Une rencontre sous les étoiles [Pv John Doe][Terminé]

Une rencontre sous les étoiles

John Doe

Vous ne pouvez pas comprendre la douleur qui se cache dans mon cœur. Vous ne pouvez pas voir derrière mes sourires, les larmes qui se meurent. Beaucoup dirons que je ne suis pas à plaindre. Une belle maison, une famille respectable, un projet de vie futur, une bonne éducation et de la nourriture en abondance sur ma table. Ce ne sont que des belles parurent. Ma maison est grande, mais vide de vie, ma famille est respectable mais désunit, mes projet de vie futur sont imposés, ma bonne éducation est obligatoire et la nourriture est fade et sans saveur comme le reste de ma vie.

Il y a si longtemps que je n’ai pas réussi à m’enfuir de cette réalité, que je souffre énormément en silence. Bientôt un mois que je n’ai pas eu la chance de fuir les soupers, ou encore l’autorité de mon paternel. Mais ce soir, c’est ma chance. Il y a tellement de monde dans la maison et dans le salon pour la l’anniversaire de ma mère, que personne ne porte attention à moi. Mon père m’a présenté tous les gens importants et m’a laissé dans un coin.

En évitant les regroupements, les caméras, les domestiques et les agents de sécurité, je réussi enfin à sortir de l’enfer. Pour sortir de chez moi, il existe trois angles morts des caméras, il me faut aussi connaitre la rotation des domestiques et des agents de sécurités. Avec tout ce monde à la maison, j’ai beaucoup plus d’ouverture et j’arrive à quitter la cours sans le moindre désagrément.

La nuit est encore jeune et devant moi s’ouvre beaucoup de possibilités, le seul problème est a tenu que je porte. En partant rapidement afin de ne pas perdre mon unique chance, j’ai complètement oublié de me changer. Il suffit d’un bref regard sur mon reflet pour me convaincre de rester dans le quartier. Et oui, ma robe verte émeraude plutôt juste et mes bijoux de luxe feront tâche si je change de quartier. Un soupir naquit sur mes lèvres et un frisson vu le jour sur ma peau lorsque le vent caressa mes cheveux libres d’entrave.

Je pris donc la direction d’un coin reculé afin de ne rencontrer personne que je connaissais. Il serait dommage de tomber sur des amis à mon père et qui irais aussitôt me vendre à ce dernier. Je marchais donc dans la rue, évitant les attroupements de personne pour aboutir dans le jardin botanique du quartier. À cette heure, il n’y avait pas grand âme vivante. Je pris donc place sur un banc soulagé d’être enfin posés et je retirai mes talons afin de masser mes pieds meurtris.

Je m’étais évadé, mais je n’avais rien à faire ici dans ce quartier ou je devais rester le plus caché possible. Les boutiques étant fermées, impossible de me changer.  Mon regard se perdit alors dans l’étang qui se trouvait devant moi, la lune et les étoiles s’admirait dans l’eau ce qui fit naitre un sourire sur mes lèvres. Quelle belle soirée!

Il  me vint alors l’idée de profiter des sons nocturnes afin de continuer la création d’une chanson sur laquelle je travaillais depuis un moment. Un bref regard autour de moi afin d’assurée mon unique présence en ces lieux. La mélodie en tête, les yeux clos afin de me concentrer sur les paroles, je laissai mon imagination prendre la suite, ma voix douce et chaleureuse résonna alors dans l’espace qui m’entourait projeté par l’écho du vide.

Chanson:

‘’Je vois la vague prête à me submerger, l’attaque a exalté ma colère. Broyée encore, lèvre closes, ignorée, ma voix se noir dans le tonnerre… ‘’

Je pris une courte pause, fredonnant l’air de la mélodie afin de voir si cette dernière s’accordait bien avec la phrase avant de continuer, légèrement plus doux que la première phrase, tel un souffle.

