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Message par Invité Mer 4 Sep - 17:46

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La journée ne s’annonçait pas palpitante, je revenais du commissariat et après une énième demande pour avoir ce fichu rapport, je m’étais encore une fois pris un énième refus. C’était usant à la longue, mais à force de jouer à ce jeu je finirais par avoir ce que je voulais. Je marchais sans faire attention à l’endroit où mes pas me portaient, je notais de temps à autre une boutique de la rue principale, une épicerie. Une bibliothèque dans laquelle j’allais me perdre des heures durant. Je ressortais un sac à la main, décidément la lecture était un loisir que j’affectionnais.

Je décidais de me trouver un coin tranquille pour aller lire. Et à force de marcher je me trouvais un petit coin dans le parc, à l’ombre d’un arbre, juste de l’herbe et au loin des joggeurs. Le temps n’était pas spécialement frais, et il était sec, ce qui me laissait le temps de me plonger dans des aventures improbables d’une certaine enfant allant dans un monde parallèle pour y rencontrer d’étranges personnages. Comme toujours ces personnages au départ inquiétant devenaient des alliés de l’héroïne et avant qu’elle ne s’en rende compte elle était en route pour libérer des Sentinelles. C’était drôle, et je lisais avec avidité cette série que je venais de découvrir. Il s’agissait pourtant de roman pour enfants, et je les lisais avec le même plaisir qu’un autre livre fait pour un public plus averti. La force de l’écrivain était réelle, un talent unique pour amener à lui un public néophyte et averti. Je m’arrêtais de lire lorsque mon ventre réclama son dû. Je me relevais et allais jusque chez moi. Cette journée de repos dans la semaine me faisait du bien, pas de travail, juste moi et mes loisirs.
Non pas que je n’aimais pas la cuisine, mais que simplement il me fallait parfois penser à autre chose qu’à la diététique et qu’à la cuisine.
Dans cet appartement que je quitterais bientôt faute de pouvoir le garder, mon héritage m’ayant permis jusque maintenant de vivre une vie convenable j’allais devoir trouver un logement plus dans mes prix, à moins de réaliser une collocation avec quelqu’un… Mais qui ? La seule que je connaissais était la jeune femme aux cheveux roses de l’autre soir, et encore connaître était un grand mot. Je n’avais que mes collègues et mon patron, et en aucun cas je ne me voyais vivre avec.

Je décidais d’aller me changer les esprits après m’être restauré. Encore une fois je ne faisais pas attention à ma destination, car seul le voyage comptait. Je me reposais l’esprit, cessant de chercher des solutions à des problèmes encore inexistants. Je me replongeais, tout en marchant, dans les aventures de la jeune enfant et de son ami. C’était drôle de voir que le schéma évoqué dans ce livre existait dans notre monde, le Cercle face aux rebelles, l’Empereur face aux Ts’lilchs et aux Raïs… Tiens l’héroïne s’appelait Camille Duciel ! Ce nom me revenait enfin, depuis le temps que je le cherchais. C’est en souriant intérieurement que je continuais ma marche. Et lorsque j’ouvris les yeux, enfin que je me replongeais dans le monde réel et non pas celui que Bottero avait écrit, je me retrouvais dans le quartier dévasté.

L’endroit était vraiment dévasté et portait bien son nom. Des reconstructions seraient peut-être à envisager, bien que ce soit un vestige du passé, nous rappelant les dommages d’une guerre. C’était peut-être idiot, peut-être pas, mais j’aurais aimé reconstruire cet endroit. En faire un quartier comme un autre, effacer les souvenirs douloureux et ridiculement morbides lié à ce funeste lieu.

Je continuais ma promenade en faisant attention à ne croiser personne, à ne pas me retrouver dans une situation des plus délicates, mais en plein jour j’avais une chance raisonnable de ne pas m’attirer d’ennuis. Une chance seulement, une seule… Mais j’y croyais dur comme fer.

