis-je savoir ce que vous faites par ici ?

Je savais qu'il allait ensuite me retourner la question, mais ma réponse n'avait pas besoin d'être caché. Contrairement à la sienne peut-être. Je finis mon thé, puis regardais la pluie au dehors. J'attendais sa réponse patiemment. Quelqu'un nous aurais observé, il aurait tout de suite sut que c'était notre première rencontre. Nous étions en effet très distant l'un de l'autre, ce que ce perce vait dans nos paroles...

Aeglos prit une autre gorgée de son thé. Certes ce thé était très bon mais rien ne vaut un thé fait par soi même...Il regarda à nouveau Nariwen. Lors de ces paroles, il avait bien remarqué l'éclat de malice dans les yeux de l'elfe. Qu'est ce qu'il y avait de drole dans ses propos? Il n'avait que dit la vérité...Mais si cela avait fait rire son interlocutrice, Aeglos ne s'en formalisa pas. Il l'entendit lui demander:

-Cela fait maintenant un bout de temps que je suis là. Mais je ne vous ai même pas aperçut... Si ce n'est pas indiscret, puis-je savoir ce que vous faites par ici ?

Aeglos sourit. Il lui répondit tout simplement:

Je recherche une paix qui autrefois existait en ce monde. Mais l'ignorance et l'orgueil des humains les corrompt. Ces pour fuir ces humains que je suis venu ici. Et en effet, je ne me suis installé que depuis une semaine ici. Et vous?

Sans s'en rendre compte, il avait eut une expression de dégout lors de ses premiers mots. Il haïssait les humains. Mettant leur faute sous l'accusation de sentiment qu'ils ne peuvent controler. Oui, Aeglos les detestait. Il but une autre gorgée de son thé presque fini. Il reporta son attention sur Nariwen, affichant à nouveau cet air poli.

Avant de me répondre, Aeglos sourit. Mais cette expression s'effaça rapidement devant une autre de dégout...

Je recherche une paix qui autrefois existait en ce monde. Mais l'ignorance et l'orgueil des humains les corrompt. Ces pour fuir ces humains que je suis venu ici. Et en effet, je ne me suis installé que depuis une semaine ici. Et vous?

Je regardai mon interlocuteur avec un visage sans expression, tournant très vite mon regard vers la fenêtre. Certains elfes haïssaient les humains pour leur manque de sagesse, leur orgeuil, leur ignorance. Mais comment acquérir sagesse lorsque l'on a que 90 ans à vivre. On ne peux pas vraiment, car on court après la vie, essayant de fuir la mort au galop. Moi je savais que si je n'avais pas vécut autant d'année, je ne serais pas aussi sage, ni aussi calme. mais je ne voulais pas lui expliquer ça, je m'en sentais incapable. Une petite tristesse s'afficha dans mon regard. Je n'aimais pas beaucoup ce dégout qu'il avait eut, sur son visage et dans sa voix. Avec tout ça, j'en avait presque oublié qu'il m'avait retourné la question. Alors que je m'y étais pourtant préparé, j'hésitais un peu sur le début de ma phrase.

"Je... suis là depuis environ un mois, un peu plus surement. Je suis Professur élèmentaire au lycée du coin."

De ma main gauche, la plus agile, je jouais avec la tasse vide. C'était fou comme je pouvais me sentir à l'aise avec mes élèves, et comme je pouvais être silencieuse et distante avec d'autre personne. En même temps, Aeglos et moi étions si différens que cela m'inquiétait un peu. J'avais peur d'entamer un sujet sur lequel nous serions tout à fait oposé. Regardant la pluie, l'écoutant, j'oubliais pour quelques secondes la préscence de l'elfe. Je respirais un coup. la paix qu'il recherchait tant, je l'avais trouvé en moi, et dans mon pouvoir. Je souris, et mes cheveux se remirent en place dans un petit courant d'air. Je savais qu'il l'aurait vu, mais je m'en fichais. Il me fallait ça pour retrouver mon calme intérieur. De nouveau bien, je puis le regarder en face.

