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Message par Invité Ven 14 Juin - 16:56

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Une clope puis une autre, un vice auquel il s'adonnait de plus en plus souvent. Peut être qu'il n'aurait pas dû sacrifier les cigarettes qui font rire, pour celles qui ne font qu’embrumer l'esprit. En continuant de fumer à ce rythme il allait précéder les anciens profs retraités qui tristement bravaient pour la dernière fois les portes de l'établissement. Il se rappelait avoir sourit à l'un d'entre eux, ce dernier lui avait rendu une larme en coin. Comme quoi, ils n'étaient pas seulement des machines, ils étaient aussi des êtres émotif qui enseignaient avec un but. Peut être ce dernier avait échoué, ce qui expliquait cette larme où loin d'être une larme de remord cette dernière exprimait sa joie d'enfin pouvoir faire autre chose de sa vie. Qu'importe! Freedy n'avait pas envie de se prendre la tête avec les pensées des autres, il avait déjà suffisament de problèmes à régler avec les siens. Il enfila son manteau, puis regardant l'horloge affichant l'heure béni s'en alla!


C'est ainsi qu'il avait fini en marchant hasardeusement sur ce banc. C'était l'un de ses moments qu'il prenait de temps à autre loin de ses poupées, loin des autres, loin de ce qu'il était vraiment. Le soleil se couchait derrière la cime des parcs, quelques rayons fugitifs éclairaient le visage enfumé du jeune homme.Son boulot venait de prendre fin, les cours étaient terminés, il était libre de faire ce qui lui plaisait pendant un mois où deux. Pourtant il n'arrivait pas à en dégager une satisfaction suffisante, son sourire naturel était présent, mais pas la joie de l'éphémère liberté. "Pourquoi?" se répétait-il souvent les paumes plaqués sur le tempes, "comment?" se demandait il les doigts creusant son visage. Mais le silence de la ville lui répondait par des bruits d'oiseaux, des klaxons incessant, où simplement des bruits de portes claquant où de fenêtres couinant. C'était un début de soirée sans vent, pas beaucoup de nuages, le ciel prenait une teinte allant de l'orangée au mauve. Un tableau appréciable mais commun, même si on avait tendance à l'oublier. C'est en sentant un mouvement brusque rafler son torse qu'il réalisa finalement  qu'il n'était pas si seul. Rage était là, s'amusant à énerver l'être responsable de sa condition de détenu. Il arriva même à siffler quelques mots à ce dernier. Sa voix avait quelque chose d'inhumain, elle semblait venir du fond de quelque chose. Sans être forte elle restait audible, bien qu'une sensation d’étouffé rendait son ton roque peu agréable:

"Si ta souffrance est trop lourde... tu sais que je peux te soulager éternellement de cette dernière, comme tu as soulagé tu sais qui.


-C'est gentil de ta part, vouloir alléger ma peine par la mort est une idée. Mais je m'en passerais très bien pour l'instant."



Le silence retomba sournoisement, Rage continuait de taper lentement du pied sur le mur de sa prison, riant très faiblement. Freedy l'ignorait, c'était la seule chose à faire. Il devait aussi s'assurer que cette poupée ne s'empare pas trop de son pouvoir malgré lui. Beaucoup de choses pouvait se produire si Rage récoltait suffisamment d'énergie pour se transformer. Il ne l'avait encore jamais fait, mais cela restait tout de même possible. C'était effrayant, mais comme tout ce qui était effrayant, cela intéressait le jeune magicien. Pourtant, c'était l'une des rares expériences qu'il ne désirait pas voir s'accomplir. Si un jour son fardeau prenait possession de la globalité de ses moyens, Freedy ne savait pas si il pourrait l'arrêter. Ses pensées devenaient aussi sombre que les environs, le soleil était désormais caché derrière l'horizon, la Lune n'avait pas encore fait son apparition bien que cela ne serait tarder. Il expira un vaste souffle gris qui engloba son corps avant de promener son regards devant lui. L'herbe semblait fraîche, les chemins vident, les jeux pour enfants de même. Il esquissa un nouveau genre de sourire, le type de rictus qui révélait le fond de vôtre pensée. En ce moment précis, ses pensées allaient à son enfance perdue, il ne regrettait rien, mais les jeux n'avaient jamais été quelque chose l'attirant particulièrement. En générale il trouvait toujours le moyens de tomber, pleurer, et manger du sable. 