Message par Invité Mer 11 Sep - 16:44

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Gregorius  sortit discrètement du bâtiment du Cercle , évitant tout les regards , le visage caché par son chapeau , et portant un long caban noir et fermé . Une fois entré dans une rue il vérifia que personne ne l'avait suivi , rien en vue et son instinct ne lui disant rien non plus . Il haussa légèrement les épaules et alla partir se détendre quand il se souvint du dossier qu'il avait lu il n'y pas si longtemps. L'affaire parlait de six personnes dont un hybride singe qui avaient été assassinés par un lycan féroce et a qui on pensait sa transformation récente . Il soupira de nouveau il allait avoir du boulot ici cela était sur , Gregorius réfléchit quelques secondes puis étant informé que les meurtres étaient perpétrées la nuit au Quartier Dévasté , il ajusta son chapeau sur sa tête puis décida d'aller enquêter . Il regarda sa montre gousset , il ne faisait pas tard peut être avait il le temps d'aller chez lui '' se préparer '' a un affrontement hypothétique , non Gregorius allait devoir se débrouiller seulement avec son Désert Eagle chargé de balles en argent et de son colt python chargé quand a lui de balles en argent sans oublier un pieu et Lust l'épée en argent que chaque génération de Falckenbach se passait . Lust était une excellente arme , la lame étant a la fois tranchante et transperçante , bien que puissante Lust n'en restait pas moins magnifique , le brillant de l'argent étant toujours intact et la fusée était dessiné de ravissante fioriture , tandis que le sur le fourreau y était incrusté un rubis . Le pommeau était lui aussi beau , en argent comme l'épée il y était inscrit en lettre d'époque '' Falckenbach '' .

Bref Gregorius se promenait dans le Quartier Dévasté , il n'y voyait que pauvreté et le peu d'habitants le regardait d'un air pathétique , il ne le faisait pas paraître mais ceci lui brisait le cœur , et une fois qu'il vu une famille de neko ressemblant plus au chat qu'a l'humain , qui le regardait les habites sales et toutes traces d' espoir perdu il ne put s'empêcher de s'approcher d'eux , il sourit a la fille unique du couple, lui ébouriffa gentiment les cheveux et donna de l'argent ainsi que l'adresse d'une personne possédant un accueil pour personnes sans abris. Les hybrides le regarda d'abord surpris les larmes aux yeux en le prenant des ses bras tandis que la fille le regarda sans trop comprendre , il leur sourit et reprit chemin , une autre raison d'arrêter ce lycan ...

Il s'alluma une cigarette toujours en marchant quand il vit un homme au corps peu impressionnant et portant un béret , il était bien habillé enfin pas comme les gens ici . Il le suivit discrètement se demandant si il s'agissait du loup qui massacrait avidement dans cette zone , il le suivait son chapeau comme ceux des cow boy cachant son visage.

Message par Invité Jeu 12 Sep - 9:19

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Le quartier était plus que déprimant, vraiment, plus j’avançais, plus la misère s’étalait sous mes yeux. Je ne pouvais m’empêcher de noter que le Cercle n’avait pas encore prit de mesure concrète allant dans le sens de la reconstruction, il se contentait d’une traque aux rebelles. Une espèce de chasse aux sorcières ou est coupable tous ceux que sont contre l’idée d’une cohabitation.
Certes la situation incommodait beaucoup de personne, mais je m’en moquais à titre personnel, ce que je voulais c’était une paix durable.
J’avançais d’un pas prudent, laissant mon regard fureté dans tous les sens, cherchant à m’imprégner de quelques détails.

Ce n’était pas un lieu que je fréquentais et pourtant je m’y sentais chez moi. Comme à ma place, comme si j’avais toujours appartenu à ce lieu. Je laissais mes pas me guider tranquillement, après tout je n’étais pas pressé avant que la nuit ne tombe, et puis si je pouvais…

Etait-ce ce que je venais de voir dans un rétroviseur cassé ? Un homme tout en noir, un long manteau et un chapeau ? Les voitures en bon état étaient assez rare pour que l’on jette un œil dans son rétro histoire de voir ce que l’on voit, avec le fol espoir, peut-être de voir un monde meilleur. Mais non, moi j’avais vu une silhouette. Rien de bien certain, mais dans le doute il valait mieux que j’avance.

Prenant mon courage à deux mains, enfin comme je le pouvais, je tentais d’ignorer royalement la personne derrière moi et de continuer ma promenade comme je le faisais jusque maintenant. Le fait que cet homme se trouve ici était curieux, il ne collait absolument pas au quartier, et son chapeau sur le visage indiquait clairement qu’il se dissimulait. Je n’étais pas physionomiste, mais je pouvais en déduire ce comportement comme suspect. Faisant semblant de réajuster mon écharpe, d’un rapidement mouvement je remontais mon col roulé sur toute la partie basse de mon visage. Cela me donnait un air encore plus suspect que le sien, mais tant pis. Et puis de toute façon il faisait encore trop chaud pour porter un col roulé, mais ça ne m’empêchait pas de le porter.