Aeglos regarda Nariwen du coin de l'oeil. Il avait bien vu qu'elle était géné par sa soudaine dureté dans sa voix. Il en fut triste. Il ne voulait pas l'effrayer. Loin de là était son but. Il l'entendit simplement prononcer les mots:

"Je... suis là depuis environ un mois, un peu plus surement. Je suis Professur élèmentaire au lycée du coin."

Aeglos regarda dehors et réfléchissait. Elle était là depuis un peu plus d'un mois? Et elle est déjà professeur élèmentaire au lycée de l'Avventura? Maintenant qu'il y pensait, il voyait pas mal de jeune aller ci et là. J'ignorais jusqu'à maintenant qu'il y avait un lycée ici. Ce n'est pas plus mal tout compte fait. Il regarda la main de Nariwen jouer avec la tasse. Aeglos but la dernière gorgée de son thé et serra la main autour de la tasse encore chaude pour se réchauffer les mains. Il leva les yeux et vit que Nariwen utilisait du vent pour remettre une mèche de cheveux qui n'aurait pas dû etre là. Elle détenait elle aussi un pouvoir? Après tout, cela est normal. Il lui dit, en souriant plus franchement:

-A ce que je vois, vous aussi vous posseder un pouvoir?

Aeglos avait dit ces mots pour avoir une confirmation qu'autre chose. Il aurait aimé montrer que lui aussi avait un pouvoir mais ne l'avait il pas suggeré dans sa question?
Le serveur revint prendre l'argent ce qui tira Aeglos de ses pensées. Il sortit de l'argent qu'il donna au serveur pour les deux tasses. Il dit à Nariwen avant que celle ci n'ai pu dire quoi que se soit:

-C'est moi qui vous ai proposé de venir ici. Alors la moindre des choses est que je paie votre tasse de thé.

Aeglos attendit une réponse de Nariwen, en reprenant la monnaie qu'il mis dans une des poches de sa veste.

Comme je l'avais escompté, Aeglos avait remarqué que j'avais utilisé mon pouvoir et me le fit remarquer.

-A ce que je vois, vous aussi vous posseder un pouvoir?

Par la forme de sa phrase, j'en déduis que lui aussi. Je hochais la tête pour lui répondre par l'affirmative, sans donner plus de détails. Le serveur vint alors, mais avant que je n'ai put réagir, Aeglos paya.

-C'est moi qui vous ai proposé de venir ici. Alors la moindre des choses est que je paie votre tasse de thé.

J'avais à demi oublié les durs propos précédents de l'elfe, et j'étais donc plus détendu. Je pus donc lui parlé plus librement, même si je restais encore sur de courtes phrases, réprimant ma curiosité.

"Merci. Oui, j'ai un pouvoir, tout comme vous à ce que je viens d'entendre."

Je lui souris, pour lui montrer que ne pas savoir la nature de son pouvoir ne me dérangeais pas le moins du monde. Je le regardais encore. depuis que j'étais ici, c'était le premier adulte avec qui je parlais, ci l'on peut appeler ca parler. De plus c'était un elfe. J'aurais du m'entendre avec lui. Pourtant, on semblait différent sur tout les points que l'on venait d'aborder, ou presque. Respirant un grand coup, je me décidais à parler. Après tout, je n'étais pas réputé pour ma timidité, il ne fallait pas que cela commences aujourd'hui. Je cherchais vivement un sujet innocent à aborder. Il avait parut songeur quand je lui avait dit que j'étais professeur...

" En même temps, mon pouvoir fait partie de mon travail. Vous qui parliez d'ignorance tout à l'heure, je trouve qu'au Lycée Avventura, la grande majorité des élèves ont soif d'apprendre. Aucun de ma causé d'ennuis pour l'instant. Et pourtant, il y a des humains..."

