Avventura
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Message par Invité Jeu 28 Fév - 12:16

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La nuit était tombée depuis un bon moment déjà, et la lune était haute. Je marchais dans le parc, encore un peu hagard. Je repensais à ces vingt dernières années, durant lesquelles ma vie avait complètement basculé. Lors de ma nuit de noces, mon nouveau mari m'avait mordue, et transformée. Tranformée en quoi ? En vampire ! Si j'y avais survécu, lui non. Il était mort par mes mains. Mais ça faisait déjà vingt ans de celà. Pourtant, je découvrais encore beaucoup de choses sur moi-même. Il fallait beaucoup de temps pour être vraiment au point, entre les perceptions améliorées, les modifications du corps et du cerveau, et l'arrivée de nouveau pouvoirs tous plus flippants les uns que les autres. Recemment, je m'étais mise à entendre tout un tas de voix confuses, dont j'ignorais la provenance. Tout ce que je savais, c'est qu'elles me filaient des maux de tête à faire péter un câble. L'agréable surprise de tout ça, c'est que même les plus forts anti douleur ne pouvaient pas remédier à la chose ! Du coup, je sortais beaucoup ( la nuit, bien évidemment, car plus question de me pavanner au soleil dorénavant...) pour faire passer la douleur, même si s'était relativement peu efficace. En plus de ma transformation, ces vingt dernières années, j'avais retrouvé les membres de ma famille complètement charcutés, et morts bien sûr, dans la demeure familiale toscane.

Après m'être renseignée sur les loups-garous, et sur les lègendes communes à nos races, j'avais eu vent d'une guerre millénaire entre nous. Visiblement, aujourd'hui ça avait pas mal changé, et les vampires détestaient moins les loups qu'avant, mais à l'époque du massacre, s'était oeil pour oeil, dent pour dent. Je n'avais donc pas eu de mal à constater qu'ils étaient à l'origine de l'attaque de la villa. J'y avais survéu, n'étant pas au manoir ce soir là. J'étais partie me promener sur la plage. A mon retour, j'avais aussi constaté que ma soeur aînée, Tina, n'avait pas perri dans le coup monté qui avait visé mon Clan, au nom très évocateur qui avait marqué toutes les légendes : La Famille Maudite. Puissante famille de vampire, exterminée par leurs ennemis ancestraux... Sauf que j'étais toujours recherchée par ceux qui voulaient finir le travail qu'ils avaient commencé, et je devais fuir de pays en pays pour sauver ma peau. J'ignorais même où était ma soeur aînée, qui avait du quitter l'Italie à son tour, sans m'informer de sa destination. Je priais seulement pour qu'il ne l'aient pas retrouvée... Et tuée. Maintenant à l'Avventura, nombre de générations après celle des tueurs ( malheuresement immortels, comme moi),, beaucoup de gens avaient oublié notre histoire, mais je ne pouvais oublier pareil carnage...J'étais marquée au fer rouge par cette histoire...

Mais pour en ajouter à cette histoire, j'étais tiraillée par ma soif de sang, comme de vengeance. En plus de tuer tous les loups qui me tombaient sous la main, je m'étais rendue coupable de nombre de meurtres en série, tous plus macabres les uns que les autres, tuant des innocents par centaine. Enfants, femmes, hommes, tous y passaient. Mes yeux, voilés par les souvenirs, ne m'avertirent pas que j'allais foncer dans un jeune homme aussi blâfard que moi, marchant dans le sens inverse du miens. Ramenée à la réalité par l'impact, je m'excusais. Il avait les yeux verts, le teint cadavérique, il était frêle mais pourtant avait la peau aussi dure que le plus solide des rocs. Ses membres étaient graciles, et ses gestes souples et élégants. Sa démarche semblait dansante. J'en vins à me dire qu'il ne pouvait pas m'être foncé dedans par simple coincidence. Les vampires avaient des reflexes suffisement rapides pour pouvoir éviter une voiture lancée à fond de train, il aurait aisément pu devier de sa trajectoire pour me contourner. mais non, il m'avait percutée de plein fouet. Surprise, je l'écoutais se présenter. Il s'appellait Andrew. Je remarquais bien vite un étrange symbole, tatoué à l'ancre noire sur son avant bras. Il était en t-shirt dehors, alors qu'on était en plein hiver. Certes, les vampires ne craignaient pas le froid, mais quel manque de discrétion ! Par contre, il portait des gants noirs et une paire de baskets. Etrange mix...