Mes pas me guidaient presque automatiquement, et finalement je me retrouvais dans un vieux garage… Mais pourquoi arrivais-je ici ? Dans ce lieu à peine abrité du vent… Pathétiquement froid et désolé. Soudain, mon regard s’acclimata un peu à l’ombre et je distinguais nombre de silhouette, pas toutes humaines, beaucoup de long monstres éventrés. Puis la pénombre devint mes yeux, et je distinguais un bidonville. C’était affreux… J’aurais tout donné pour me retrouver loin d’ici, et pourtant j’y étais, presque coincé, presque contre mon gré. Presque.

Une créature s’approcha de moi, une voix rocailleuse, et elle me souhaita la bienvenue dans ce lieu, avant de me sommer de lui remettre mon argent. Je ne pouvais malheureusement pas, déjà que je commençais à avoir du mal à boucler mes fins de mois, sans oublier que je n’avais pas d’argent sur moi… Et me défendre était impensable. La forme face à moi ne relevait pas de l’humain, c’était certain, bien qu’elle y fasse vaguement penser, et mes illusions je devais y mettre toute ma perception des choses, si elle était dans une autre optique que moi elle comprendrait et risquerait de s’énerver.

Soudain je repensais à la silhouette en noir… C’était probablement son complice, il m’avait rabattu et voilà le résultat… C’était nul de se faire avoir comme ça. Je décidais d’au moins m’offrir une mort digne, pas un bruit, pas un cri rien. Même pas une réponse pour la chose devant moi.

Message par Invité Sam 14 Sep - 23:02

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Gregorius suivait cet homme suspect se rendant compte sur le coup que lui même l'était aussi voir plus , il avait envie de rire de la situation mais le cadre ainsi que les raisons pour laquelle il filait cet homme , elles ne l'étaient pas . Car oui il fallait être le pire des salauds pour rire d'une telle misére , il se mit à penser que des rénovations étaient à prévoir financé par le Cercle ou par lui même . Et oui Gregorius n'allait pas seulement mettre sa vie au service de la paix mais aussi une partie de sa fortune , enfin sa celle de sa famille mais étant le dernier de sa lignée il en était l'unique propriétaire .

Sa filature continuait et il savait pertinement que l'homme devant savait qu'il était suivi à moins qu'il soir naif ou stupide et si il s'agissait bien du lycan meurtrier il l'aurait détecté depuis le début et si c'était vraiment lui que devrait il faire ? L'abattre froidement ou l'emmener en prison ? Si il le tuait Amarra serait elle fachée pas qu'elle l'effraie mais plutôt car il la respecte et l'apprécie de corps que de caractére .
Il jeta un rapide coup d'oeil , il n'était pas trés tard mais bon ça sentait aussi le réveil du vampire ... Enfin surtout c'était le lycan qui l'inquiétait en ce moment , et il espérait qu'il pourrait éviter un nouveau meurtre quoi qu'il enn coûte même au prix de sa vie , car oui ne venait pas lui dire que sa vie est plus importante qu'une autre vous vous exposerez au risque de vous prendre son poing dans la figure .
Il marchait encore gardant une distance d'environ vingt métres de la personne devant lui, et inspectait Sorio il protait un béret et un long manteau noir , oui il le voyait car Gregorius avait une excellente vision , encore un des trucs utiles que lui avait donné sa maudite ascendance qu'il détestait pour la majorité des cas . Il le filait encore , un nuage de fumée et son chapeau rendant invisble son visageau cas où l'homme q'il suivait se retournerait et essaiearait de l'observer lui aussi .

Soudain , Gregorius se cacha a quinze métres de la personne devant lui qui se fit aborder par ... mais c'était lui ! Le lycan que Gregorius cherchait , il fit apparaitre son Desert Eagle et observa la scéne , heureusement qu'il avait une bonne vue , ça lui permit de reconnaitre Luc Gresson , le lycan meurtrier . Il éteignit sa clope et se s'assit sur le capot de la voiture en piteuse état , puis pointa son pistolet en direction des deux soi disant compéres .