Cete dernière pensée l'amusa profondément, il s'étala sur la banc laissant ses bras se balader sur le dossier puis il envoya son mégot s'écraser plus loin. Freedy décida de profiter encore un peu de se moment de pseudo calme et de demie solitude. Car le jeune homme en éprouvait réellement le besoin. Penser, s'échapper, laisser la délicate mais froide douceur de la nuit caresser son corps. Que demander d'autres?

Message par Invité Sam 15 Juin - 20:35

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Winter. Cette petite fille aux magnifiques et longs cheveux gris se promenait, seule, dans la rue plutôt calme où se trouvait le lycée. Elle aimait énormément aller la-bas, et voir de grandes personnes. Enfin, de grandes personnes par rapport à son apparence, car par rapport à son âge, ce ne sont que des bébés ! Dans sa main gauche, elle tenait l'une des pattes de sa peluche en forme d'ours préférée, qu'elle appelait Sacha. Pourquoi Sacha d'ailleurs ? Personne ne le sais vraiment, c'est un simple nom que le vent à fait venir jusqu'aux oreilles de la petite fille le soir d'une nuit d'hiver.
Aujourd'hui, la rue était assez vide, il n'y avait qu'un groupe de quatre garçons qui discutaient, fumaient, et riaient tous en cœur. D'ailleurs, elle tendit l'oreille pour entendre ce qu'ils disaient, et tout ce qu'elle puis discerner, c'est : « Drogue », « Sexe ». Winter soupira en voyant qu'ils ne disaient rien de bien intéressant, alors elle passa devant eux, sans leurs jeter le moindre regards, mais elle sentait celui appuyé des garçons. Elle n'y prêta guère attention, et continua sa marche joyeuse vers l'endroit qu'elle aimait le plus : Le parc !


Le parc, elle y arriva au bout d'une longue dizaines de minutes de marche. Elle avait croisée de nombreuses personnes qui l'avait dévisagées, l'air de dire : Que fait une petite-fille si mignonne et innocente, seule dans la rue ? Franchement, elle peut se promener comme elle le veut dans la rue, non ?! Et de toute façon, si quelqu'un lui voulait du mal, il lui serait facile de l'égorger d'un coup de griffe ou de lui arracher la jugulaire d'une simple morsure.
Quand elle arriva à l'entrée du parc, elle fut accueillit par un magnifique ciel dégradé du rose au violet, ce sont d'ailleurs, quelques unes de ses couleurs préférées, après le vert, le bleu, le rouge, le gris, le blanc, le noir.. Bref ! Winter s'aventura dans le parc en sautillant, son plus beau sourire sur les lèvres. Elle était tout à fait mignonne quand elle faisait sa, mais elle fut moins mignonne quand elle tomba dans la terre. Malgré sa chute, elle riais tout en se relevant. Elle se moquait éperdument si quelqu'un l'avait vu, elle a bien le droit de tomber !
D'un geste lent mais appuyé, elle épousseta le bas de sa robe pour y retirer la poussière et petit débris de terre et de cailloux. Winter repris sa marche joyeuse, en sautillant pour aller jusqu'au bac à sable où se trouvait les divers jeux pour enfants qu'elle adorait tant. Elle s'arrêta à l'entrée du petit terrain de jeux, qui était délimité par de hautes haies aux feuillages abondants et verts. Elle scruta son lieux d'amusement, et arriva à discerner une silhouette sur un banc. Son regard le détailla, il semblait avoir de long cheveux.. On aurait dit une fille, mais c'était en faite un garçon. Elle haussa les épaules et se dirigea vers les balançoires, en oubliant quelques peu la présence de l'homme.


