Une rencontre croustillante [Kimy]

Je venez de finir le ménage, je me dirigé vers la cuisine afin de nourrir tous mes pensionnaires.
Je sortie le paquet de croquettes du placard et commencé a servir tous le monde, je mit également un bol de croquette pour un chat qui passait souvent mais ne rentré pas dans la maison. Son pelage d'un sombre bleuté et ses yeux vairon me donné une forte envie de lui caressé la tête, mais elle fuyait a chaque fois que je m'approchait.
Durant l’après midi, je partie lire un livre sur mon canapé, en regardant de temps en temps la porte de la cuisine. Je la voyait m'observer derrière la porte, je lui dit calmement:

"Tu peut venir, je ne vais pas te mangé, regarde autours de toi tu verra qu'il y'a tous plein de tes camarade" Je lui souris et reprit ma lecture.

Le salon était envahit, il y'avait des chat un peu partout, sur les meuble, sur le fauteuil et même sur mes genoux. Je commencé a fermé les yeux, et je me suis assoupis sur le sofa.
Mon rêve étais on ne peut plus étrange, J'était chez moi, mais il n'y avais aucun meuble, Je marchais vers la cuisine mais la porte ne faisait que reculé. Au loin, je pouvais apercevoir l'ombre d'un chat qui avancé lentement, je l'entendit parlez mais je ne comprenez de la ou j'étais.

Je me suis réveillez en sursaut quand je vit le chat noir en train de dormir sur le tapis. je lui ait caresse la tête et je suis partie prendre une douche.

Cela faisait plusieurs jours que je n'avais rien à me mettre sous les crocs, hors-mis quelques croquettes qu'un drôle d'humain laissait devant chez lui. J'avais trouvé son domaine en suivant les chats des environs. La plus-part d'entre-eux venaient, tout comme moi, ce rapprovisionner chez lui. Néanmoins, contrairement aux autres chats de la baraque, je ne rentrais jamais. Pas que j'avais peur de cet homme- du moins ce n'est pas ma principale raison- mais, tout bonnement qu'il me semblait important, voir même légitime pour moi de garder une certaine indépendance. Hors de question que je sois un jour le chat de qui-conque !

Une certaine après-midi où je n'avais rien à faire, je me pris comme occupation soudaine, d'observer l'activité journalière de l'inconnue. Certes sa vie n'était pas des plus intéressante, celui-ci bouquinait dans son salon dont la décoration était cachée par l’invasion des félins qui avaient élus domicile. J'avais moi aussi beaucoup envie de lire, et je commençais à me poser des questions quand à l’œuvre qu'il tenait entre ses doigts. Au vu de sa personne, je ne pense pas qu'il eut s'agit d'un livre qui m'aurait captivé. L'homme après un bref regard, avait remarqué ma présence de mauvaise espionne, et m'adressa quelques mots. Je tendais alors mes oreilles noires dans sa direction pour mieux intercepter ses dires. Le jeune homme avait apparemment bien envie que je face parti de sa collection de chat. Je pense que cela devait le frustrer que je ne veuille pas entrer dans son logement... D'ailleurs de nombreuses fois celui-ci avait essayé de me caresser, mais en vain. Je ne voulais pas que sa main inconnue me frôle ne serres-se qu'un court instant, et même sur les moustaches. Sinon il aurait gagné et je voulais être un chat exceptionnel à ses yeux. Et ainsi pouvoir me différencier de mes "camarades'' comme il les nommait.
Au fur et à mesures que je voyais l'homme continuait sa lecture, mais, j'observais également le sommeil qui était en train de l'envahir. Ses paupières se fermaient à un rythme de plus en plus lent et s'ouvraient sur la même longueur, une longueur tel qu'elle finit par  trahir sa fatigue.
Au bout d'un moment celles-ci ne s'ouvrirent plus, laissant alors place à une respiration lente mais également plus auditive. Sa tête, quand elle, basculait maintenant sur le côté, c'était presque si il ne manquait plus que le filait de bave dégoulinent de sa bouche. Comme il est parfois le cas dans les clichés filmique.