Message par Invité Lun 16 Sep - 18:49

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L’ambiance n’était visiblement pas au beau fixe, et si l’homme en noir avait été son complice il nous aurait très probablement rejoint car il n’était pas si loin de moi en théorie. Bref, il n’était donc pas avec lui, ce n’était pas mon allié pour autant. Je fixais la chose dans la pénombre, tentant de distinguer la nature de la chose. Je me demandais réellement ce que c’était que cette chose. Je ne distinguais rien, mais visiblement, lui me voyait… Vampire ? Lycan ? Il émanait de lui trop de sûreté, il savait que je n’avais aucune chance, que savait-il de moi ? Je me questionnais, mais j’étais déterminé à ne rien laissé paraître quand à ma peur de mourir ici… Lieu morbide. Cependant, alors que je cherchais à comprendre, je sentis un trait de feu se dessiner sur le dessus de ma main, une sensation que je ne connaissais que trop.

La blessure d’une lame est une chose qu’un cuisinier ne connait que trop bien. Cette légère anesthésie suivie d’une faible brûlure avant de finalement devenir une véritable douleur. J’identifiais donc ma blessure trop rapidement, il avait un couteau sur lui ? Ou bien était-ce son corps qui pouvait me déchirer ainsi ? Je me questionnais sans doute trop, et la chose me dominait très largement.

Il savait que je n’avais aucune chance, et son attitude soit disant patiente n’était qu’une façade, il était froid comme la mort. Je savais ce qui m’attendait, j’avais trop vu de film, beaucoup trop pour ne pas reconnaître l’attitude froide d’un homme prêt à tuer. J’allais donc mourir ici ? En pleine après-midi ? Sans avoir eu le temps de finir mon livre ? Quel dommage… Mais la vie était ainsi faite. Si c’était ce qui devait…

Une chose froide s’était insinué en moi, douloureusement, pour la première fois une peur profonde m’animait. Folie peut-être que de croire que je pourrais m’échapper. Une course effrénée, c’était la seule chose qui me restait de toute façon. La dernière façon pour mon corps d’exprimer sa vie.

Je n’avais absolument pas réfléchis à ma façon de faire, ni à ce que j’allais réellement tenter, mais lui il semblait savoir ce que je préparais… Sans doute avais-je la même réaction que tout le monde à ce propos. Il s’empara de mon bras, avec une telle force que je ne pus retenir mon cri de douleur. Bien entendu si l’autre était là, c’était sans aucun doute trop tard. Mais je sentis quelque chose d’horrible se produire, mon cri devint un couinement de douleur, des pieux s’enfonçaient en moi. Evidement ce n’était pas des pieux… Mais c’était tout comme, impitoyables ils broyaient tout sur leurs passage, ma chair, mes muscles, et s’arrêtèrent visiblement juste avant de rompre mon os. Je sentais un liquide chaud couler le long de mon bras.

Du sang évidement… Mais je ne pouvais pas me laisser mourir sans rien tenter. J’avais envie de m’en sortir, la vie je ne l’avais pas encore vécue… Mais même si je le trompais, arriverais-je à aller assez loin ? Qu’importait, même une heure suffirait... Vivre, et terminer ce que j’avais à faire. Cependant, la poigne se verrouilla, impitoyable… J’étais pitoyablement faible à couiner comme cela. Il fit un pas en avant, un pauvre pas. Je pu distinguer cette chose entre le loup et l’humain. C’était donc ça. J’étais d’or–et-déjà mort. Un rapide mouvement me fit hurler à la mort, alors que je me retrouvais aveuglé par le soleil. Mais le plus inquiétant était de sentir son souffle dans mon cou, son pelage effleurer mon cou… Oui, je n’avais pas besoin de tenter de tourner la tête, je savais qu’il était prêt à me mordre et mettre fin à ma pitoyable vie.

Il s’exprima, interpellant quelqu’un, prétextant sentir son immonde odeur… Bref, je ne savais pas de quoi il parlait, mais je ne me faisais pas de fausse idée, j’allais mourir aujourd’hui. De sa main.

