Avventura
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Message par Invité Mar 26 Aoû - 15:30

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Affrontement mortel



Après mon entrevue avec la louve, qui manifestement est la leadeuse ou du moins un des membres de haut rang au sein de l’organisation, et Bran je décide de ne pas me rendre directement dans leur repère. Elle m’a indiqué le chemin mais je ne pense pas qu’il soit bon de me montrer là bas tout de suite. Surtout que mon oreille saigne toujours et que la louve ne semble pas me porter dans son coeur. Voilà ce que je pensai le jour de mon recrutement. Maintenant cependant, mon onguent a fait son effet, mon oreille, bien que amputé d’une partie, se porte bien mieux. Je pense que je devrai me rendre dans le quartier général des renégats si je ne veux pas passer pour un traitre qui voulait juste savoir où les trouver. Je m’habille comme à mon habitude quand je n’enseigne pas, c’est à dire que je met ma tenue de combat japonaise qui me permet à la fois des mouvements amples sans pour autant m’entraver. Je monte sur le toit de ma maison et je saute dans le vide, mais avant de percuter le sol je me suis dissipé dans la ténèbres de la nuit et je suis la direction indiqué par la jeune femme. N’ayant pas de consistance physique il m’est très facile de traverser rapidement la forêt pour rejoindre les grottes. De plus sous cette forme je suis presque complètement indétectable, du coup on ne peut pas me suivre et je ne risque pas de trahir le secret de mon comparses. Heureusement qu’elle m’a indiqué la direction à prendre sinon j’avoue que jamais je ne l’aurai trouvé ce repère, et pourtant j’ai déjà pas mal vagabondé dans cette forêt.

Je pénètre le repère toujours dématérialisé et une fois à l’abri de tout regarde qui pourrait se vouloir indiscret je prends une consistance. L’un des membres des rebelles qui m’a vu apparaitre s’avance vers moi et m’indique que je dois rejoindre Bran dans la salle d’entrainement dès mon arrivé. Comment a-t-il pu savoir que ce serait aujourd’hui que je viendrai ? Je n’en ai jamais soufflé mot à voix haute, je n’étais même pas moi même décidé. Ils sont donc plus fort qu’ils n’en ont l’air, je ne doit surtout pas les sous-estimer. Le brave rebelle m’indique la direction de la salle d’entrainement vers laquelle je me dirige. Je croise plusieurs tête qu’il m’est arrivé de voir dans la rue sans jamais les soupçonner. Toutefois les regards qui me sont lancé ne sont pas tous anodin. Certains sont critique quand à ma tenue, d’autres simplement intéressé, et les dernier sont hostile. Je me doutai cependant que mon arrivé à leur repère ne plairait pas forcément à tout le monde. Je viens même de croiser un de mes élèves qui lui semble aussi surpris que moi de me croiser. Il me salut d’un mouvement de tête tandis que j’affiche toujours le même air ennuyé qu’à mon habitude.

J’arrive devant la salle d’entrainement qui semble assez spacieuse, et effectivement je trouve à l’intérieur Bran qui est en train de s’étirer. Il a sûrement du être prévenu que j’arrivai sinon pourquoi aurait-il commencé à s’échauffer ? Il semblerait que les murs ont des oreilles ici. Je vois beaucoup de gens qui passe devant la salle d’entrainement mais qui n’y pénètre pas car il y a marqué réservé dessus. Je pense qu’il veut que nous nous affrontions à nouveau, il n’a donc pas peur de subur d’autres dégats ? Muramasa va se régaler d’un peu plus de sang. Je m’avance alors vers lui d’un pas assuré et m’adresse alors à lui d’un ton égal qui est le mien :

“Vous vouliez me voir ?”