Je pensais alors à une petite chose.
Et si je plongeais dans ses songes ? Cela m'occupera beaucoup plus que de le regarder dormir puis j'en apprendrais peut-être plus sur lui... Cela fait un moment que je n'ai pas exercé ma faculté...
Après une hésitations qu'une ne dura qu'une simple seconde. Je me décidais enfin à rentrer dans la maison une patte après l'autre. Je ne voulais, au départ, ne pas faire de bruit, mais les autres chats en décidèrent autrement et commencèrent à miauler en cœur à la vue de mon arrivée. On aurait pratiquement pu comparer ceux-ci à des acclamations. Cela semblait être un exploits pour eux qui me prenaient pour une simple trouillarde. Quand enfin j’atteignis les pieds de ma proie, les félins interrompent leurs miaulement pour reprendre leurs occupations.
Pour pouvoir faire le liens entre moi et le rêve du propriétaire de la demeure, il fallait que je crée un contacte, je faisais dos rond contre sa jambe avant de me poser en boule sur le tapis. Je commençais alors mon petit rituelle et sombrais moi aussi dans l'inconscience.      

 Le cobaye faisait un rêve aussi ennuyant que l'était sa journée. Le voyant vouloir ouvrir la porte de sa cuisine, je m'amuse de manière futile à repousser  cette entrée, elle devenait alors inaccessible comme si, derrière celle-ci se caché quelque chose... Je pris la décision de me faire apparaître sous ma forme féline sans pour autant faire apparaître mes caractéristiques qui permettent de me distinguer des autres chats. J'ouvris alors mes babines pour laisser échapper un murmure : «  Un simple chat c'est t-il vraiment faire ça ?  »
Je n'étais pas sur qu'il m'ait entendu, puis maintenant j'allais jouer avec ses rêves, le déroulement de la situation commençait enfin à m'amuser. Hélas le jeu pris rapidement fin. Je sortie du coma dans lequel je me trouvais. Je m'était rendu compte que l'homme m'avait fait faut bon en se réveillant et m'avais alors rendu hôte du rêve. Quand j’ouvris les yeux, l'étranger avait en effet disposé du salon et j'entendais entre deux ronronnements le bruit de l'eau. Je suivais le grésillement produit par les gouttes contre les parois de la douche. Une légère flaque d'eau résidé sur le sol à cause de l’inattention du jeune l'homme. Je décidais par la suite, voyant qu'il n'allait pas bien tarder à sortir, à prendre sa place sur le canapé pour jeter un œil sur la réaction engendré par cette acte. J'entendis ses pas ce diriger vers le salon, il venait juste de sortir, ses cheveux étaient encore trempés. Je me reculais dans le fond du canapé au fur et à mesure qu'il approchait sa main si grande par rapport à ma petite bouille animal.

Je venais de finir ma douche, je sortait de la salle de bain une serviette a la taille, les cheveux encore mouillé et je l'ai vu sur le canapé. Le chat noir au yeux vairon me regardait terrifié et reculais a chaque fois que je m'approchais pour lui caresser la tête, la main tendu vers lui et je compris qu'il ne voulait pas de caresse de ma part alors j’abandonnais et je partie m'habillé afin d'être plus a l'aise.
Lorsque je suis revenue, le chat avais disparue, il devais sans doute s'être échappé. Je soupirais avant de descendre dans ma cave, ou j'entreposait un tas de boite qui contenais des conserve en tous genre. Je me dirrigait vers le coffre du fond  et je l'ouvrit. a l'intérieur, il y'avais des souvenirs de mes parent et je commençais a pleuré. je vit une ombre passé par la petite fenêtre, elle semblait m'observé.
Je rangeai les souvenir et je remontais les marche de l'escalier, et il étais de nouveau sur le canapé en train de m'observé, mes cheveux avait séché et je tenté de le caresser une seconde fois mais j'ai eu autant de succès que mon première essai. Je me suis assis a côté de lui et je commençais a lui parlé.

"est bien..... tu est étrange comme chat, tu ne te laisse pas amadoué facilement..... regard tes camarade autours de toi, ils on tous été abandonné par leur maîtres respectif et je me charge de leur trouvé un nouveau foyer."

