Messages : 28 Date d'inscription : 24/04/2022 Feuille de personnageRang: Pouvoirs: PyrokinésieStatut (membre actif ou inactif ?): Actif
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Evenement Bal des Vankov
Vous êtes parvenus à assiter au bal des Vankov. Alors comment était-ce ?
| par Nathan Vernier Dim 24 Avr - 19:34
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Nathan Vernier Time to burn shit up Identité Nom : Vernier Prénom : Nathan Âge / Année de naissance : 22 ans, né le 4 janvier 2078 Race : Humain Profession : Anciennement étudiant en urbanisme, aujourd'hui activiste chez les rebelles Groupe : Rebelle
Pouvoir : Pyrokinésie
Nathan a la capacité d'embraser la matière à condition d'avoir un contact physique avec celle-ci. Il n'a pas la faculté de faire naître des flammes à distance, à moins d'enflammer un objet dans sa main et de le lancer pour atteindre la cible visée. Toutefois, il maîtrise encore mal ce pouvoir dont il ne connaît rien et ses émotions influencent énormément l'apparition de ses flammes, les rendant imprévisibles. Des émotions fortes comme la peur, la colère ou la tristesse peuvent les faire surgir plus facilement. A noter qu'il est capable d'en doser la puissance et l'augmenter si nécessaire mais il n'a pas la faculté d'éteindre les flammes. Inutile de préciser que le garçon ne peut recourir à son pouvoir quand il pleut et qu'un temps humide rend son utilisation moins aisée. Si le temps pendant lequel les flammes opèrent n'a aucune conséquence sur lui, chaque utilisation de son pouvoir lui cause de terribles brûlures, apparaissant aléatoirement sur l'ensemble de son corps. C'est la raison pour laquelle le garçon privilégie des vêtements amples pour masquer ce contrecoup à ses adversaires. Leur gravité dépend de la puissance des flammes créés. Une étincelle de la taille de celle émise par un briquet s'apparente à une brûlure causée par un bref contact avec une plaque encore chaude. L'embrasement d'une personne lui cause une douleur si effroyable qu'elle lui en ferait perdre conscience. Selon la gravité des brûlures, certaines peuvent être soignées jusqu'à disparaître complètement quand les autres demeureront à vie sur sa peau.
Qui es-tu ? De nature calme, le garçon n'est pas du genre à chercher le conflit. Il préfère toujours calmer le jeu que de laisser les choses s'envenimer, quitte à faire des compromis de son côté. Nathan déteste la violence et ceux qui s'en servent pour parvenir à leurs fins. Quand il ment, son regard se fait fuyant et il se met à fixer systématiquement un point sur sa droite. S'il pouvait avoir un toit au-dessus de la tête et à manger sans avoir à aider les rebelles, le garçon s'en contenterait largement. Malheureusement, il n'a que trop conscience à quel point il leur est redevable de l'avoir sauvé des rues ou du Cercle et ne peut pas vraiment refuser de leur prêter main-forte.
Étant pourvu d'une excellente mémoire visuelle, Nathan est en mesure de leur fournir de tête, les plans des différents quartiers et bâtiments importants qu'il a pu observer pendant ses études d'urbanisme. Cependant, il ne sait pas quoi penser de ce qui lui arrive. Bien sûr, il en veut terriblement à ses parents, ainsi qu'à Axel pour sa trahison et au Cercle qu'ils jugent responsables de son statut de fugitif. Il a toujours vécu dans une société oppressant ceux et celles pourvus de pouvoirs et pendant longtemps, il a fermé les yeux sur la réalité. A présent qu'il est lui-même passé de l'autre côté, Nathan ne sait pas comment se comporter vis-à-vis de ceux dont il a volontairement ignoré le calvaire jusqu'alors. Son embarras à ce sujet le force davantage à coopérer avec les rebelles.