Message par Invité Dim 22 Sep - 15:13

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Quoi ? Gregorius regardait la scéne le visage impassible mais en serrant les dents , essayait il de cacher sa haine envers le loup et lui même ... sûrement . Il sourit en attendant le lycan qu'il l'avait repéré, immonde odeur , avait il la truffe trop prés du museau ? Il sourit encore descendant du véhicule en piteuse état . Il s'approcha des deux '' hommes '' regardant celui qu'il avait suivi avec une mine triste et sincére :

'' Désolé "

La culapbilité le rongeait de l'intérieur mais il fit un effort pour ne pas le montrer , il ne voulait pas paraître faible devant ce monstre . Il regarda furtivement les alentours ... personne . Il pointa son flingue vers le lycan et prit l'homme qu'il filait avec son autre bras ne lâchant pas le lycan du regard . Il posa le bléssé sur le capot où il était assis et banda sa plaie puis se remit face au tueur :

" Vilain chien " ria-t-il

Le lycan se transforma en un monstre d'un métre quatre vingt cinq au pelage marron et dont le visage ferait tressaillir les personnes peu habitués aux autres races . Il était donc un bipéde , c'était peu courant ... Donc son agilité était meilleur que celle des quadripédes mais sa vitesse l'était moins . Il plaqua Grégorius au sol , et essay de lui mordre la jugulaire mais Gregorius ne le laissa pas faire et ... lui cracha dans l'oeil . Le lycan recula de quelques centimétres ce qu'il permit à Greg de se relever . Il épousta son long manteau et remit son chapeau sue sa tête , puis il tira dans le flanc du lycan mais il esquiva de justesse . Gregorius tira à deux reprises des balles en argent qui éffleurérent le loup et une qu'il tira et absorba dans ma main droite. Le lycan le souleva et le colla sauvagement au mur , il laissa échapper un faible cri de douleur et mordit le museau du lycan , ce fut au tour du lycan de laisser échapper un cri de douleur et il regardait notre humain d'un regard epli de surprise car oui d'habitude ce sont les lycans qui mordent et pas l'inverse . Quand à Greg il en profita pour s'echapper de l'étreinte du monstre et se mettre à distance de celui ci . Il fallait l'avouer il ne se battait pas vraiment de façon noble cette fois ci mais bon chacun ses méthodes . Le lycan le griffa mais il ne transperça que que son bras droit , il remercie intérieurement ses réflexes il tendit le bras vers le loup et  fit sortir la balle absorbé dans sa main , celle ci se logea dans l'épaule gauche de notre loup gaou , il grimaça serrant les dents . Gregorius en profita pour s'armer de son épée et de son pistolet , il n'avait plus trop l'habitude d'utiliser les deux à la fois . Le lycan sauta au dessus de Greg mais celui l'esquiva non sans peine , son bras ruisselant de sang le faisait souffrir . Mais oui sa blessure il n'arriverait pas à supporter le recul , mince ... il fit donc disparaître son épée et changea l'arme de main , être ambidextre était vraiment utile . Il tira de nouveau sur le lycan qui esquiva encore , habile le cabot , tandis que notre humain devait aussi faire attention à l'homme bléssé par son manque de jugement .

Message par Invité Mar 24 Sep - 18:13

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Alors que je souffrais le martyr, le lycanthrope semblait prendre un malin plaisir à ce qu’il faisait. Mais je ne semblais être qu’un vulgaire jouet dans ses mains. Il avait d’autres projets qui ne me concernaient pas. J’étais dans une position inconfortable, je m’en rendais parfaitement compte.
Soudain, une personne se manifesta… L’homme en noir. Il semblait plutôt tranquille, d’un calme déterminé plutôt. Je ne savais trop qu’en penser. Mais je ne pouvais pas le laisser se balader tranquillement comme ça…

Mon attention se reporta sur ma douleur, alors que l’autre me serrait le bras de plus en plus fort. Quelque chose allait se rompre c’était certain. J’avais d’ors et déjà l’impression de m’engourdir. J’avais froid et sentais quelque chose de chaud couleur le long de mon bras… Je ne baissais pas la tête, je savais que mon sang me quittait. Et avec lui ma vie. J’avais au moins une dernière chose à faire avant d’y passer.

J’avais dut passer plus de temps que je ne le pensais dans mes pensées, car lorsque je regardais de nouveau la scène, une immonde créature était aux prises avec l’homme en noir. Des coups de feu, c’était donc ça qui m’avait fait revenir à moi. Je regardais la scène avec effarement. Qui était le bien ? Qui était le mal ? Ou en était le monde ? Inutilité même. Je n’en pouvais plus. Je n’avais pas la volonté de continuer d’ailleurs. Tant pis. Je n’avais qu’à me laisser glisser. Mais pas maintenant, il fallait que j’arrête le carnage. Je n’avais jamais voulu que des vies soient ôtées. Je me relevais lentement, presque avec une délicatesse navrante. De toute façon la mort était là. Je la sentais m’envelopper de son manteau gelé. Elle n’attendait plus que je me résigne à la suivre.