Je savais qu'il n'allait pas me répondre, il ma juste sortie un "miaou" avant de se baladé dans la pièce. il scrutais chaque recoin du salon avant de se remettre sur le sofa. Pendant se temps je me suis levée et je suis partie dans la cuisine, je commençais a me préparais a mangé. un steak saignant était en train de cuire dans la poile tandis que je préparais une salade, l'odeur du steak avais rapatrié toute la meute de chat et il commençais a m'encerclé. Je soupirais et mis un second steak a cuir avant de mixé le premier pour leur distribué.

Une fois tous nourrit je m'installait a table et je revue une ombre, beaucoup plus grosse que l'autre et elle se trouvait a l'intérieur de ma maison, qui était-ce? comment était t'il rentré? et que venais t'il faire ici?

Je pistais l'homme dans toute sa demeure, il n'avait pas pris conscience que je me situais quelques pas derrière lui. J’anticipais ses trajectoires et m’arrêtais devant une porte qui semblait être l'entrée de sa chambre. J’eus un sursaut quand celui-ci ouvrit la porte alors que je me trouvais toujours derrière elle. L'humain n'avait pas prêté attention à moi et avait dû me confondre avec les nombreux chats du logis. Il ressortait habillé et avait l'air surpris de ne pas me retrouver sur le sofa où il m'avait laissé. Dans le même instant je le vis se déplacer dans un endroit encore inconnue. Cela semblait correspondre à une cave et je ne voulais pas que le jeune homme se rende compte que je le surveiller. La cave étant un cul de sac, je pris la décision de faire le tour de la maison voir si il n'y aurait pas un vasistas, qui m'aurait permis de garder un œil sur mon inconnue. Par chance je ne mis pas longtemps à le trouver, l'homme était en train de fouiller dans un coffre, j'avais l'impression qu'il était pris d'une certain nostalgie, comme moi même je l'étais quand je me rappelais de mon passé. Quand il plia ses affaires je me dépêchais de courir sur le canapé là où il allait probablement jeter un œil en passant. Comme je l'avais deviné c'est ce qui se produisit. J'étais arrivée juste attend.
Il retentait alors de poser sa main sur moi. Mais il n'y parvint aucunement de nouveau.

L'homme commençait à me parler, moi qui semblais pour lui, être un simple chat. Il devait vraiment se sentir seul pour en venir à là. Il me faisait penser aux vieilles grands-mères dont la compagnie humaine se fait de plus en plus rare et qui, pour combler leur manque d'affection et de compagnie personnifie les petits animaux tel que chats et chiens comme si il s'agissait de leur famille. C'est ce que faisait cet homme exactement. Sauf que celui-ci était jeune. Cela était vraiment pathétique pour un homme de son âge et triste. Ces félins étaient-ils vraiment sa seule famille ? Lui au moins il en avait une, même si celle-ci ne pouvait lui répondre lorsqu'il s’adressait à eux, il avait tout de même l'impression que ces profiteurs auxquels il tenait tant, l'écoutaient sans le juger. Moi je n'avais personne. Et ce sujet humain devenait pour moi de plus en plus intéressant. Pour ne pas trahir ma véritable identité je ne pouvais que répondre par un simple miaulement aigu et bref.
Alors comme ça il leurs cherchait un nouveau foyer, je trouver ce geste réellement touchant. En outre terme l'homme avait crée une sorte de pensionnat pour chat.
Il se levait de nouveau apparemment il ne savait pas tenir en place...