Prévenant, il a tendance à s'inquiéter davantage pour les autres que pour lui-même, ce qui n'est pas sans agacer certains de ses interlocuteurs. Son pouvoir l'effraie, autant parce qu'il ne sait rien de lui et qu'il continue à le découvrir chaque jour qui suit, qu'en raison des conséquences physiques qu'il provoque lors de chacune de ses utilisations. A ses yeux, le contrecoup est une faiblesse qu'il préfère cacher, aussi bien à ses alliés qu'à ses adversaires. Plus encore, il est terrorisé à l'idée d'avoir à subir le sérum. Il lui arrive d'en faire des cauchemars et de se réveiller en sueur en plein milieu de la nuit. Parfois, il se surprend à croire aux idéaux des rebelles. Et peut-être un jour, parvenir à s'accepter pour ce qu'il est réellement.
Comment es-tu Banal. Voilà comment on peut le qualifier. Hormis une chevelure d'un roux sans doute un peu trop vif, rien dans son physique n'attire particulièrement le regard. De corpulence moyenne, le garçon mesure 1m75 pour une petite soixantaine de kilos. La peau claire, un peu trop au point de marquer facilement. Les brûlures qui y naissent parfois s'en remarquent d'autant plus. La musculature à peine développée pour quelqu'un de son âge, des traits fins rehaussés par des yeux en amande d'un brun très clair rappelant la couleur du caramel. Nathan parle peu mais lorsqu'il s'exprime, sa voix se veut posée et douce, à l'image de l'intéressé même si elle sonne de manière presque trop aigüe à son goût.
Nathan n'est pas du genre à complexer sur son physique, n'ayant jamais subi de moqueries ou de brimades sur celui-ci. Le seul malaise qu'il nourrit sont les brûlures qui le marquent à chaque utilisation de son pouvoir et qu'il tente de cacher au maximum. Son style vestimentaire ne lui permet pas davantage de se démarquer dans une foule sauf peut-être en plein été : le garçon privilégie en effet les vêtements amples, couvrant ses bras et ses jambes, le plus souvent avec une capuche pour rabattre celle-ci afin de dissimuler ses cheveux en bataille qui pourrait le trahir dans les rues.
Si ce look peut facilement exagérer sa carrure à première vue, il est aisé de comprendre qu'il n'est pas très musclé en réalité, tout comme le choix des couleurs – neutres – laissent deviner un caractère plus introverti qu'extraverti. De part son caractère doux et à l'écoute d'autrui, sa présence est souvent perçue comme réconfortante. Il ne dégage aucune aura agressive ou menaçante, même lorsqu'il se met en colère. Pour autant, ses gestes se trouvent souvent maladroits quand il se sait observé.
Pourquoi es-tu ainsi ? D'aussi loin que tu te souviennes, tu as toujours vécu à l'Avventura. Tes parents t'assuraient d'être eux-mêmes originaires de cette drôle de ville. Aujourd'hui, tu n'en es plus certain. Tu ne sais pas si tu peux encore croire à tout ce qu'ils tout ce qu'ils t'ont raconté par le passé. Dès l'enfance, tu te vois soumis à la loi de sérum. A en croire les affirmations du Cercle, celui n'a pour but que celui de protéger les habitants. Qu'enfin, humains et non-humains puissent cohabiter ensemble, sans discrimination ou danger, si tenté que les secondes existent réellement. Pour ta part, tu n'as pas le moindre souvenir d'un quelconque pouvoir en toi ou même le sentiment d'être différent. Il en va de même pour tes parents et tes amis. Certains d'entre eux s'en amusent même, inventant les théories les plus folles que l'on prête aux gouvernements comme une puce insérée sous la peau. Malgré tout, pourquoi chercherais-tu à remettre en cause cette politique ? Tu n'as connu que ça depuis ta naissance et dès lors que tu es en âge de le comprendre. Sans compter que tu ne veux pas causer de tort à tes parents. Alors tu acceptes cette réalité qui est la tienne, sans jamais la remettre en question.
