| par Invité Jeu 27 Juin - 21:21
| Pour Dietfried, ses dernière semaines ont été ennuyeux et bordélique. Vivant toujours dans sa chambre d'hôtel, étant trop flemmard pour allez voir les manoirs de la ville. Mais ces surtout parce qu'il était trop fatiguer pour faire quoi que ce soit, autant mentalement que physiquement. Ne sortant de son lit que pour allez mangé ou se laver.
Il était comme ça depuis son contrat avec Kyarra pour le meurtre de Saphira Denver, La Darkness, le meurtre à été parfait, la police n'avait aucune piste sur lui et il n'était même pas soupçonné de ça mort. Il en était heureux, mais pourtant depuis son petit combat contre elle.. il était *mélancolique* l'illusion avait du l'affecté beaucoup plusse l'esprit qu'il l'avait prévu. Il faisait des cauchemars sur ce que Saphira lui avait fait subir, il n'avait pas dormi depuis quelques jours et même lorsqu'il arrivait à dormir ses cauchemars restait mais en moins violent.
Sa blessure à la main na pas été mieux, parce que en plus que sa régénération à duré plusieurs jours ça été douloureux au point que bouger ses doigts était une torture et devait faire un effort surhumain pour ne pas hurler à chaque fois. Mais après deux semaines, un cocon d'écaille avait fini par englober toute sa main brûler et le lendemain d'après il avait arraché morceaux par morceaux le cocon qui se mit à couler d'un liquide blanc qui dégageait une odeur nauséabonde. Sa main avait avait repris un peux de sa forme normal, Il n'avait pas encore d'écailles mais une peau noir et gluante et ont pouvait voir ses veines bleues à l’œil nu et n'avait pas d'ongles. l'Homme-serpent n'était pas inquiet, c'étais un effet normal de sa régénération, dans un jour ou deux sa main allait re avoir des écailles et non une peau gluante.
Il se mit un gant de cuire noir pour cacher sa main gauche *celle qui est gluante* le temps qu'elle redevienne normal.
Au moment même ou il jeta dans la poubelle son cocon qui sentait la charogne.. il reçu un message texte venant d'une personne inconnue, mais qui lui confirma qu'elle était une femme, cette femme voulait parlé business avec lui, ce soir au Bar bouken à l'étage de luxe, Oh intéressant, une petite riche, Elle lui donna l'heure, 22h, rien de plus facile il avait vachement le temps de se préparé. Il prit une grosse douche chaude, se mit du désodorisant, un peux de parfum sur la nuque, mais pas trop, mais juste assez pour qu'il dégage une bonne odeur. Il se peigna les cheveux. Il se mit ce mit une chemise blanche un peux déboutené laissant voir un peux son torse, avec un jean bleu, et remit son gant de cuire noire.
Il prit ses clés, ferma la porte, et sortis de l'hôtel, et embarqua dans sa voiture et la démarra tout content de pouvoir enfin sortir, et peut-être que la soirée avec la gente demoiselle sera intéressante.
Mais il perdit vite son sourire lorsqu'il fut prit dans le trafic, au début il ne s’inquiéta pas jusqu'à ce qu'il regarda l'heure sur son cellulaire.... 23h10?!
-Et merde, j'espère qu'elle n'est pas parti?!
Il ce stationna vite fait et alla devant l,entré du bar, gardé par un doormen, assez baraqué, après avoir montré sa carte pour prouvé son age *Tss le con* Il rentra et monta au deuxième étage. La musique était à fond, les femmes ravissantes, les boissons coulait à flots.. les mecs faisait chier , surtout des jeunes riches, et draguaient tous ce qui avait des seins.
Il vit celle qu'il cherchait était vêtue d’une légère et courte robe noir à corset sans brettelles et de sandale noir à talon haut,très jolie et jeune.
Il s'assit à sa droite et fit un sourire charmeur à la jeune femme:
-Bonsoir, désolé de mon retard, il avait de l'embouteillage sur la route.
Il se commanda un verre de Whisky et but à petite gorgée son verre, et regarda ensuite la jeune femme.
-Je crois que vous me connaissez déjà, et que vous voulez *Parlez business* avec moi?
Il but une gorgée de son verre et demanda poliment :
-Au faite qu'elle est votre nom, je pense pas que vous aimeriez que je vous nomme juste ''l'Humaine'' et avant que vous me posiez la question, oui je reconnais l'odeur de chaque espèce.
Il attendit la réponse de la femme |
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