C'est alors que je j'eus soudainement une idée, peut-être était-elle stupide, mais, j'avais follement envie de converser avec ce jeune adulte. Il se dirigeait vers la cuisine. Je parti quand à moi dans la salle opposé de celle empruntait par l’individu, j'entrais dans sa chambre et pris bien soin de refermer la porte derrière moi. C'est alors que je me métamorphosais en semi-humaine, cela commençait à faire un certain temps que je ne l'avais pas fait. Mon corps était dénudé, c'est pour cela que je n'avais pas voulu prendre le risque de faire cet transformation dans le salon. Mes cheveux avait un peu poussés ce qui me fis sourire bêtement. Par la suite j'ouvris son placard et me dépêcha de trouver quelques chose à me mettre sur le dos. L'homme était plus grand que moi. Et tout les vêtements que j'essayais, était ridiculement grand et surtout grotesque. C'est alors que je mis la main sur une chemise blanche, certes encore trop large pour moi, mais cela mirait pour l'instant.
Je laissais derrière moi le désordre que j'avais semé sur son lit.
L'odeur de la viande se laissait sentir jusque dans la chambre. Je passais ma langue rappeuse sur mes lèvre et me dirigea vers le salon. Je voulais attirer l'attention de l'Humain, je passa donc en courant devant l'entrée de la cuisine et allais me cacher dans un placard à proximité, en lâchant quelques ricanements enfantins. Je mis mes fines mains sur l'entrée de ma bouche pour me retenir de rire. La situation m'amusait et avait troublé l'état de calme dans lequel je me trouvais quelques secondes à peine.
Mon idée était la suivante : Je voulais au départ effrayer l'homme et le faire tourner dans tout les sens de sa maison avant de me montrer. Me reconnaîtrais-t-il ? Je ne sais pas je verrais bien après tout.
Je l'entendais se diriger dans ma direction, j'avais donc réussit à alerter son attention. Pour vu qu'il ne me trouve pas d'un coup... Sinon cela ne serait pas assez amusant à mon goût.
La porte du placard était ouvert d'un millimètre, pour que je puisse observer ses déplacements. Et si jamais il s’approchait de trop, je n'aurais cas reprendre mon apparence féline. Je le vis alors passer une première fois devant moi d'un pas lent. Peut-être avait-il peur de l’intrus qui rodait dans son environnement ? Intru n'étant rien d'autre que « l'étrange chat » que j'étais.

Je suis sortie de la cuisine et commençais a fouillé la maison, l'ombre que j'ai vue passé était trop grosse  pour être un chat. Je commençais par l'étage, il n'y avait rien dans la chambre d'amis et rien dans les cabinet. Ma chambre étais en vrac, se qui confirmé une présence non animale dans ma demeure. Mes vêtement jetée sur mon lit comme si on cherchais quelque chose. Je descendit en bas et savait déjà que personne n'étais descendu a la cave car je la ferme a chaque fois a clef. Il ne me restais plus que le salon et la salle de bain. La cuisine étais vide vu que j'y étais et il n'y avais rien non plus dans le salon, idem pour la salle de bain. il ne me restais plus que le placard, je me dirigeait vers celui si en constatant qu'il était entre-ouvert. j'ouvrit la porte rapidement et vu une jeune femme au oreille de chat, elle avait également une queue noir. Je vit quel portais ma chemise et n'avais rien en dessous.

"Bonjours vous êtes qui exactement ?" lui demandai-je d'un air étonné.

Je partie lui cherché des vêtement approprié, du moins un survêtement sportif pour quel ne reste pas a moitié nue. Son apparence féline me fit pensé a celle du chat de toute a l'heure mais je ne savais pas quoi penser. Comment été elle rentré chez moi ? Et pourquoi est elle nue ?
Tant de question auquel je ne peut répondre mais elle peut peut être elle.

"Je m'appelle Jack Stimer, et vous vous appeler comment vous? et comment êtes vous rentré chez moi? et surtout... pourquoi vous étiez nue?"

Je lui apportais également a mangé car j'entendais son ventre crié famine, qu'allez être ses réponse?

A mon plus grand désarrois l'homme avait finit par me trouver. Ma partie de cache cache était à présent terminée et une légère sensation de frustration m'avait envahis. Je ne l'avais pas vue ni même sentie arrivé, pourtant son odeur, bien qu'il fut été propre, n'était pas d'un grand plaisir à humer. J'avais probablement dû m'attraper un rhume ou autre pour ne pas y avoir prêté assez attention... Quoi qu'il en soit la porte s'ouvrit alors que j'étais recroqueviller dans cet espace obscure emplis de babioles inutiles en tout genre, ainsi que quelques vielles vestes où la poussière avait déjà commençait à s'installer. Sa réaction vive ne m'avait pas donner le temps à une quelconque autre métamorphose qui aurait garder l’anonymat de sa silhouette rôdeuse.
Bien que surpris, l'homme m'accosta en gardant sa politesse, je lui répondu par un mouvement de bras très agitée en signe de salut. En revanche je n'avais pas pris peine de répondre à la question qui suivit. Pour quelqu'un qui venait de découvrir une inconnue se baladant dans sa maison, le jeune homme était bien accueillant. Il alla chercher quelques choses dans sa chambre. Je n'avais pas eut le temps de faire quoi que ce soit que l'humain était déjà de retour avec un jogging deux fois trop grand, que j'enfilais tout de même d'un bon en prennent soin  de resserré la ficelle à mon maximum. Malgré que cela ne suffisait pas à le faire tenir et qu'il ne me restait plus qu'à entamé un mouvement répétitif pour remonter ce survêtement. Ce dernier me donner une apparence de sac à patate, mais à vrai dire cela n'était pas le cadet de mes soucis.