Je me présentais à mon tour, ne lui donnant que mon prénom. Mais lui aussi avait remarqué que j'étais vampire, et bien que j'ai un manteau m'arrivant aux cuisses par dessus, que je portais un magnifique berreta 92 FS à la taille... L'arme chargée aux balles d'argent avec lesquelles je dégommais ces sales chiens de lycans. Il ne me baratina pas pendant trois plombes, me révélant à demis-morts pourtant, la raison de notre collision. M'attirant à peu à l'ombre des arbres bordant l'allée du parc, il me dit:

-Vous êtes Catherine Pierce, n'est-ce pas ? Nous vous cherchions depuis une paire d'années ,maintenant. Votre réputation de chasseuse vous précéde. Nous avons besoin de vos talents.

-Qui, '"nous" ?

-Les Agents De La Mort. Une association de puissants vampires, traqueurs ne lycans depuis tant d'années déjà.

-Et qu'est-ce qui vous dit que je voudrai vous rejoindre ? Je chasse seule.

-La vengeance. Celle qui vous pousse à tuer de sang froid ces animaux. Ceux qui ont exterminé votre famille. Saignés à blanc, comme des bêtes... Charcutés comme des animaux...

-Ca suffit !

Je retins mes larmes, serrant les poings. Ce qu'il ne me dit pas, et que j'ignorais, c'est que mon père était lui-même un ADLM, et qu'il avait passé un pacte avec l'organisation, pour qu'à ma trasnformation en vampire, je rejoigne leurs rangs, pour y être formée. ce qu'il omettait aussi, et que là encore je ne savais pas, c'est que ce n'était pas les lycans qui avaient liquidés ma famille...Mais les Inquisiteurs, dont la réputation n'était plus à faire. Pourtant, je n'avais pas soupçonné le moins du monde qu'ils puissent être derrière tout ça. La confirmation d'une attaque de loups par Andrew suffit presque à me convaincre. Surtout que je me rappellais avoir faillit mourir sous les coups d'un loup nommé Danaliel, si mes souvenirs étaient bons. Par ailleur, une autre chose m'avait été cachée : mon mari n'avait pas été choisi par hasard par mon père à la double identité, mais bel et bien dans le but de me changer en vampire, pour me livrer à ces Agents... M'appuyant nonchalemment contre le tronc de l'arbre le plus proche, je réfléchis un instant à ma réponse. D'un côté, ces hommes m'aideraient à me venger, mais de l'autre, s'ils étaient des traîtres, ils auraient facile de me livrer à ceux qui me recherchaient...

Message par Invité Sam 2 Mar - 13:30

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-Je suppose que vous n'en direz pas plus à un non membre ?]
-N'on n'en avons pas le droit, je suis désolé.
-Bien... Et si je vous dis que je vous rejoint, il se passera quoi ?
-Venez avec moi, mademoiselle Pierce.

Il se mit alors à marcher dans l'allée du parc d'un pas décidé, et je le suivis d'une démarche souple et élégante. Pourtant, j'étais plus méfiante que je n'y paraissais. Je ne savais pas exactement a quoi jouait cet homme, mais de toute évidence, il me voulait. Les Agents De La Mort me voulaient. mais existaient-ls au moins ? Comment se faisait-il que je n'ai jamais entendu parler d'eux ? Qu'est-ce qui me garantissait qu'ils n'étaient pasàl'origine de l'attaqu de notre villa florentine ? Mais là encore, j'étais bien loin de la vérité, bien loin de me douter que mon père n'était pas étranger à tout ça, et même qu'au contraire il en était le complice. marchant à côté d'Andrew, les mains dans les poches de mon manteau, près de la crosse de mon arme, je respirais le plus calmement possible, n'ayant de cesse de retourner ces questions sans réponse dans mon esprit. De la même manière que je ne connaissais pasle vampire qui avait transformé mes parents, je ne savais pas qui était exactement ce vampire. Il était facile de se prétendre être quelqu'un, et que ça ne soit qu'un mensonge...