Winter se balança, allant chaque fois un peu plus haut. Elle riais, sa peluche coincée entre sa main et la chaîne qui retenait la planche de bois à la carcasse métallique de la balançoire. Et la petite fille se balança comme sa une petite demi heure, pour ensuite s'arrêter en sautant de la planche en ayant cesser de la faire monter plus haut dans le ciel, qu'elle aurait voulu toucher du bout des doigts, et sentir les nuages lui caresser le visage.. En descendant, elle se laissa tomber sur le sable, assise, et se mit à parler à Sacha, sa petite peluche :

- Tu t'es amusée Sacha ? C'était très marrant d'être grands, hein ?


Après ces quelques mots, elle se remit à rire en resserrant la peluche contre sa petite poitrine faible. Winter se rendit ensuite compte que le jeune homme était toujours là. Était-il mort ? Ou est-ce qu'il dormait ? Elle ne le savait pas vraiment, mais tout ce qu'elle voulait savoir, c'est qui il est.

Message par Invité Lun 17 Juin - 13:20

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La journée état passée plutôt vite. Comme un grand nombre de personnes ( trop grand à mon goût, ça en devenait presque pénible), j'avais été en cours. J'avais eu plusieurs heures de droits d'affiler, mais aussi de la littérature, et de la philosophie. Si le bac était loin derrière moi, il se trouvait que les examens d'entrée dans les grandes écoles de rapprochaient à grands pas. Je n'avais jamais eu peur des épreuves écrites, ni orales, d'ailleurs. Ce qui me faisait le plus peur, dans ces concours, c'était le nombre de gens, réunis là, pendant deux ou trois heures consécutives. C'était rien, me direz-vous ? Pour quelqu'un de normalement constitué, ouais c'était rien. Mais pour quelqu'un qui possède un pouvoir d'empathie mal contrôlé, c'était un calvaire : stress, inquiétude, pire: angoisse. Peur, peur de l'échec. Comment voulez-vous vous concentrer quand un tel vacarme et flot d'émotions vos tambourine dans le crâne ? C'était loin d'être de tout repos... Cependant, j'avais encore le temps de baliser ! Pour l'heure, c'était les vacances, et j'allais enfin pouvoir prendre de la distance avec tout ça. Si continuer les études dans de pareille conditions pouvait paraitre masochiste, j'aimais le cadre studieux, et toujours apprendre de nouvelles choses. Surtout, j'avais besoin de diplômes pour pouvoir devenir avocat, et il n'y avait rien qui me tenait plus à cœur que de foutre en taule des pourris jusqu'à l'âme, qui tuaient ou violaient. L'immoralité de ce monde, le manque de valeurs et de paroles ayant encore un prix me tuaient littéralement. Les jeunes n'avaient plus rien pour les racheter, et les vieux n valaient pas mieux. Ce monde était une vraie déchèterie , et j'espérais y remédier un jour. Il n'y avait rien, dans ce monde, qui avait pour moi plus de prix. Je me surpris alors à penser à mon père, et la bile me monta à la gorge.

Ce père, que je croyais aimant, passionné et protecteur... Ce même père, qui m'avait banni d'Angleterre et envoyé en France, pour une chose certes horrible, mais sur laquelle je n'avais pas de prise à l'époque... Oui, j'avais tué. Et ça hanterait mon âme à tout jamais. Si ce garçon était mauvais, il ne méritait pas la mort. Je le savais. Mais je ne l'avais pas fait volontairement... Seulement, l'acte était là, et tout le monde n'avait vu que ça. Alors j'avais été envoyé loin de ma famille, loin de mes rares amis, alors que je n'étais encore qu'un adolescent, et laissé aux mauvais soins d'une famille d'accueil ivre et irresponsable. Quand j'y repensais, ça me rendait malade. Alors j'arrêtais d'y penser. Je revins à la réalité. Les cours étaient finis, et j'allais pouvoir m'évader. Enfin. Je marchais donc à travers les couloirs du lycée, sans les voir, puis des rues, toujours sans sembler les voir. Ce paysage urbain était tellement laid qu'il m'en brûlait les yeux. Je marchais donc vers un endroit un peu plus naturel, faute de l'être totalement: le parc. Dans le ciel, le soleil déclinait, et j'espérais que ça éloignerait la foule, qui préférerait se réfugier dans ces horribles endroits qu'on appelle "boites de nuits", ou "bars". Des lieux que j'évitais de tout mon être. La foule, la liesse, l'ivresse, sans compter l'envie de sexe, la drague et toutes autres choses me rendaient incontrôlable. Sans compter que, quand tu as été laissé aux mauvais traitements d'un ivrogne, tu n'as pas trop envie de regarder les gens se bourrer la gueule, pour finir à cuver dans le caniveau.

