| par Invité Ven 19 Juil - 16:23
| Aujourd'hui était ma toute première journée dans cette nouvelle ville. Hier avait était le dernier jour de transfert de tout les cartons de mon ancien appartements pour tous les mettre dans ma nouvelle maison qui se trouvait en ville. Hier soir encore, j'avais réfléchis longuement à ce que j'allai faire le lendemain, c'est à dire aujourd'hui, et je mettais mise d'accord pour aller me promener dans la forêt vierge. A ce que j'avais lu sur ce lieu, il n'était pas très recommandé. On disait sur internet qu'il était très facile de s'y perdre ou de tomber et de se casser une jambe. Enfin, ce n'était pas ça qui allait me faire changer d'avis ! Ce matin là, je m'étais levée assez tôt pour être à la forêt de bonne heure, quand les animaux se réveillaient, quand encore tout les habitants de la ville dormaient encore.. J'avais fait ma routine habituelle : Café, tartine de Nutella dans le café, Douche, Habillage, Maquillage, Coiffage. Rien de bien exceptionnel quoi. En ce jour, j'arborais mon tee shirt bleu marine à dégradé bleu qui s'attachait par des ficelles au cou, un short basique, déchiré et moulant avec mes converses noires à pois blanc, et en sortant, j'avais pris mon sac à main.
L'air était plutôt doux dehors, ni trop chaud ni trop froid. Comme il était tôt, peu de voiture circulaient sur la route, et quelques oiseaux volaient dans le ciel avec de la nourriture coincée dans le bec. J'entrepris de partir à pied pour aller à la forêt, laissant ma Bugatti Veyron noir dans le garage. Mon trajet fut ce qu'il y avait de plus banale, je marchais sur le trottoir, salua les rares voisins qui étaient debout et qui me faisaient des signes. Je ne fis pas attention à ce qui se passait pendant le reste de mon chemin, et quand j’arrivai à la forêt, j'avais déjà oubliée toute ma marche. Je regardais la forêt, imposante, mystérieuse, sinistre, mais je fus attirée par cette forêt aux allures sombres. Et ce fut d'un pas tout à fait assuré que j'entrai dans la forêt vierge.
C'était un décor de forêt banale. Des arbres de différentes races, de différentes tailles, de différentes couleurs, un nombre incalculable de race de fleurs et d'animaux. Mais ce que j'appréciai le plus dans cette forêt, c'était toute les feuilles mortes qui gisaient sur le feuille comme un tapis où je me serrai volontiers allongée. Par mégarde, je trébucha sur une racine qui jouait à cache-cache sous les feuilles mortes, et m'étala sur le sol. Je ne suis pas du genre à chialer parce que je tombe ou parce que je me faits une égratignure, dans ce genre de situation, je me met à rire toute seule, me fichant mais royalement si quelqu'un pouvait me voir. Bon, maintenant je me relevai et continuai ma promenade dans cette magnifique petite forêt, ne manquant pas d'admirer toute cette sublime natures sauvage !
Je déboucha sur un endroit où des débris de tante et d'un campement traînaient. Je détailla cette petite zone du regard, et vit une silhouette assise sur ce que semblait être la poutre d'une des tantes. Je regarda cette personne quelques instants, ne savant pas exactement ce que je devais faire. Décidant de prendre son courage à deux mains, je m'avança lentement vers cette personne, et quand je fus non loin d'elle, je me repris une racine qui devait rire intérieurement de mon malheur, et tomba au pied du jeune homme.
- « Bonjour.. » dit-elle à l'homme, puis reprit d'une voix plus basse « Et merde.. » |
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