Et voila, je mettais laissé emporter et était retournés sur le sujet que je voulais éviter. J'étais décidemment incorrigible. Mais l'injuste haine d'Aeglos envers les humains me faisait si mal au coeur que je ne pouvait l'oublier. Il ne connaissait pas les bons spécimens, et s'en faisait une idée générale dure. Je baissais la tête, fermant les yeux. Il fallait que je me contrôle. Me demandant combien de temps allais-je tenir, j'avissais la porte pour partir. Il était en effet hors de question que je m'énerve, ou indigne, dans ce lieux. Si cela arrivait, je partirais, et irait m'entraîner pour évacuer tout cela. C'était bien malin de ma part... Il ne m'avait pourtant rien fait, cet homme...

Aeglos écouta les propos de Nariwen. Elle lui dit:

"Merci. Oui, j'ai un pouvoir, tout comme vous à ce que je viens d'entendre."

Aeglos en sourit. Elle ne cherchais pas à savoir quel était son pouvoir. De toute façon, il n'aurait put le montrer ici. Sa transformation en renard blanc n'aurait pas été vu d'un bon oeil. Surout en ce lieu. Il entendit à nouveau la voix de Nariwen:

" En même temps, mon pouvoir fait partie de mon travail. Vous qui parliez d'ignorance tout à l'heure, je trouve qu'au Lycée Avventura, la grande majorité des élèves ont soif d'apprendre. Aucun de ma causé d'ennuis pour l'instant. Et pourtant, il y a des humains..."

Aeglos regarda Nariwen avec un sourire. Il lui répondit tout simplement, d'une voix posé pour essayer de détendre Nariwen:

-Je n'en doute pas que des enfants et des adolescents humains cherche à se connaitre et par la même occasion en apprendre plus. Vous devez, surement, leur enseigner comment maitriser leur éléments. Mais moi, je ne parle pas de cette catégorie d'Humains. Je parle des adultes et malgrès les erreurs et les leçons, il garde en eux une part de haine et de jalousie. Ce sont eux que je fuis. Et j'en conveins qu'il n'y a pas que les humains. Toute les autres races. Ne vous méprenez pas Nariwen de mes paroles. Vos élèves ont envie d'apprendre mais seulement pour ce but? Connaissez vous la véritable raison de leur envie d'apprendre?

Aeglos se tut. S'il en disait plus, autant qu'il raconte pourquoi il n'aimait pas les humains! Très bien. Il ne voulait pas que Nariwen parte et qu'il ne se parle plus tout ca pour une incompréhension. Il lui dit en soupirant et en évitant son regard:

-Je ne dis pas que vous n'etes pas une bonne enseignante et loin de moi dette idée. Mais si vous voulez réellement savoir pourquoi je hais tant ces humains, il va falloir que je vous raconte une part de ma vie.

Aeglos hésita. Il ne voulait pas ressasser le passé. Cela n'apportait rien de bon mais il le devait dans un sens à Nariwen. Il continua:

-Ma vie était parfaite jusqu'au jour où les Hommes ont appris l'existence des autre créatures qui peuplait le monde. Il se pensait maitre de tout. Savoir que des elfes avec des pouvoirs et une plus grande sagesse les rendaient jaloux et haineux. J'habitais dans une foret d'Angleterre jusqu'au jour où elle fut brulés par ces Hommes. Mes parents moururent dans l'incendie. C'est pourquoi je hais hais les hommes.

Aeglos se tut. Il reporta son attention sur la fenetre. Il attendit que Nariwen parle, n'ayant aucune envie de continuer.

Aeglos sourit à mon propros.

-Je n'en doute pas que des enfants et des adolescents humains cherche à se connaitre et par la même occasion en apprendre plus. Vous devez, surement, leur enseigner comment maitriser leur éléments. Mais moi, je ne parle pas de cette catégorie d'Humains. Je parle des adultes et malgrès les erreurs et les leçons, il garde en eux une part de haine et de jalousie. Ce sont eux que je fuis. Et j'en conveins qu'il n'y a pas que les humains. Toute les autres races. Ne vous méprenez pas Nariwen de mes paroles. Vos élèves ont envie d'apprendre mais seulement pour ce but? Connaissez vous la véritable raison de leur envie d'apprendre?

Décidémment, nous ne nous comprendrons pas. Quoi que je dise, il mettrais tous les humains dans un même sac. J'étais plus tendue d'un acr, prête à exploser. J'aurais tant pu dire, mais je savais que cela ne servirais à rien. C'est cela qui m'énervait le plus. Je me taisais donc.