-Où va-t-on d'un si bon pas ?
-Rejoindre les autres pour votr initiation.
-J'exige de savoir en quoi elle consiste, sans quoi je ne ferais pas un pas de plus.
-Soit. L'initiation est en deux étape. La première est cmposée d'ne vague cérémonie où l'intronisé prête serment de ne jamais trahir l'organisation, et de toujours être là pour la défendre. Il jure aussi sur son sang qu'il fera toutes les missions qu'on lui ordonnera d'accomplir sans jamais chercher plus loin que les informations fournies avec l'ordre de mission. Une fois le serment passé, on remet à l'intronisé deux plaques de métal, semblables à celles donées à l'armée, qui permettent d'identifier ceux qui font partie de l'ordre.Pour accompagner les plaques, on grave sur la peau du nouveau membre le symbole de l'organisation, sous la forme d'un tatouage indélébile. Aucun membr ne l'a au même endroit.
-Je vois. Très simple, en soi.

Nous nous remîmes à marcher, jusqu'à ce qu'on arrive à un grand ensemble d'arbres et de fourrés touffus, derrière lesquels se trouvait un passage. Des hommes, vêtus de longs manteaux noires et de masques de la même couleur leur cachant les yeux, se tenaient debout en cercle. D'une vue extérieure comme celle que j'avais en empruntant le passage derrière Andrew, je n'aurais su dire qui était une femme et qui un homme. Ils avaient le visage fermé, la tête à demi baissée, et murmuraient des incantations qui me semblaiet être en latin. Je ne compris pas la totalité de ce qui se disait, mais ils étaient ici comme s'ils avaient été sûrs que je viendrai. Ils avaient de toute évidence commencé la cérémonie, avant même que je n'arrive. Andrew m'annonça à voix basse au cercle, qui ne cessa de marmotter ses incantations. Personne ne leva la tête pour me regarder. Le vampire qui m'avait accueillie me fit signe de pénétrer dans le cercle et de me tenir debout en son centre, ce que je fis souplement, sans même toucher ceux qui délimitaient le périmètre du cercle. Mon manteau vola légérement autour de moi, et je m'installais à la place indiquée.

Un homme, semble-t-il, sortit du cercle pour se placer devant moi. Il ôta la capuche de son manteau de cuir noir, mais ne dévoila pas ses yeux. Lesmembres du cercle se mirent à parler plus fort, jusqu'à ce que l'homme devant moi les interrompe d'un geste autoritaire. Je n'étais ni inquiète, ni stressée. Afficher la plus totale décontraction était une astuce pour éviter de rendre de possibles ennemis trop confiants. Respirant profondément, je restais immobile quand l'homme posa une main sur mon épaule, me disant :

-Catherine Pierce, êtes-vous prête à rejoindre nos rangs. Répondez par oui ou par non.

Surprise, cette fois-ci, je souriais en coin. Ok, le serment se passerait sous la forme d'un questionnaire fermé ! Chouette, bienvenue dans la cour de récré dune classe de maternelle...

-Oui.
-êtes vous prête à jurer votre fidélité au groupe, par delà la vie et la mort.
-Oui.
-Jurez-vous de garder secrète l'existencede l'organisation, et de faire toutes le smissions qui vont seront ordonnées ?
-Oui.
-Bien.