L'entrée à l'université se voit accompagnée de son lot de sorties diverses auprès des jeunes de ton âge : bars, discothèques et même des salles de concert underground où les étudiants aiment se retrouver. Dans cette volonté d'échapper à la surveillance de Méduse, comme une bravade faite au gouvernement en place, on se passe le mot par d'autres moyens que ceux permis par la technologie existante. Un lieu. Une date. Une heure. Tu ne fais pas exception, te laissant volontiers entraîné par tes amis dans les recoins du quartier Néro. C'est là, entre les jeux de lumière des néons de la salle souterraine que tu le vis pour la première fois. Surplombant la masse survoltée depuis la scène, il rayonnait, ses doigts dansant sur les cordes de sa guitare. Axel. Il n'est pourtant pas l'élément central du groupe en la personne du chanteur et pourtant... Il se dégage de lui quelque chose de magnétique qui te séduit aussitôt. Les mois qui suivent le concert se révèlent être les plus éprouvants de ton existence. Entre les partiels et tes conversations avec Axel, tu as bien du mal à te concentrer sur les premiers. Pour autant, tu es heureux de voir la complicité s'installer entre vous, même si tu n'oses pas lui dévoiler tes sentiments.
A l'approche de ton rendez-vous, ta bonne humeur naturelle s'assombrit cependant. Informé de ta situation, Axel te propose alors de l'accompagner à un autre de ces concerts clandestins, pensant te remonter le moral. Devant ton inquiétude à l'idée de rater le rendez-vous en question, il rit de bon coeur, t'assurant que tu serais rentré à l'aube pour t'y présenter à l'heure dite. Pas très frais de la veille sans doute mais présentable. Incapable de résister à son sourire charmeur, tu acceptes. Du concert en lui-même, tu n'en garderas pas tellement de souvenirs. Tu crois vaguement te rappeler que le son te plaisait. En revanche, tu te souviens du bras brûlant d'Axel contre le tien, de ses doigts effleurant ton oreille alors qu'il se penche vers toi pour t'embrasser dans l'indifférence de la foule exaltée. Tu sens encore ton coeur sur le point d'exploser au moment où résonne le solo du battiste. Du bras d'Axel qui ne quitte ton épaule jusqu'à la fin du morceau et même les suivants. Plus tard au cours de la soirée, tu revois ses lèvres bouger. Tu es incapable de te rappeler de ses propos mais tu revois la pastille blanche collée à sa langue, la jumelle de celle qu'il vient de prendre sous tes yeux écarquillés. Tu te souviens du ballet de vos langues quand il t'embrasse de nouveau, du contact de la pastille s'échappant de sa bouche pour rejoindre la tienne.
Sans doute que l'ecstasy rendit votre soirée plus folle encore. Tu n'en sais rien. Toujours est-il que tu le revois te surplomber, ce même sourire heureux aux lèvres. Au-dessus de sa tête, figés au plafond, des posters de groupes de musique de genres et d'époques variés. Tu n'as aucune idée de comment vous vous êtes retrouvés chez lui. Dans son lit. Les souvenirs t'échappent alors même que tu tentes de les rattraper. Vous vous êtes aimés. Le temps d'une nuit. Du contact brûlant de ses lèvres et de ses doigts, ton corps se souvient. Son murmure t'invitant à chanter pour lui seul. Son souffle chaud sur ta peau. A la manière de brûlures invisibles. Elles te rappellent à lui. Sans cesse. La lumière du jour vient te chatouiller le visage, te forçant par la même occasion à sortir de ta léthargie. Ton nez quittant les draps imprégnés de vos odeurs entremêlées, tu émerges difficilement, la tête lourde. Axel n'avait pas menti quand il t'avait prévenu que tu ne serais pas frais au réveil. Tu te passes une main sur le visage, essayant de remettre de l'ordre dans tes pensées. Les souvenirs de la veille t'assaillent. Le concert. Axel. Tu comprends soudain où tu te trouves et ce que tu as fait la nuit dernière. Tu en aurais presque rougi si tu n'avais pas réalisé au même moment le jour filtrant entre les volets de la chambre.