‘’Pourtant j’y crois, la tête haute sans pleur et même s’ils sont là, jamais je ne pourrais me taire. Fini le silence, enfin libre j’avance. Je ne tremble pas, oui j’avance. On ne peut m’empêcher de parler’’

Plus j’inventais les paroles, plus elles restaient gravées en moi, c’était la si proche de la vérité comme un cri du cœur qui hurlait de détresse, de colère et de peur. J’avais besoin de faire sortir ces émotions et c’était l’endroit idéal. Mes paroles se perdaient dans la beauté des lieux qui étaient devenu légèrement silencieux lorsque j’avais débuter mon chant. J’ouvris doucement les yeux afin de plonger mon regard bleuté sur le reflet de la lune qui semblait danser.

‘’Je respire, même si tout attend que j’expire.. Je pourrais tuer et même pire… On ne peut m’empêcher de parler.. ‘’

Je pris une pause, l’émotion était trop forte et des sanglots avaient brouillé un peu la fin de mon chant. Je pris un profond respire avant de détourner mon regard brouillé en direction du ciel. La chanson venait de prendre fin, même si les paroles affluaient dans mon esprit. Je me suis mise donc à me parler à voix haute…

‘’ Je resterais bien ici toute ma vie….’’

Le son de la nuit reprit son cours, comme si la nature m’invitait à rester assise encore un peu.

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Une rencontre sous les étoiles

John Doe

L’écho de ma voix venait de fondre dans l’air, laissant alors un bref silence rapidement remplis par la mélodie nocturne qui habitait le jardin une fois la nuit tombée. Malgré mon vouloir, je n’arrivais pas à faire taire les larmes qui venaient encore et encore réchauffer mes joues légèrement rouges. Mes mains cherchaient en vain à faire disparaitre la trace humide laissé par l’eau saline. Ce geste n’avait que pour effet, d’alimenter encore plus les sanglots qui résonnaient désormais dans la nuit. Pourquoi j’avais si peur d’affronter la vie, si peur de revenir chez moi et de voir le regard de mon paternel. C’était injuste, injuste de vivre ainsi…

Assise sur ce banc, je repensais au passer, aux moments difficiles et à la prison qui m’attendait à mon retour. Et si mon père savait que je quittais ma prison? Et s’il me laissait simplement faire afin de me donner l’illusion de liberté. Mais au final, suis-je vraiment libre? Assise sur ce banc, je savais que je allais devoir y retourner, je savais que même si j'étais dehors, mon esprit etait en cage. Donc je n'était jamais libre. Dans le son de la nuit, une voix inconnue vient à moi, tel un murmure me tirant de mes pensées.

Bonsoir…

Ma respiration se coupait brusquement et mon corps se figeait. Je n’avais jamais sentie ou même entendu cet homme arrivé. Quoique avec le bruit de mes pleures, mon cœur qui battait si fort dans mes oreilles, le son de l’eau bercé par le vent et le chant des grenouilles, il fut impossible pour moi d’entendre les pas de l’homme.

Un soucis mademoiselle?

Mes mains quittèrent doucement mes yeux, dans un mouvement ralentie, je tournais ma tête en direction du nouvel arrivant. Mes yeux rougis par les larmes se posèrent sur lui. Son visage était légèrement tourné en direction du lac, je pouvais voir le mouvement de ses yeux cherchant à ne pas avoir de contacte directe avec les miens, ce qui me rassura légèrement. Mes mains retournèrent rapidement à la naissance des larmes afin d’enlever les traces de ces dernières. Disons que pleurer devant les gens n’étaient pas mon passe-temps préféré. Détournant un peu le regard en direction du lac, je me suis surprise à penser à ce que je devais ressembler. Mon visage devait être rouge, comme le bout de mon nez et mes yeux devaient être bouffie par l'eau qui coulaient un peu moins...Je devais avoir une tête affreuse!