Il s'éloigna de moi, et s'approcha d'Andrew, qui releva la tête. Je le reconnus car il était le seul à ne pas porter la tenue que les autres arboraient. Il n'avait pas enfilé de manteau ou de masque, il était toujours en t-shirt et avait gardé ses gants noirs. Je necherchais d'ailleurs pas à savoir pourquoi. Il ouvrit le point et le tendit devant lui, avant de l'ouvrir, paume vers le haut. Dans cette dernière apparurent une petite chaine métallique, au bout de la quelle étaient accrochées deux plaques rectangulaires gravées en noir. L'homme au manteau s'en saisit, avant de revenir vers moi. Il tira un couteau à double tranchant de sa ceinture, et me demanda de tendre ma main, paume vers le haut. Je m'exécutais, et il plaçait les plaques en dessous de ma main. Là, je respirais un grand coup, sachant ce qui allait de passer. Il ouvrit un trait sanglant dans ma main, et je fermais le poing. Le filet rouge tomba sur les plaques et ruissela su les lettres noires, qui prirent la couleur du liquide. Rouvrant la main, je vis la plaie se refermer. L'homme passa les plaques autour de mon cou et tous ôtèrent leurs masques. Attendant la suite, je me tenais calmement et patiemment debout au milieu du cercle, observant les visages de mes nouveaux collègues.

Message par Invité Lun 4 Mar - 14:21

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L'ambiance était de plus en plus tendue et solennelle. Je pensais que le pire était déjà passé, mais visiblement, tous ne partageaient pas mon avis. Les bras croisés sur la poitrine, je continuais d'observer les Agents. Mon regard s'arrêta sur Andrew. Il semblait plus détendu que les autres, même s'il restait nerveux. L'homme qui m'avait remis les plaques m'attira derrière un arbre, et tous se dispersèrent, sauf lui. Les sourcils froncés, je commençais à m'inquièter, n'aimant pas du tout la tornur que prenaient les événements. Ma mine avait beau être impassible, l'homme du comprendre mon état d'esprit, et me rassura avec un sourire pourtant trop timide pour être vraiment apaisant. Il tira de son son manteau une boite, dans laquelle se trouvaient deux flacons d'ancre noire et uninstrument qui devait servir à appliquer l'ancre. Je me souvins alors des paroles d'Andrew. Chaque nouveau membre de l'organisation possédait un tatouage, dont l'emplacement était unique. Je me doutais donc que c'était ce qu'on comptait me faire. L'homme me fit asseoir, et je ne me rebellais pas, m'installant dans l'herbe. Par contre, quand il m'ordonna d'ôter mon manteau et mon haut, je le regardais avec des yeux ronds. Je n'avais pas la moindre envie de me retrouver en soutient gorge devant cet inconnu ! Bien trop prude à son goût, il m'envoya un regard contenant un message très clair: je ne pouvais plus reculer, n'avais plus le choix. Soupirant à grand renfort de théâtrisation, j'ôtais mon manteau, puis mon t-shirt, dévoilant ma peau nue, parfaite mais blême. L'homme s'assit entailleur derrière moi et prépara son matériel. Quand se fut fait, je sentis une longue série de piqûres dans le bas de mon dos. Au bout d'une bonne heure à rester figée sur place, subissant les aiguilles dans ma peau sans trop de mal, tout cessa, y compris le bruit électrique que faisait l'espèce de pistolet que tenait l'homme. Il se leva, rangea son materiel et partit sans dire un mot. Figée par la stupeur, je n me retournais pas immédiatement, ne réalisant pas tout à fait que j'étais à moitié nue au milieu d'un parc publique, même s à prmière vue il n'y avait personne à cet endroit là. Surtout que nous étions en pleine nuit, mais quand même !

Une fois la stupéfaction dissipée, je me levais. Quand je me retournais, j'apperçus Andrew, debout non loin de là. Je compris très vite ce qu'il regardait avec cet air appréciateur. Je refilais mon t-shirt à toute vitesse, passant habilement mon manteau par dessus, le refermant après avoir remis mon pistolet à sa place. Il s'approcha rapidement de moi, bien trop pour être humain, mais ça je le savais déjà. Glaciale, je lui dis :

-Dit-moi: est-ce que vous avez pour habitude de vous reluquer en douce, chez les Agents De La Mort ?