Je passais le portail du parc, alors que le ciel se peignait d'un magnifique masque d'orange et de mauve. L'air était doux, et balayait mes cheveux. Le sac passé sur l'épaule, j'essayais d'éviter les possibles lieux où se trouveraient des gens, s'il y en avait: l'aire de jeux, et les bancs environnants. Mais par chance, ils emblaient déserts, comme les allées. Cependant... Elles ne l'étaient pas tant que ça. Quand je passais à côté des haies qui fermaient l'aire de jeux, je ressentis, au fond de moi, une joie et une insouciance qui n'étaient pas miennes. Sans doute qu'un ou une enfant s'était égaré là. Continuant ma marche, sas trop m'attarder sur l'étrange phénomène m'étant devenu si coutumier, je passais devant un banc où était allongé un homme aux cheveux longs, qui devait avoir fumé il  a peu, selon l'odeur. Il me paraissait humain, et assoupi, mais je me méfiais des apparences. Finalement, je préférais retourner voir qui était l'auteur de cette sensation si agréable de joie et de candeur pures. Passant la petite grille qui bouclait l'aire pour enfants, je vis une fillette, assise dans le sable, près des balançoires, parlant à ne peluche en forme d'ours, par logique. Je m'approchais, et une vague d'émotions confuses me gagna. C'étaient des émotions plutôt bénéfiques, cependant, le fait que ce ne soient pas les miennes restait dérangeant. Je m'accroupis à côté de la gamine, essayant de faire fi de ce que je ressentais. Lui souriant, je lui parlais d'une voix douce et amicale:

-Bonsoir.

Message par Invité Sam 29 Juin - 16:13

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Freedy s’était laissé égarer par ses pensées toutes plus confuses les unes que les autres, le moment de solitude semblait prendre fin. Une gamine accompagnée de sa peluche, ainsi qu’un homme venait de s’égarer dans les jeux. Ils parasitaient inconsciemment  l’espace vitale expansif du jeune magicien, Rage lui aussi les avait remarqué. Sans savoir pourquoi sa poupée se mettait à rire, comme si elle voyait à cette scène quelque chose que Freedy lui ne pouvait même pas comprendre. Il lui aurait bien demandé pourquoi se dernier semblait amusé, mais la réponse dans le fond l’effrayait plus qu’autre chose. Il accorda de nouveau un regard aux deux autres personnes, puis s’attarda sur sa propre cage. Elle était peut être simplement en train de délirer, ce qui lui arrivait assez fréquemment en y repensant. Il ne savait pas quoi faire, peut être allait-il se payer une bière plus loin, où alors surveiller cet étrange homme. Il n’était pas commun qu’à la nuit tombée, jeune homme et petite fille se rencontrent dans les airs de jeux en toute innocence. Songeant à ce dernier point il sentit soudainement son torse se contracter, la douleur fut brève mais intense, comme si une tornade enflammée attirait tout à elle au sein même de son corps. Portant la main à ce dernier il comprit que ce n’était pas son corps, mais la cage elle-même qui commençait à chauffer, le rire de Rage se faisait de plus en plus fort, de plus en plus clair. Ceci arracha un sombre sourire à Freedy, l’heure n’était pas encore venue, non ça serait bien trop simple de se laisser aller ainsi aux désirs de ce prisonnier, il pressa ses mains sur la cage puis commença à murmurer des mots.  La paume de ses mains souffrait énormément, le contact de la peau sur du métal très chaud était rarement agréable, les exceptions à cette règle étaient peut être lorsque qu’on collait sa tête contre un radiateur lors d’un passionnant cours de mathématiques.  Mais qu’importe la situation actuel était très différente ! Ses mains commencèrent à supplier leur propriétaire de les laisser partir, mais ce dernier faisait preuve d’une endurance mentale à la douleur physique assez impressionnante. Ce n’est qu’après avoir achevé son incantation qu’il retira ses mains, la cage elle sembla soudainement laisser s’échapper un bref nuage de fumée, avant de retrouver une température normale.