Mon ton n’est ni dur ni froid, simplement blasé. Une fois de plus j’emploi le vouvoiement par respect pour mon adversaire qui est valeureux. Je me demande ce qu’il me veut, bien que je pense que nous allons nous affronter de manière un peu plus sérieuse que la dernière fois. Mais ce passera-t-il si je le tue ou le blaisse gravement avec Muramasa ? Il n’aura aucune chance de s’en remettre. Si lui me tue je pense qu’il ne fera que faire plaisir à la louve, mais l’inverse risque de m’apporter pas mal de problème. tant pis après tout, si je dois le tuer je le tuerai.

Message par Invité Jeu 28 Aoû - 2:37

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Ma tante avait prit quelques vacances ce qui faisait que j'étais à présent seul dans notre appartement en ville. Appartement dans lequel, depuis, je passais le moins de temps possible. Et ce jour ne faisait pas exception aux autres ; toute la journée je l'avais passé à me promener dans la forêt sous ma forme humaine comme animale, à chasser lorsque j'avais faim, à dormir lorsque j'étais fatigué. Bref, je faisais ma vie tranquillement, profitant des joies de ma nature et de mon environnement. Puis lorsque j'eus finis et que l'après-midi fut bien entamé, je décidai de faire un tour dans la grotte qui servait de repère aux Rebelles. Elle était étonnamment bien cachée, de telle manière que les chances de tomber sur elle par hasard était plus infime que de celles de gagner au loto. Mais comme je voulais bien me le faire remarquer, certaines personnes parvenaient à gagner au loto, alors peut-être qu'un jour quelqu'un trouverait cette grotte. Et ce jour là, il y avait fort à parier qu'à l'inverse de la personne qui gagnerait au loto, le malheureux qui se retrouverait dans la grotte sans y avoir été invité serait la personne la moins chanceuse du pays. Il arrivait que même ceux qui y avaient été invités passent un sale quart d'heure, alors imaginez...A mon arrivée -toujours sous ma forme animale-, je me dirigeai directement vers les douches afin de laver le sang de la chasse qui maculait mon museau et mon poitrail et teintait mon pelage d'un rouge éparse. Les quelques membres qui étaient là me saluèrent d'un mouvement de tête simple et sans cérémonie. Comment me reconnaissaient-ils ? Eh bien j'étais le seul loup des Rebelles avec une telle envergure et un pelage blanc pur. Je m'étais déjà battu contre bon nombre des Rebelles qui reconnaissaient ma force et savaient que j'occupais un rang au sein de l'organisation, mais à part m'obéir et un respect poli, il n'y avait pas de traitement de faveur. La seule membre jusqu'à ce jour avec laquelle je m'entendais bien -et plus que bien même- était Leann. D'ailleurs, je flairais une trace de son passage ici dans les jours antérieurs, ainsi que celle de notre chef et il semblerait que nous accueillions aussi une nouvelle recrue vampire parmi nous dont je n'avais pas encore fait la rencontre. Sous ma forme animale je pouvais mieux décortiquer et trier les différentes effluves qui tapissaient la grotte.En parlant de nouvelle recrue, je ne flairais toujours pas en me promenant sur le chemin des douches l'odeur d'une nouvelle recrue dont Leann et moi nous étions occupés : Ryuku.