Il rit, avant de s'appuyer avec élégance contrel'arbre près du quel j'étaistoujours, avant de me réponde calmement:

-Ce n'est pas une habitude. Je ne le fais que quand la nouvelle est ravissante... De plus, je vais être obligé de te talonner pendant deux ans au moins. Je suis ton maître. Rien de bien méchant, mais je serai celui qui t'apprendra tout ce dont tu dois savoir. Autrement dit: je gère ta formation.
-Quelle surprise ! C'est toujours celui qui recrute le nouveau qui gère son entraînement ?
-Non, pas toujours. En général, c'est voté par le Conseil des Anciens. Mas il se trouve que je n'ai pas pour habitude depasser à côté des élèves talentueux comme toi.... Ta présence deffraye déjà la chronique !
-Ca promet ! Sinon, on commence quand ?

Il sourit, avant de me dire d'une voix presque séductrice où rôdait pourtant le danger:

-Maintenant !

S'élançant vers moi avec grâce, légéreté mais férocité, il envoya un coup de poing qui m'aurait fait beaucoup d mal si je ne l'avais pas évité aisément en me penchant un peu sur le côté. Enchaînant avec un coup de pied au niveau des genoux, je dus sauter au-dessus e sa jambe pour esquiver. Ne se laissant pas abattre, il continua à m'attaquer, et les coups plurent. Dans un premier temps, je me contentais d'esquiver les attaques, mais je fini par en avoir marre de ce petit jeu où lui seul s'amusait. Profitant d'une fille infime dans sa défense, je me glissais de sondos comme un serpent, mordant son tibias du bout du pied. Il se retourna juste à temps, me balançant un coup de pied en plein visage qui m'expédia contre un autre arbre. N'ayant pas le réflexe de me retenir ou d'amortir ma chute, je m'écrasais violemment contre le tron dans une gerbe de bout de bois qui m'entaillèrent presque la peau. Heureusement que mon manteau avait amorti les darts, sans quoi je me serais vu infliger des plaies qui auraient mis un certain temps à cicatriser. Courant vers moi sans sembler se presser pourtant, Andrew me saisit par le cou, me plaquant à l'écorce dure du végétal. Je me retrouvais coincée entre le bois et le corps de marbre de mon maître... Un fin sourire aux lèvres, je lui mettais ungrand cou de pied, qui le toucha au genoux. L'articulation craqua méchemment, et un son lugubre retenti. Me libérant de la poigne e vampire, je lui mettais un coup de pied en plein visage, qui le retourna comme une crêpe, l'alongeant sur le dos dans l'herbe. Je mettais une semelle de otte épaisse et inquisitrice sur sa gorge, le plaquant par terre. Je l'aurais étouffé s'il avait respiré.

S'aidant de sa force surhumaine, que j'essaye de contrebalancer par la mienne, en vain, il souleva mon pied et me fit faire un salto que ne pus maîtrise et qui m'expédia à mon tour par terre. Essayant de me relever, je ne m'aperçus pas qu'il était déjà debout à côté de moi. Pourtant, cette fois-ci ce ne fût pas un coup qui accueillit sa présence, mais une main tendue. Méfiante, je ne m'en saisis pas. Mais son regard était convaiquant et sincère. Attrapant sa main, il me souleva du sol pour me remettr sur mes pieds aussi facilement que si je n'avais rien pesé. Les paroles qui suivirent mon remerciement bref m'étonnèrent:

-J'avais raison, tu te bats déjà bien. Mais je peux t'apprendre pas mal de choses malgré ça. Où as-tu appris ce que tu sais?
-Un peu partout où je suis passée. Sur le tas. Personne ne m'a apprit, j'ai surtout beaucoup observé. J'ai retenu l'interessant, corrigé quelques erreurs en fonction de mes adversaires.
-C'est courageux de ta part de te lancer dans la chasse aux loup sans avoir jamaisapprit à te battre avec un vrai professeur. Je suis étonné de l'étendue de tes capacités.
-En encore, tu n'es pas au bout de tes surprises. Je ne maîtrise pas que le corps à corps.

Cette fois-ci, il ne répondit pas et nous nous mirent à marcher dans les allés desormais désertes du parc. Jene savais pas où nous allions, mais j'étais sûre que dans peu de emps, je serai au courant.

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