‘’E..uh’’ Les sanglots étranglaient un peu mes paroles et je pris un grand respire afin de mettre mes idées en place dans ma tête. Est-il envoyé par mon père pour me remettre en cage? Tant de question vu le jour dans mon esprit que je pris un moment avant de répondre.

‘’Est-ce que c’est mon père qui vous envoies?’’

Oui, je vous l’accorde je ne passe pas par quatre chemins! Je suis directe, je veux savoir si je dois me lever et fuir, ou si je peux rester calmement sur le banc… De plus, si un employé de mon père me voit pleurer il ira le dire à mon paternel et je veux éviter qu’il connaisse cette détresse… Cela lui ferait trop plaisir. Suite à ma question, mon regard c’était braqué sur celui qui se trouvait sur le banc avec moi. Je retenais ma respiration et j’étais déjà prête à me lever.

Si c’était un employé de mon père, il n’avait pas les mêmes techniques d’approche que les autres. On ne m’avait encore jamais prise la main dans le sac, mais à la maison les employés de mon père étaient tous des connards irrespectueux.

Le vent venait doucement jouer dans les cheveux de l’homme, qui au reflet de la lune me semblait différent des gens que je connaissais. Il semblait calme et ne pas me vouloir de mal, j’avais presque honte d’avoir pensé qu’il travaillait pour mon paternel…

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Une rencontre sous les étoiles

John Doe

Depuis quand vit ce doute dans mon cœur? Ce doute d’avoir le droit d’être en vie. Le droit de vivre ma vie comme je le souhaite. En fait, je réalise que ce doute à toujours fait partie de moi et qu’il ne partira probablement jamais. Je suis peut-être née pour rester en cage. Née pour vivre ma vie pour ma famille. Suis-je égoïste de vouloir penser à moi? De vouloir fuir les gens qui m’offre gîte et couverts? Il y a tant de chose qui se bouscule dans mon esprit que je commence à croire que je suis peut-être le problème dans l’équation de ma vie.  C’est vrai, je suis partie de chez moi impulsivement, sans aucun plan, sans aucun but autre que de fuir ma vie et je me suis retrouvée ici à pleurer comme une madeleine. J’ai le cœur qui me fait si mal, mais est-ce que j’ai vraiment le droit de me sentir ainsi.

Mon regard n’a pas quitté le visage de l’homme qui s’adresse désormais à moi. Je lui ai craché des bêtises au visage sans même avoir pris le temps de pensée. C’est bien moi, toujours sur la défensive lorsque je parle de mon paternel. Étrangement sa réponse me fit me sentir encore plus idiote, je n’avais pas pensé à la réaction en chaine de cette question. La surprise se vue dans mes yeux, lorsqu’il me demanda si j’étais fâchée avec mon paternel. Ce que je ressentais ne pouvait pas se définir par le sentiment d’être seulement fâchée. Mon regard dévia en direction de l’étant d’eau légèrement brumeuse par le changement de température de la nuit montante.  Est-ce que ce dernier voulait vraiment savoir… Comme si une personne pouvait s’intéresser à mes problèmes. Est-ce un geste de politesse?

Du coin de l’œil, je vue le mouvement de l’homme qui allait se redresser, ce qui me tira de mes pensées. J’ouvris la bouche afin de dire quelque chose, mais rien ne semblait vouloir prendre vie. Il y avait tant de chose que j’aurais aimé dire, tant de douleur que j’aimerais enfin pouvoir sortir. Mais, puis-je vraiment mettre toutes ces douleurs sur les épaules d’un inconnu? Et cela changerais quoi au fond, je serais obligé de retourner chez moi, de revenir les deux pieds dans ma cage mais j’aurais probablement le cœur plus léger.

Un soupir vu le jour sur mes lèvres légèrement saccadé par les sanglots qui cherchaient à venir mourir dans ma gorge. Les larmes coulaient encore un peu sur mes joues vestiges refroidit par le vent ambiant. Puis, sa phrase me fit regarder autour de moi, un frisson parcourant mon corps à la simple idée que des gens auraient pu me voir quitter la fête.