Ton premier réflexe est de chercher ton portable pour déterminer l'heure. Ne le trouvant pas, tu t'agites, fouillant les poches de tous tes vêtements éparpillés sur le sol jusqu'à ce qu'Axel te lance en riant le téléphone. Alors que celui-ci atterrit entre tes mains, il s'excuse, t'informant l'avoir éteint pour ne plus l'entendre vibrer. L'inquiétude monte d'un cran en toi et tu t'empresses de rallumer l'appareil. L'attente est interminable et quand enfin, l'écran s'illumine, ton coeur manque un battement en découvrant les quatre chiffres indiquant l'heure. Mais si tu penses qu'avoir raté ton rendez-vous est une catastrophe, le pire reste à venir alors que les alertes se mettent à défiler sur ton écran. Des messages rappelant ton rendez-vous, d'autres te somnant de te présenter ou de contacter le service adéquat dont le numéro s'affiche aussitôt. Des messages de ta mère aussi. Ses appels manqués. En voir autant t'inquiète suffisamment pour que tu te décides à te rendre directement chez tes parents. Habillé à la hâte, tu te mets aussitôt en route, ignorant les tentatives d'Axel pour te rassurer. Tu espères encore que ce n'est pas si grave, qu'il est encore temps de te présenter sur place.
Pourtant, tu sens que quelque chose ne va pas. Tu as chaud, terriblement chaud alors que l'hiver est là. Ta tête te lance, la migraine te guette mais tu mets ça sur le compte de la soirée de la veille. Aurais-tu de la fièvre ? Aussi soudaine ? Pire, aurais-tu contracté quelque chose lors de... ? Tu balayes tes inquiétudes en apercevant l'immeuble où vivent tes parents. La clée insérée, tu pousses la porte sans t'annoncer pour pénétrer à l'intérieur de l'appartement familial. A peine as-tu le temps de t'annoncer que cinq visages se tournent vers toi. Surpris par le nombre, tu te figes au milieu du hall d'entrée, dévisageant une par une les personnes se tenant dans le salon. Tu reconnais immédiatement tes parents assis sur le canapé mais les trois individus restants – deux hommes et une femme de ce que tu peux en juger – te sont inconnus. Seuls leurs uniformes laissent penser qu'ils appartiennent au Cercle. Après s'être assuré de ton identité, la femme te demande si tu comprends la raison de leur présence chez toi. Devant ton hésitation, cette dernière t'informe que ses collègues et elle ont été dépêchés en urgence pour t'administrer le sérum.
Penaud de leur avoir causé autant de problèmes quand tu te doutes qu'ils ont plus grave à gérer que ta petite personne, tu t'excuses platement et prend place sur la chaise qu'elle te désigne, relevant déjà ta manche, prêt à présenter ton bras tandis que ton interlocutrice prépare son matériel. Par-dessus son épaule, tu distingues très clairement la seringue et le petit flacon. De ton côté, tu as de plus en plus chaud. L'un des hommes te demande même si tu te sens bien. Sur le moment, tu ne comprends pas le sous-entendu dans son interrogation. Pas plus que tu ne remarques les coups d'oeil que s'échangent les trois collègues entre eux. Tes yeux demeurent baissés en direction de tes mains serrant tes genoux. Lorsque tu retournes l'une d'elles pour en examiner la paume, tu crois apercevoir quelques étincelles éphémères tressaillir sur le bout de tes doigts, te faisant écarquiller les yeux. L'instant suivant, une flamme nait dans ta main, accompagnée d'une violente douleur sur ton flanc gauche. Avant même que tu n'aies le temps d'interpeller la femme à ce sujet, tu ressens une vive douleur à la nuque. Ton premier réflexe est d'y porter la main, pour sentir l'embout pointu s'enfoncer dans ta chair. Les flammes, elles, ont disparu.