Cela faisait déjà quelques temps que je n'avais plus aperçu le démon samouraï ni en ville ni nulle part ailleurs. Il fallait dire que je n'avais pas non plus cherché à le trouver. Ce n'était pas très amusant de chercher une odeur en ville parmi des centaines de milliers d'autres, surtout sous forme humaine. Fallait dire que je n'allais pas non plus parcourir la ville sous l'apparence d'un gros loup, ou même me baisser au sol pour renifler le sol afin d'obtenir une piste plus facile à suivre. Cependant, alors que je reprenais forme humaine pour me doucher, je repensai à notre première rencontre et à l'affrontement qui s'en était suivi, à la cicatrice qu'il m'avait laissée, et à notre promesse d'une nouvelle bagarre. Et j'avais le pressentiment que ce soir, nous allions remettre ça. Une intuition -mon instinct peut-être ou je ne sais quel autre chose- me dictait qu'il allait se montrer ce soir. Je ne savais pas d'où me venait cette certitude, mais elle brûlait dans mes veines, accompagné du frisson de l'excitation. C'est donc après ma douche que j'enfilai un linge de rechange et me dirigeai vers l'entrée du repère. Je m'adressai à quelques membres qui se trouvaient là, leur offrant la description du démon japonais et leur expliquant par la même occasion que c'était une nouvelle recrue. Si ils l'apercevaient, ils devaient lui délivrer un message de ma part lui disant de me rejoindre à la salle d'entraînement. Puis se faisant, j'attendis patiemment la tombée de la nuit et me dirigeai vers la salle d'entraînement. J'avais passé la plus grande partie de la journée sous forme de loup, et donc je décidai de procéder à quelques étirements afin de reprendre contact avec tous mes muscles sous forme humaine. Après quelques temps -peu de temps à vrai dire- j'entendis un des gars à l'entrée hausser la voix. J'entendis mon prénom et je sus que mon invité était arrivé. Je terminais tout juste mes étirements lorsque j'entendis ses pas et perçus son odeur se rapprocher. Il pénétra dans la salle et m'adressa la parole du même ton monocorde et inexpressif qui avait tapé Leann sur les nerfs.

-Effectivement, je t'attendais. Lors de notre première rencontre je t'avais promis quelque chose, il est peut-être temps que nous nous y mettions non ?

Le regardant directement et inspirant son odeur, je devinai qu'il avait du voyager dans les ombres de la nuit pour se rendre ici car je ne flairais sur lui ou ses semelles aucune odeur de végétation, de terre, ou une quelconque trace de son passage en forêt. Il avait adopté une de ses tenues amples qui semblaient à la fois souples et confortables, et un air ennuyé. Je jetai un rapide coup d'oeil à son oreille qui semblait avoir guéri bien qu'il lui manquait toujours une partie du lobe. Et je m'abstins de faire tout commentaire à ce propos. Peut-être avait-il envie de tuer Leann pour cette cicatrice qu'elle lui avait laissé ? En même temps je me rappelais qu'elle l'avait fait car ce dernier m'avait lui aussi laissé une marque indélébile sur le torse. Avais-je envie de le tuer pour cela ? Un peu, mais pas par vanité pour ma belle peau. Uniquement parce que mon loup et ma part humaine compétitive et battante désirait une revanche. Le prix du sang ça vous disait quelque chose ? Mais je ne l'avais pas invité ici pour un combat à mort. Je ne comptais ni le tuer, ni l'estropié. Il restait un élément des Rebelles et ses capacités -entières- étaient utiles pour nous. De même, je ne tenais pas à revoir Muramasa ou même flairer son odeur : je n'étais pas sur de pouvoir gérer le loup à l'intérieur si je me retrouvais à nouveau face à cette lame et l'affrontement prendrait surement une tournure...mortelle. C'est pour cela que je repris la parole.

-Comme tu l'auras compris je veux t'affronter une seconde fois. Mais j'ai quelques règles pour cet affrontement, fis-je en le regardant avec un sérieux tout relatif. Du sang peut-être versé, mais la mort ne doit pas frapper, ni même pointer son nez. Les armes sont autorisées, mais l'argent n'est pas toléré. Pas d'estropiage ou ça sera le carnage.

C'était dit de manière quelque peu chantonnant, poétique, mais le message était là : Muramasa n'était pas la bienvenue, ainsi que toutes blessures graves voir mortelles. Il y avait quelques armes, alors peut-être trouverait-il un sabre qui lui conviendrait. Ou peut-importe.

-Si il y a quelque chose de mortelle pour les darkness comme l'argent l'est pour nous, fais m'en part. Si tu as des questions aussi. Autrement...nous pouvons commencer quand bon te semble.