‘’Non… Y a personne qui m’a vue partir de chez moi’’

Enfin! Les mots semblaient vouloir sortir de ma bouche, il était temps j’allais passer pour une vrai idiote, pleurnicharde qui n’avait rien à dire. Une fois l’inspection des alentours terminés, mon regard se redressait sur le visage de l’inconnu qui était désormais debout. La couleur de ses yeux me figea, je restai donc un moment à le regarder avant de comprendre qu’il était vraiment différent de moi et qu’il ne devait pas être humain… Bon oui je suis lente parfois pour comprendre.

‘’Je.. ‘’

Je pris un grand respire, laissant l’air venir refroidir mes poumons qui était brulant.

‘’Je suis partie de chez moi car j’avais besoin de réfléchir… Mais il se peut que si mon père à remarquer mon absence qu’il envois ces gardes du corps me chercher… Je me suis dite qu’ils ne viendraient pas ici en premier’’

Combien de temps c’était écoulé depuis mon départ? Est-ce que mon père, ma mère ou ma sœur avait eu l’idée de me chercher? Avaient-ils simplement remarqué mon absence dans ma chambre. Je continuais de le regarder, c’était vraiment la première fois que je croisais une personne qui n’était pas non humain, je me demandais bien de quel race il pouvait être. On m’avait dit que les non humains étaient tous dangereux, pourtant il me semblait loin de l’être.

J’étais de nouveau plongée dans mes pensées et ne remarquaient même pas que mes yeux le fixaient avec une grande intensité.

Il était vrai, que j’avais le don d’attirer les ennuis, est-ce que cet homme allait en avoir si je continuais de lui parler? Ou si mon père nous trouvait ici tous les deux seuls sans chaperons. J’étais une vraie catastrophe ambulante, j’aurais dû partir lorsque l’homme est arrivé. Mais c’était plus fort que moi je me sentais si seule que je ressentais le besoin de rester pour lui parler. Je priais intérieurement pour que les gardes du corps de mon père n’entrent pas dans le jardin… Mais tout peut arriver.

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Une rencontre sous les étoiles

John Doe

Dans ce jardin, le temps semblait en suspension. Comme si les heures avaient pris congés et que le monde avait arrêté d’existé. Il n’y avait que moi et l’inconnu, assit sur un banc, le regard plongé dans l’eau, ou pour ma part sur l’homme en question. J’ignore la raison qui a poussé l’homme à venir dans le jardin en cette soirée, j’ignore tout de lui et il ignore tout de moi. Nous sommes de simple inconnu, est-ce cela une journée normale à l’extérieur d’une cage? Je me demande à quoi peut bien ressembler une journée dans la vie de cet homme. Cette simple pensé me fit naitre un faible sourire aux coins des lèvres, il venait peut-être de finir de travailler, ou il allait retrouver des amis dans un bar ou un restaurant non loin d’ici, peut-être cherchait-il sa fiancé avec qui il avait rendez-vous. J’aimerais tant avoir la chance également de parcourir la ville sans peur de me faire prendre. Mais même si je me sauve, mon esprit reste à tout jamais dans cette cage.

Dois-je me résoudre à ne plus jamais sortir de ma cage et à simplement regarder le monde entre les barreaux? Est-ce pour cela qu’il est ici ce soir, afin de me faire comprendre que j’ai mal agis? Plusieurs hypothèses me traverse l’esprit, le plus simple serait peut-être de lui demander. Avant même que n’ouvre la bouche afin de poser la question, l’homme désira qu’on quitte les lieux. Ce qui me fit pencher un peu la tête sur le coter. Il souhaitait que je vienne avec lui? Il voulait probablement me ramener chez moi dans cette foutu cage d’or. Mon père allait probablement lui donner une belle récompense et pour ma part j’allais terminer encore dans cette salle de torture avec mon maitre d’école. Des images revient dans mon esprit, la douleur n’était plus dans mon corps mais très claire dans mon esprit et cette idée me fit frissonné.  Je pris un grand respire, mon regard se brouillait de nouveau d’une marée de larme qui avec beaucoup d’effort ne quittaient pas mes yeux.