Ce jour-là, tu apprends la vérité. Pas de la bouche des trois agents du Cercle. Ni même celles de tes parents. Aucun de ceux-là n'ont le courage de la révéler. Elle se présente naturellement à toi. Magnifique et cruelle à la fois. Pendant toutes ces années, tu n'étais pas un simple humain comme on te l'a laissé penser, non. Tu as du mal à encaisser la nouvelle et ce, malgré l'avertissement que te donne la femme avant de quitter l'appartement : la règle est la même pour tous. Que tu sois conscient de ta nature ou non ne change rien à cela. Au cours des semaines qui suivent l'incident, tu te renseignes autant que possible sans éveiller les soupçons. Plus le temps passe et moins tu es certain de pouvoir continuer à vivre ainsi. Comme si rien ne s'était passé. Tu en veux à tes parents. Terriblement. Vos échanges sont de plus en plus froids sans que tu ne parviennes à y changer quoique ce soit. La volonté n'est plus là. Trois mois. C'est le temps dont tu disposes avant de prendre ta décision. Subir cette injection toute ta vie ? Ou vivre librement ?
Au rendez-vous suivant, tu ne te présentes pas. Cette fois, tu es préparé et tu prends la seule décision qui s'impose à toi comme une évidence absolue. Axel. Il est le seul en qui tu peux encore avoir conscience, le seul à avoir pris les choses avec légéreté et avoir tenté de changer les idées, l'espace d'une nuit. Tes parents ne connaissent même pas son prénom, comment supposeraient-ils te trouver chez lui ? Et s'ils ne peuvent pas le deviner, ils ne pourront pas non plus transmettre l'information au Cercle. Axel ne refuse pas de t'héberger. Avec lui, tu n'évoques pas ta situation et le jeune homme ne s'interroge pas davantage, voyant là un moyen d'officialiser votre relation. Tu te crois en sécurité entre ces murs. Que tu pourras simuler ces fameux rendez-vous médicaux auprès de ton amant. Ce que tu as pu être naïf. La réalité te rattrape bien vite, encore une fois. Dans les jours qui suivent, un matin au réveil, tu entends sa voix se superposer à celle de la télévision diffusant l'avis de recherche avant même d'apercevoir sa silhouette devenue familière. Et ses mots te font louper un battement. Quand il entreprend de communiquer son adresse à la personne au bout du fil, tu as déjà rassemblé tes affaire et saisi la poignée de la porte d'entrée. Dans ton dos, tu crois entendre ton prénom dans sa bouche mais tu ne te retournes pas. Plus jamais.
Tout ce que en quoi tu as cru s'écroule ce jour-là. Sans point de chute, sans repère, tu finis par te retrouver à errer dans le quartier Marok. Jusqu'à présent, tu n'en avais jamais rien entendu de bon mais tu n'en fais plus cas. Au plus bas, tu te surprends même à espérer faire une mauvaise rencontre au détour d'une rue plus malfamée que les autres. Que ta pathétique existence s'arrête ainsi. Tu n'as pas les épaules pour vivre seul en marge de la société, tu le sais. Combien de fois as-tu songé à te rendre à la police ? Et puis l'espoir, peut-être de retrouver un semblant de vie normale en rentrant dans le moule, en fermant les yeux, disparaît aussi rapidement qu'il était né. Comment peux-tu envisager un seul instant d'oublier ce qu'il s'est passé ? De renier ce que tu es ? Un déviant. Un être doté de pouvoirs. Comme ceux soumis à ce sérum. La vérité te laisse un goût amer dans la bouche. Cette maladie n'en aura jamais été une. Contre toutes attentes, tu fais un jour la connaissance d'un groupe d'individus. Méfiant quand tu apprends qu'ils te reconnaissent après avoir vu ta photo défiler en boucle dans les médias, ils se présentent comme la résistance à cette société corrompue. Qualifiés de rebelles par les autorités, ils préfèrent se voir comme ceux qui luttent pour permettre aux opprimés de vivre librement. Et parce que tu n'as pas d'autres choix, tu acceptes de les suivre.
Et le Joueur dans tout ça ?Prénom/Pseudo ? Natsu Comment as-tu trouvé le forum ? Retrouvé au détour d'un clic curieux, ma faiblesse de rôliste a fait le reste Un petit (ou gros) avis à donner ? J'adore le travail qui a été fait sur le contexte et que le Cercle révèle son vrai visage... je l'ai toujours su ! Autre chose à nous dire ? Hâte de reprendre l'écriture avec vous Personnage Prédéfinis ? Non |
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