Je ne lui avais pas vraiment demandé si il acceptait cet affrontement ni les règles qui allaient avec, mais quelque part j'étais presque aussi sur qu'il accepterait les deux tout comme j'avais été sur qu'il viendrait ce soir. Des fourmis me démangeaient les membres.

Message par Invité Jeu 28 Aoû - 12:07

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Affrontement mortel



Une fois arrivé à l’entré de la grotte des rebelles que je n’aurait jamais trouvé sans les indications de la louve je me rematérialise devant ce qui semble être des gardes. Je ne sais pas comment ils ont été désigné pour garder l’entrée mais une chose est sûre, jamais je ne ferai ça de moi-même. Cela doit être d’un ennui mortel, je préfère que l’on me confie de tuer des ennemis puissants. D’ailleurs plus ils sont puissant mieux c’est. Le garde m’indique que Bran m’attends dans la salle d’entrainement. Je ne sais pas comment il a fait pour savoir que je viendrai ce soir, toujours est-il qu’il m’attends dans la salle d’entrainement semblerait-il. Le garde m’indique la direction et je commence à naviguer à travers les galeries souterraine. Il semblerait que des chambres aient été aménagé ici afin que les rebelles puissent y loger. C’est bon à savoir si je rentre blessé d’une mission. Il y a également une infirmerie, mais cela ne m’est d’aucune utilité il n’y a que peu de blessure que mon onguent n’est pas en mesure de soigner, et sans doute plus rapidement que tous les médicaments que l’on peut trouver dans le commerce. Si le loup tient à me voir dans la salle d’entrainement je suppose qu’il veut que nous ayons notre combat comme promis, rien de tel pour me mettre de bonne humeur. Une fois arrivé sur place je m’avance vers lui tout en étudiant les lieux. La salle est vaste mais bien trop éclairé à mon goût, la première chose que je devrai faire c’est éclaté une ou deux ampoules afin de profiter de l’obscurité, c’est ma meilleure arme hors mis le sabre démoniaque Muramasa. Je fais savoir au lycan qu’il m’a convoqué et il me le confirme en répondant alors :

-Effectivement, je t'attendais. Lors de notre première rencontre je t'avais promis quelque chose, il est peut-être temps que nous nous y mettions non ?

Voilà qui est intéressant, un combat contre cet homme au meilleur de ses capacités, mais s’il ne fait pas attention il pourrait bien perdre la vie, ou pire un membre ou deux qui l’empêcherait alors de combattre. Oui pour nous combattant une vie sans combat est pire que la mort. Je préfèrerai mourir que de me trouver dans l’incapacité de mener un combat. C’est la raison de mon retour, pouvoir affronter des adversaires tous plus fort les uns que les autres. Et maintenant que j’ai des pouvoirs je suis en mesure d’affronter n’importe quelle créature contrairement à mon vivant ou même combattre un vampire était difficile. Sans que je ne puisse rien dire le loup revient à la charge en reprenant d’une voix mélodieuse et totalement inapproprié à ses propos :

-Comme tu l'auras compris je veux t'affronter une seconde fois. Mais j'ai quelques règles pour cet affrontement. Il reprends alors un air sérieux avant de reprendre. Du sang peut-être versé, mais la mort ne doit pas frapper, ni même pointer son nez. Les armes sont autorisées, mais l'argent n'est pas toléré. Pas d'estropiage ou ça sera le carnage.

Ainsi il ne tient pas à se retrouver face à Muramasa une seconde fois ? Je peux le comprendre, ce ne doit pas être facile pour un lycan d’affronter non seulement une arme démonique mais forgé dans l’argent de plus. Je n’ai pas le droit non plus de le tuer ou de le blesser trop gravement. Voilà qui devient tout à coup beaucoup moins intéressant. Si je ne peux pas me servir de Muramasa je vais devoir me munir d’un autre sabre. Je constate que sur le côté de la salle il y a plusieurs armes qui pourrait convenir. Toutefois je pense qu’avertir le lycan serait une bonne chose. Mais avant de pouvoir prendre la parole il me coupe l’herbe sous le pieds en me disant :

-Si il y a quelque chose de mortelle pour les darkness comme l'argent l'est pour nous, fais m'en part. Si tu as des questions aussi. Autrement...nous pouvons commencer quand bon te semble.