-Je ne dis pas que vous n'etes pas une bonne enseignante et loin de moi dette idée. Mais si vous voulez réellement savoir pourquoi je hais tant ces humains, il va falloir que je vous raconte une part de ma vie.

S'il croyait me détendre avec cela, il se mettait le doigt dans l'oeil. Et quoi qu'il me raconte après, j'avais déja des réponses à lui donner, des questions pour lui faire face et le faire réfléchir. Mais ça non plus, je ne voulais pas le faire. Je ne disais toujous rien, ne bongeant pas d'un poil, le visage froid. Un simple mouvement, et je risquai de faire une bêtise. Il fallait que je me reprenne.

-Ma vie était parfaite jusqu'au jour où les Hommes ont appris l'existence des autre créatures qui peuplait le monde. Il se pensait maitre de tout. Savoir que des elfes avec des pouvoirs et une plus grande sagesse les rendaient jaloux et haineux. J'habitais dans une foret d'Angleterre jusqu'au jour où elle fut brulés par ces Hommes. Mes parents moururent dans l'incendie. C'est pourquoi je hais hais les hommes.

Je soufflais un coup. A quoi bon parler avec des gens qui n'apprennent rien du passé. Il reprochait aux humains leur haine, et il en nourrissait lui-même une envers eux. a vie était parfaite ? Rien n'est jamais parfait, car la perfection même est un défaut. Et si nous les elfes, étiosn assez sages, nous pourions changer la haine et la jalousie des humains en des pouvoirs beaucoup plus forts. Mais nous étions refermer sur nous même, incapable d'accepter les autres éspèces. Je n'aimais pas les généralités, c'est pour cela que je n'haïssais aucune race. Tant d'idée, de choses à dire et à expliquer se bousculaient dans ma tête. C'était comme un volcan qui ne demandait qu'à exploser. Je me levais, renfilais ma cape, au bord de la crise.

"Je dois y aller."

Rien de plus, car j'en étais incapable. Je sortis rapidement du café, en espérant qu'il ne me suive pas. Une fois dans la rue, ce fut la pluie torrentielle qui me calma. Essayant d'oublier tout cela, je errai dans l'obsucrité. N'ayant pas mis mon capuchon, j'avais les cheveux trempés. Je n'en pouvais plus....

Aeglos soupira. Elle n'avait rien compris à la subtilité de ces propos. Cela se voyait par le visage fermé et le regard qui se remplissait de colère. Elle lui dit en prenant sa cape:

"Je dois y aller."

Aeglos soupira de plus belle. Il prit sa veste et la mis sur lui et partit à la suite de Nariwen. Il devait lui expliquer. Il s'entend très bien avec des humains sinon il ne tiendrais pas une boutique en plein coeur de la ville! Cette fosi ci énervée contre Nariwen, il se transforma en renard blanc dans une ruelle sombre. Il la chercha à l'odeur et ses efforts furent payé. Elle était bien là, dans une ruelle sombre, les cheveux trempés. Elle semblait contenir une rage. Une rage qu'Aeglos avait animé. Il s'en voulut. Il ne voulait pas en arriver là et il devait lui expliquer. Mais comment? Il faut qu'elle comprenne. C'est la première fois qu'il parle de son passé à quelqu'un et il avait espéré qu'elle comprenne mais non. Il se posta derrière Nariwen. Encore une fois elle n'avait pas entendu sa présence. D'un regard dur, il grogna pour lui signifier qu'il était là. Son regard était le même ainsi que son tatouage. On pouvait ainsi facilement l'identifier. Aeglos voulait non seulement qu'elle comprenne mais lui voulait comprendre. Comprendre comment elle faisait pour ne pas les haïr. Pour cela il devait lui parler il n'avait d'autre choix. Il attendit que Nariwen fasse ou dise quelque chose avant de passer à l'acte.