Le propriétaire des lieux finissait alors par ce présenter à moi. Puis déboulèrent de sa bouche une multitude de questions auxquelles ,cette fois-ci, je me décidais de répondre. Je lui adressais alors la parole pour la première fois.
« Enchanté, moi c'est Kimy » Lui annonce-je d'abord avec un large sourire.
Contrairement à se fameux Jack, je n'avais pas pris la peine d'indiquer mon nom de famille, je n'en voyais en effet pas la moindre importance, dû moins dans l'instant présent. Je lui présentais presque immédiatement mes réponses.  
« Si tu prenais la peine de fermer ta porte, peut-être que je ne me trouverais pas ici.» J'avais pris l'initiative de cesser le vouvoiement d'entré de jeux, pour créer un lien de familiarité entre nous deux.
« En fait j'ai vue que tu avais plein de chat et du coup je me suis permise d'entrer et quand je t'ai vue j'ai eu peur et me suis cachée dans se placard. » Bien entendue il s'agissait là d'une excuses totalement bidon, bien  que quelques éléments cependant avaient été repris de faits réels.

Une chose m'interpellais chez cet individu... La seule question qui l'intriguée réellement était la présence de ma semi-nudité... Bien que je sois tout de même recouverte d'une chemise opaque et bien longue, le voyeur avait vite remarqué que rien ne résidait en dessous. Il jetait d'un œil malsain mon corps.
« Je ne suis pas nue ! » Lui répondit-je d'un ton un peu grognon. Mon teint d'origine pâle commençait à prendre des rougeurs était-ce de la colère ? Ou un peut de ma timidité qui ressortait ? Quoi qu'il en soit je croisais mes bras pour cacher un peu se que Jack aurait pu voir...
« Je ne possède que peu d'argent, je vie en vagabonde et je possède donc pas grand chose pour me vêtir, c'est tout... » De nouveau j'avais modifié la réalité, certes j'étais une vagabonde, mais je possédais néanmoins quelques habits que je pouvais me mettre sur le dos. Hélas je les avais caché pour ne pas que l'on me les dérobent pendant ma période de métamorphose. Néanmoins un point ne concordé guère entre ce que j'avais dis et les fait. La chemise empruntée était belle et bien à Jack après tout... et cela il l'avait bien remarqué. J'espérais qu'il n'en eut pris compte de ce détail quand soudain mon ventre pris à son tour la parole et détourna la conversation principale. L'humain trop serviable m'apporta alors à manger. Il s'agissait de la bonne odeur que j'avais reniflé quelques temps plus tôt. Et à mon plus grand plaisir, celui-ci avait eut le temps de refroidir. J'hésitais un court instant à piquer le repas fortement alléchant du jeune homme. Puis finalement je me décidais à ne plus résister à la tentation. L'homme aux chats me regardait gober les aliments de mon assiette dans un silence presque parfait. Puis n'aiment vraiment pas ce long moment de pose j'interrompais le silence en posant à mon tour une petite question.  
« Tu n'as pas l'air si surpris que ça d'avoir une inconnue qui se caché dans ton placard, grand nombres de personnes de ton espèce auraient déjà appeler la police... Pourquoi ne l'as-tu pas fait ? »
J'attendais sa réponse avec impatience et je ressemblais probablement à ses nombreux enfants qui écoutent attentivement l'histoire que l'on leur compte avec de grand yeux rond ébahies sauf que moi j'avais en plus de ces simples gamins les oreilles dressaient pareillement que ma queue comme on le voit souvent chez les chatons.