Non à part les rayons du soleil qui pourrait m’affaiblir ou le présence d’un lightness je n’ai pas grand chose à craindre. sans lui répondre toujours avec mon air ennuyé je fait apparaitre Muramasa que je vais poser non loin de l’armurerie, puis en m’exprimant en japonais je fais mes excuses à mon sabre, je vais ensuite choisir le sabre le plus proche au niveau de la taille que mon arme de prédiléction. Je jauge cette dernière, je fais quelques mouvement avec puis je la choisi, je me muni alors de son fourreau qui pourra m’être utile, on ne sait jamais. Je retourne vers Bran et maintenant que je le regarde dans les yeux je lui dit alors :

“Ca ira, mais vous devez tout de même savoir une chose, Muramasa est un sabre démonique, il n’y a que celui dont il a reconnu la valeur qui est capable de rentrer en communion avec lui et ainsi de le manier comme s’il faisait partie de lui même. Toutefois Muramasa est composé d’argent, ce qui le rend un peu plus lourd qu’une arme en acier, alors même si je ne ferai que manipuler ce sabre il me rendra infimement plus rapide que lors de notre dernier combat, et cette fois-ci je n’était pas au maximum de ma vitesse.”

Je marque une pause afin de laisser à mon interlocuteur le temps de percuter sur tout ce que je viens de dire. Mais en précisant également que Muramasa est une arme démonique je décourage ceux qui nous regarde depuis l’extérieur de tenter quoi que ce soit pour me le voler. En même temps si cela arrivait, et s’il essayait de l’utiliser, Muramasa les viderait de leur énergie vitale et reviendrait vers moi dès que je l’invoquerai, car je suis le seul à avoir gagné le droit de l’utiliser, la lame m’a reconnu comme son Maître. Je fais encore quelques mouvements avec ma nouvelle arme afin de m’habituer à son comportement et enfin je me met en position de combat. Je regarde mon adversaire toujours en ne laissant paraitre absolument aucune émotion, pourtant tout mon corps jubile de ce combat imminent. Je reprends la parole alors :

“J’essayerai de ne pas vous tuer, mais dans le feu de l’action je ne peux rien promettre”

Je m’élance alors vers mon adversaire à une vitesse beaucoup plus rapide que lors de notre précédent combat mais avant d’arrivé à porté je donne un coup au sol pour atteindre les lumières se situant plus haut et d’un seul coup de sabre j’éclate toutes les ampoules de l’un des lustres. Maintenant la salle est à moitié dans l’obscurité et à moitié dans la lumière. J’attéri derrière mon adversaire qui c’est déjà retourné, je me place face à lui et lui dit alors :

“Cette fois nous pouvons commencer”