Je secouai doucement la tête avant de détourner le regard pour graver ce lieu dans mon esprit. Si je ne revenais jamais ici, j’allais pouvoir voir se lieu dans mes rêves. Et, c’est ici que j’ai eu l’idée d’une magnifique mélodie. L’homme se présenta, ce qui me fit retourner l’attention sur lui, il venait de tendre délicatement sa main dans ma direction, afin de m’inciter  à me lever. Je pris de nouveau un grand respire, afin de sentir l’air frais caressé mes poumons, une main vint à mes yeux afin de retenir les larmes qui cherchaient de nouveaux à fuir tandis que l’autre cherchai à prendre la main de John. Je n’avais pas répondu, j’avais simplement gardé le silence, afin de graver cet instant en moi. Ma première et probablement dernière sortie.  

Au moment où ma main effleura la main de John, ce dernier eu un regard absent, mes doigts touchèrent sa peau et il retira sa main en poussant un cri sortie de nulle part. L’écho captura ce dernier projetant dans la nuit la clameur de John. J’eu par réflexe un mouvement de recul, mon dos heurta le dossier du banc et mon regard se figea sur son visage. Il avait porté la main à sa gorge comme s’il avait mal. La situation était étrange, un bref silence flottait dans l’air avant qu’il ne se détourne de moi. Je pouvais clairement voir son malaise de la situation.

Je me redressais doucement du banc, je pouvais sentir mon cœur se débattre en moi et dans mes oreilles, il m’avait fait une peur avec son soudain cri. Mon regard le suivait toujours, j’ignorais comment je devais réagir, est-ce que je devais lui faire un câlin pour le rassurer ? Est-ce que je devais fuir ? Allait-il bien… Avait-il mal?

‘’Es…’’

Rien ne sortit, car il venait de dire qu’il allait me ramener chez moi, je fis un mouvement de recul. Comment lui faire comprendre ce qui m’attendait une fois à la maison… En même temps il y avait des choses que je ne pouvais dire.

‘’J..J’ai’’

Comment lui dire la peur qui habitait mon corps à la simple idée de retourner dans cet endroit.. en même temps, John semblait avoir son lot de problème et je n’avais pas le droit de lui mettre les miens sur le dos. Il semblait être une personne bien et je ne pouvais lui faire part de cette douleur. Je secouai alors la tête.

‘’D’accord… mais… Je vais rentrer par la fenêtre par ou je suis sortie me père ne doit pas savoir que je suis sortie sinon il va me.. ‘’

Je détournai le regard, je ne pouvais pas le dire, je ne devais pas le dire. Je devais être plus forte et subir en silence ce qui m’attendait si je me faisais prendre. Je fis quelque pas dans la direction de John et glissais ma main dans la sienne, sans penser que cela pouvait le mettre mal allaise. Je voulais simplement lui faire comprendre que je le suivais.

‘’ Moi c’est Victoria… J’habite au manoir.. Vankov…’’

La nuit avait soudainement reprit son cours, comme si l’action de nous lever avec l’idée de quitter ce lieu magique avait fait renaitre le temps. Et il était temps de rentrée, je n’avais pas eu la chance de connaitre le sentiment de liberté, car mon âme est trop meurtrie, toutefois j’avais peut-être le droit d’avoir l’espérance d’une amitié… Cet homme ne semblait pas me vouloir de mal, il semblait également avoir une douleur sur le cœur.

En route alors, pour la maison, je tremble à l’idée de me faire prendre mais je ne peux pas éviter la famille, je savais que je devais y retourner lorsque je suis partie, au moins je ne suis pas seule.

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