Je m'étais immobiliser pour évacuer toute cette rage, lorsqu'un grognement me fit me retourner vivement. Heureusement que je contrôlais mon pouvoir, car il avait eut une furieuse envie de s'échapper. Je regardais ce qui n'avait surpris. Un renard blanc me faisait face. Il avait un regard qui me disait quelque chose, et le signe rouge sur ce front me répétait cela. Aeglos ? Surement. Une même signe et un même regard. c'était alors cela son pouvoir. Moi qui aimais tant la faune, je ne pouvais pas être aggrésive. Dans mon passé, j'avais toujours réussit à régler mes différents avec les loups et autres animaux de ma forêt natale. Et si je me fichais d'avoir des différent avec les espèces "humaines", cela me dérangeait vivement lorsqu'il sagissait d'un animal. Mais qu'est-ce que je racontais ? C'était un elfe, qui avait pris une aparence animale, c'est tout.

Je soupira, m'accroupissant comme à mon habitude. Je ne savais pas quoi dire, et je laissais donc ma tête faire seule, sans raison ou autre enclave.

"Nous ne nous comprenons pas. Que voulez-vous ? Même au sein d'une même espèce, les caractères différent. J'ai croisé des humains sages, comme des hargneux. J'ai parler avec des vampires dociles, comme avec des sauvages. Je connais des elfes agressifs, mais aussi des timides. La race ne fait rien. Il n'y a que notre coeur et notre histoire qui font ce que nous sommes. C'est pour cela que je ne hais aucune race. Je chercherais toujours à comprendre quelqu'un. Mais nous sommes différents tous les deux..."

J'avais parler d'une voix calme, plongeant mon regard dans celui du renard. Il fallait avouer que cette forme facilitait bien mon discours. Jamais je ne lui aurais parlé comme ça sous sa forme humaine. Malgère mon beau discours, il n'y a que la préscence des animaux qui m'est vraiment agréable. Car je n'ai encore croisé personne qui me mette vraiment à l'aise. Je souris à Aeglos, lui disant d'un regard que ce n'était pas grave. Toujours accroupie, j'attendais qu'il me montre qu'il avait compris. Et le meilleur moyen aurait été qu'il parte. mais il ne fallait pas trop en demander....

Aeglos entendit les paroles de Nariwen qui s'était accroupi en face de lui. Il s'asseya et regarda Nariwen dans les yeux:

"Nous ne nous comprenons pas. Que voulez-vous ? Même au sein d'une même espèce, les caractères différent. J'ai croisé des humains sages, comme des hargneux. J'ai parler avec des vampires dociles, comme avec des sauvages. Je connais des elfes agressifs, mais aussi des timides. La race ne fait rien. Il n'y a que notre coeur et notre histoire qui font ce que nous sommes. C'est pour cela que je ne hais aucune race. Je chercherais toujours à comprendre quelqu'un. Mais nous sommes différents tous les deux..."

Aeglos comprenait ce qu'elle voulait dire. Mais elle n'avait pas tord. Ils étaient differents et il en avait conscience. Et ces paroles était juste. Il le comprenait maintenant. En réalité il n'était pas si différent de ces humains, a les haïr. Ces paroles sont d'une rare sagesse et Aeglos en avait conscience. Elle lui avait ouvert les yeux. Il devait la remercier mais il n'avait pas envie de reprendre sa forme humaine, sentant que Nariwen était plus à l'aise avec la forme animale. Aeglos sourit et le renard avec. Cela peut paraitre bizarre de voir un renard sourire. Néanmoins il ferma les yeux et baissa la tete signifiant qu'il avait compris. Puis avec son front caressa la joue de Nariwen avant de la laisser seule avec ses pensées. Il n'avait aucune envie de subir la colère d'un elfe. Peut etre se rencontreront-ils une autre fois?

Aeglos, sous sa forme de renard, sembla avoir compris et appuya son front de renard sur ma joue. Je fermais les yeux en souriant. Puis il partit. Je restais seule, errant dans le rue, ombre silencieuse. Songeuse, je pensais à tous les problèmes et différence que cette terre porte. Tous cela devait être bien lourd. Je respirais un grand coup, avant de repartir chez moi.