Message par Invité Dim 31 Aoû - 1:04

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Un combat à mort était quelque chose de réellement excitant, de même qu'il y avait cette décharge d'adrénaline constante et exaltante. Sans compter qu'il était très frustrant de laisser un adversaire vivant alors que cette montée d'adrénaline et de violence était bien ancrée dans le sang, mais je me satisfaisais avec la pensée que si je ne le tuais pas maintenant, je pourrais encore l'affronter une fois prochaine. Oh parfois, même certains adversaires puissants ne méritaient pas de vivre, surtout si ceux-ci -par exemple- menaçaient des personnes qui m'étaient chères ou la cause nécessaire pour laquelle je me battais. Cependant, dans ce cadre précis, garder mon adversaire en vie permettrait à ma bonne cause de pouvoir atteindre plus surement son but. Lorsque je commençai à parler, je vis que mon interlocuteur se rappelait effectivement de cet promesse et, comme je ne vis aucun signe de négation dans son expression, j'en déduisis qu'il était d'accord avec moi que le moment était enfin venu. Il écouta alors mes règles sans prononcer le moindre mot, même si je voyais bien qu'il y avait quelque chose qui l'embêtait un peu. Etait-ce le fait de devoir se séparer de Muramasa, ou le fait de ne pas pouvoir tuer qui le froissait ? Ou était-ce ce mélange des deux ? Surement. Je ne pouvais faire beaucoup de déductions, mais avec le peu que je connaissais sur lui, j'étais presque sur qu'il regrettait plus de devoir s'abstenir de me tuer que de sortir son sabre mystique. Il écouta le reste de mes paroles et lorsque vint le moment pour lui si il avait quelconque question ou revendication, il persista à garder son silence et se dirigea vers une table quelque part. Son épée démoniaque sortit de l'ombre et il vint la poser sur la table près de l'armurerie. Il murmura quelques mots à son sabre dans une langue étrangère que je reconnus comme étant du japonais (pour avoir regardé de nombreux mangas).

Il se dirigea ensuite vers un des sabres que contenait l'armurerie et en choisit un qui faisait à peu près la même taille à vue d'oeil que Muramasa. Il fit quelques mouvements avec, puis pris son fourreau. Il avait choisi. Mais avant de commencer le combat il prit à son tour la parole. Il m'expliqua que du fait que Muramasa était en argent, elle pesait plus lourd qu'une épée de même longueur faite d'acier et qu'il serait ainsi plus rapide. Sans compter qu'il n'était pas au maximum de ses capacités la dernière fois. Ça tombait bien car moi non plus. Peut-être qu'aujourd'hui nous allions voir ce que ça donnait. Oh certes il avait fait preuve d'une certaine vitesse la dernière fois, mais j'avais aisément été capable de suivre ses mouvements. Nous lycans étions l'espèce supérieure en ce qui concernait le physique pur. Les vampires étaient certes légèrement plus rapide que nous lorsque nous étions sur deux pieds, mais la différence n'étais pas énorme d'autant plus que j'avais un don pour anticiper les mouvements de mon adversaire. Et si jamais il s'avérait très bon comme je m'y attendais, je passerais sous forme animale et lui montrerais à quel point nous étions forts, nous lycans. J'acquiesçai donc à ce qu'il venait de dire. Le fait de savoir que son sabre était démoniaque -je l'avais deviné- et manipulable que par lui même ne m'étais pas d'une grande utilité. Je ne comptais pas toucher son sabre et encore moins l'emporté avec moi, et je pense qu'il le savait. Cependant il y aurait peut-être d'autres intéressés à porter d'oreilles qui auraient été découragés par son annonce. Il marqua une pause et reprit, et sa seconde phrase ne put m'empêcher de me faire sourire. Il ne promettait pas de ne pas me tuer dans le feu de l'action ? Il n'avait pas de soucis à se faire, je pourrais y veiller par moi-même. Bien que c'était d'une légère arrogance, je préférais prendre cela comme une annonce préventive plutôt que de l'arrogance pure. Et suite à cela il s'élança vers moi.

-Ce ne serait pas intéressant alors, si tu étais au maximum de tes capacités la dernière fois. Et ne t'inquiète pas pour moi.