L’hémorragie était importante certes, mais il y avait aussi ma peur. Mon cœur battait tant que j’étais proche de la fibrillation. Je ne savais pas de quoi j’allais mourir. De l’un ou de l’autre. Mais qu’importait. Je m’avançais en regardant devant moi sans voir la scène qui se jouait. Je n’avais qu’à les stopper avec un dernier tour de passe-passe.

Je me concentrais comme jamais, et cela m’était étrangement facile. La mort confère une lucidité étrange. Je voulais au moins une illusion assez puissante pour les faire s’oublier. Je me concentrais… Je tentais de créer ce monde, et de l’imposer au lycan, un mon ou il n’y avait plus que lui en cet instant. Un monde où il n’avait plus à se battre. J’allais le lui imposer.

Noir. Froideur, c’est tout ce que je ressens depuis peu. La mort, je suis mort. J’ai tout raté, sans sauver personne. Je suis mort inutilement… C’est donc comme ça que se finie la vie de Sorio Urrùtia. Une mort et une vie vide de sens. Adieu monde cruel… Bonjour à toi, grande faucheuse…

Message par Invité Jeu 3 Oct - 16:56

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Le lycan entre avec sa main dans l'intérieur de l'homme que suivait Gregorius , il s'était trompé. Et oui cet homme n'était rien d'autres qu'un simple civil et il était blessé à cause de Gregorius , mais pourquoi ? Gregorius était le représentant des  humains au Cercle mais il n'avait même pas réussi à faire éviter une grave blessure à une personne , non pire si ce jeune homme était blessé c'était de la faute de Gregorius . Celui ci serra les poings et se mordit à sang la lévres inférieur , si il était un lycan il aurait sans doute déjà libéré sa bête à l'heure qu'il est. Sa rage était désormais dirigé vers le loup mais aussi envers lui même , si il avait l'occasion il se serait bien frapper mais ce n'était pas le moment , il devait d'abord tuer le meutrier qui lui faisait face , oui il allait le tuer plus question de seulement l'arrêter , ce monstre allait disparaître cette nuit et avec lui si il le fallait , même si devait mourir pour cela . Ce qu'il refusait non seulement parce qu'il ne veut pas mourir mais aussi il aurait l'impression de trahir le Cercle , de trahir les paroles récemment dites à Ambre . Gregorius fit le vide dans son esprit et remarqua que le lycan ne faisait plus attention à lui , peut être un signe du destin.
Il se précipita sur le loup , posa violemment sa main sur la tempe du monstre et soudan la balle qu'il avait absorbé sortit de la paume de sa main et traversa la tête du loup. Celui ci tomba violemment tandis que le sang se répandait de partout . Grégorius était toujours debout le visage couvert du sang de la bête, le regard vide il fit apparaître son épée en argent , se mit au dessus du cadavre lupin ayant désormais repris apparence humaine. Il prit son épée avec ses deux mains , renversa la lame et enfonça celle ci dans le cœur de son ennemi histoire d'être sûr qu'il ne revienne pas , le sang de celui se mit de plus en plus à se répandre . Une fois ceci fait , il appela une ambulance, le temps qu'elle mit à venir lui servit à " nettoyer " la scène et à brûler le cadavre du loup .
L'ambulance était désormais arrivé , les ambulanciers lui demanda ce qui s'était passé ce à quoi Gregorius répondis honnêtement. Il sortit un badge de policier et leur ordonna de se taire à propos de ça . Ils essayèrent de le réanimer , ce fut hélas peine perdu. La mort fut confirmé par l'ambulancier et on le recouvra d'un drap noir .

L'enterrement eut lieu quelques heures plus tard, à la demande de Grégorius il n'y avait que lui et le curé ainsi que le fossoyeur , une fois la messe dite et le corps mit en terre , Gregorius regarda la tombe où il y est écrit seulement un nom fictif et dessous " Mort pour la paix " . Gregorius continua de regarder la tombe avec des yeux vides et posa un bouquet de rose sur la tombe en murmurant :

" Désolé "

Il tourna les talons quand il sentit quelques gouttes sur sa main , et merde il pleuvait maintenant et il n'avait pas de parapluie .

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