"A vrai dire je suis très surpris, mais je me demande comment tu aurait pu passé par la porte alors quel est fermé a clé... mais si tu ne veux pas dire la véritè se n'est pas grave je ne porterais pas plainte"

Malgré mes envie de lui sauté dessus, ba oui je suis un homme, célibataire en plus donc si jamais vous voyez une fille nue dans votre placard vous aimeriez tous de même lui montré votre affection n'est-ce pas? Enfin bref. Je partie lui cherché le morceau de viande de toute a l'heure et le lui donné.
"Si jamais tu a faim mange" dit-je d'un ton amicale. Je regardais les chats a nos pied et la plupart des mâle se frottais contre elle. puis je la regardais dans se survêtement bien trop grand pour elle puis je soupirait.
"Attend moi la je vais te cherché de meilleur vêtement"
Je descendit dans ma cave et ouvrit le coffre, je pris des vêtement appartenant a ma mère lorsque elle étais Jeune et je les ais donné a la fille.
"Comme ça se sera a ta taille, et tu n'aura pas a tenir le pantalon désormais" Je me suis retourné le temps quel se change avant de commencé a parler.

"Donc tu est une vagabonde? Si cela te convient, tu peut rester ici, au moins tu aura un endroit ou te laver et ou tu aura à manger a ta guise, quand dit tu?"

Je la regardais dans les yeux une fois quel eu finie de se changer et attendais une réponse

Je ne m'attardais pas réellement sur le sujet. A vrai dire cela ne m'aurait probablement qu'enfoncé. Dans tout les cas j'étais bien présente sur les lieux et le fait que je lui ai menti n'avais pas vraiment l'air de le perturber..La seul chose qui le titiller était la présence non pas de l'inconnue que j'étais plutôt, mais celle d'un corps féminin chez lui... La situation était d'autant plus embarrassante pour moi. Mais comme il parti un moment, j’eus le temps de reprendre mes esprits. Il revint avec de trois vêtements mais du type féminin cette fois-ci. L'homme se retourna pour me laisser me changer mais  contrairement à lui moi je ne faisais pas totalement confiance aux inconnues surtout ceux qui me faisaient penser à un vieux cartoon, vous savez le loup du dessin animé qui fait les gros yeux en tirants la langue toute dégoulinante de bave avant de siffler la femme aux formes généreuses qui se trouve dans son champ de vision. Bref Jack à cette instant -après avoir eu le rôle d'un grand mère- occupé maintenant cette place dans mon esprit. Je me remis dans ma mauvaise cachette qu'avait été ce placard et j’enfilais la robe et les collants proposées par mon hôte. La robe était belle, malgré le fait qu'on voyait que celle-ci avait tout de même bien vécus. Elle n'était qu'un peu effilée par-ci par là, il ne suffirait que de quelques coups d’aiguilles pour qu'elle soit de nouveau comme neuve. Mon odorat affûtée, sentait sur cette robe rouge l'odeur de son ancienne propriétaire. C'était à mon goût un doux parfum bien que la poussière de celle-ci me monta dans les narines et me fis lâchait un petit éternuement.
Je sortie du placard et Jack me fis alors sa proposition. Ma réponse ne fut pas instantanée, il fallait avant tous que je pèse le pour et le contre. En fait je ne m'attendais en aucun cas à cette offre surtout en si peu de temps.
A vrai dire c'était moi qui avait choisie de vivre en vagabondage. Pour être libre... Mais j'avais eux pas mal d'ennuis ces derniers temps dans la rue... L'hiver commençait à se faire ressentir ,en plus de cela et je n'étais pas vraiment contre un bon matelas au chaud. Et rien ne m’empêcher de partir à tout instant... Jack malgré sa perversité avait l'air d'un homme bien gentil, du moins ce que j'avais pris le temps d'observer.
La fin de ma réflexion, je lui répondis avec un large sourire un ''volontiers'' avant de lui sauter dans les bras pour le remercier. Ce qui, je l'avoue,  m'étonna moi même... Un petit ronronnement sortie alors de ma gorge... En fin quelqu'un à qui parler dans cette ville.. Autre que les félins bien évidemment.