A l’intérieur de sa cage, Rage lui avait trouvé le moyen de s’accroupir, laissant son masque rouge voilé son visage il s’arrêta de rire en sentant la force de son geôlier compresser son pouvoir. Il touchait presque à son but, bientôt il aurait récolté suffisamment d’énergie pour pouvoir se transformer seul. Il se vengerait sur cette pourriture qui le gardait enfermé, premièrement il l’avait égoïstement mis au monde, deuxièmement il n’avait pas eu le courage de l’anéantir histoire d’abréger ses souffrances, troisièmement il était en  train de le garder enfermé dans cette maudite cage depuis des mois maintenant ! Il allait le payer cher, ainsi que toutes les autres poupées, puis les créatures alentours n’allaient pas tarder non plus de sentir leurs corps se faire briser. Oui ils allaient tous payer, il n’avait rien à faire en ce monde sa place était de l’autre côté avec sa mère ! L’obscurité de cette cage n’était pas plus déplaisante que ce qu’il y avait à l’extérieur, il le savait. Si ce n’est du bruit, des carnages, de la pollution, des hypocrites ainsi que des odeurs nauséabondes la vie à l’extérieur ne valait pas grand-chose. Pas besoin de le vivre pour le comprendre, cette petite fenêtre par laquelle s’infiltraient les rayons lumineux de la Lune ainsi que celle du soleil lui avait permit de réaliser bien des choses. Nombreux étaient les humains à traverser ce monde, mais combien valaient-ils vraiment la peine de s’intéresser à eux ? Non mais, il suffisait de regarder Freedy, il s’était lui-même amputé des parties de son âme pour échapper aux sentiments lui semblant indésirable. Mais dans le fond, Rage savait pourquoi le jeune magicien s’était plongé dans une telle aventure en solo, son désir réel et concret était bien plus sombre qu’il ne le laissait penser. Pourquoi l’orgueil n’avait-il toujours pas été arraché à son être ? Pourquoi  la gourmandise elle restait en place aussi ? Pourquoi sa propre colère n’avait-elle toujours pas bougé ? Tout simplement par ce qu’il en avait besoin, il se fichait bien de la compagnie de ses poupées … au finale c’était son objectif et rien d’autre qui l’obsédait. C’est pour cela que dans le fond, Rage haïssait Freedy.

Une fois l’enchantement pratiqué il ne put s’empêcher de souffler soulagé d’avoir calmé les ardeurs de sa poupée, il accorda simplement un bref regard à la Lune avant de s’assurer que l’autre jeune homme ne fasse pas de bêtise. La scène était toujours aussi glauque, lui avait été suffisamment discret pour qu’on ne la remarque pas, si ce n’est peut être l’odeur de chaire brûlée partiellement qui devait être assez désagréable si elle arrivait aux narines des autres. Mais il n’en avait en fait réellement rien à carrer. Il se contenta de sourire, en laissant le côté tactile de ses mains tourné vers le ciel. Histoire qu’elle rafraîchisse avec le vent.

EDIT



Il se leva puis quitta les parcs une nouvelle clope au bec, sans faire attention trop occupé à regarder ses mains, il traversa la route. Au même moment un poids lourd s'échappait de nul part renversant à pleine vitesse le magicien, mettant ainsi fin à ses jours. Oups!

[Vous pouvez continuer le Rp amusez-vous bien]

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