Il allait vite, mais je n'avais aucun mal à le suivre des yeux. Je reculai le pied droit et fléchis les jambes pour bien m'asseoir sur mes appuis, attendant le moment de l'impact. Mais au lieu de cela, il sauta au dessus de moi et visa les lampes qui éclairaient la salle de l'entraînement et les brisa d'un coup d'épée. Bon....il aurait pu les éteindre avant de commencer, ça aurait évité qu'on en rachète d'autres. Et je ne pense pas que je l'aurais arrêté si il avait décidé d'aller tranquillement les éteindre. Je n'étais pas aveuglé dans le noir en raison de ma nyctalopie -pas aussi performante que celle des vampires mais tout de même suffisante pour me permettre de voir dans le noir. Mais cela me donna un renseignement sur ses capacités : si il avait éteint les lumières c'est qu'il ne pouvait se battre pleinement qu'avec l'absences de celles-ci. Car il savait de notre premier combat que je voyais dans le noir. Si il avait éteint les lumières, c'est que cela lui était profitable à lui. Cela faisait déjà un point faible pour les darkness : la lumière. En même temps cela aurait pu paraître logique étant donné qu'ils étaient des créatures de l'ombre -aussi littéralement que possible. Et donc la lumière devait affecter sa capacité à se déplacer dans les ombres comme il aimait à le faire. C'était bon à savoir. Mais je ne comptais pas le battre sur ses points faibles ce soir, mais sur ses points forts. Me retournant vers l'endroit où il allait atterrir avant qu'il ne touche le sol, je le fixai. Il m'annonça alors que nous pouvions commencer. Souriant, je fonçai sur lui sans ménagement. Je fis une glissade dans l'expectative de faucher ses pieds, puis je me relevai en une fraction de seconde sans le perdre des yeux grâce à la puissance de mes membres et repartis vers lui pour lui asséner un coup de poing. C'était une entrée en matière un peu hasardeuse mais tant qu'à faire.

Message par Invité Lun 15 Sep - 2:42

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Affrontement mortel


Devoir me séparer de Muramasa le temps d’un combat ne me plait pas vraiment, après tout le sabre démonique et moi-même sommes un tout. Cependant je comprends que le Lycan ne veuille pas se frotter une seconde fois à cette arme redoutable. Malheureusement pour lui je suis tout aussi bon avec un sabre quelconque. Il y a pas mal d’arme intéressante dans cette armurerie. Je remarque aisément que je sais me servir de chacun d’elle, aussi bien des fléaux que des haches à deux mains. Mais évidemment ce que je maitrise le mieux c’est le sabre. Je suis d’ailleurs surpris qu’il possède des sabres japonais dans cette armurerie, mais bon au moins ça me permet de me servir d’une arme que je maîtrise parfaitement. Je me place face à mon adversaire toujours impassible et je lui explique alors les particularités de Muramasa. Je me doute qu’il ne tentera pas de me le voler, mais nombre des rebelles ont sans doutes entendu parler des pouvoirs caché des armes Muramasa, de fait je préfère qu’ils sachent tous que tenter de me voler mon arme les conduirait vers une mort certaine. Après quelques manipulation avec l’arme de substitution qui elle ne pourra pas blesser définitivement mon adversaire comme l’aurai fait Muramasa, je suis prêt à affronter mon adversaire.

Je me place alors devant lui et après lui avoir dit que je ne suis pas sûr de pouvoir l’épargner dans le feu de l’action, et ceux même si je n’ai pas d’arme en argent, je m’élance vers lui à grande vitesse même si je ne suis pas à fond. Je m’élance au-dessus de lui afin d’éclater les ampoules du lustre et de plonger la salle dans une demie obscurité ce qui me laissera le loisir de me fondre dans les ombres ce qui est un atout non négligeable. Et je ne le fais que pour ça car je sais que mon adversaire n’a aucun mal à voir la nuit, même si sa nyctalopie est moins performante que celle des vampires ou celle des Darkness. J’atterri alors derrière lui mais il me fait déjà fasse, il me dit quelques mots sans doute pour me prévenir qu’il espère justement que le combat sera intéressant. Il me signifie aussi que je n’ai pas à avoir peur de le tuer il veillera sur lui tout seul. J’aime beaucoup son attitude je sent que ce combat va être épique.

Il se lance alors vers moi en faisant un pas glissé afin que je l’évite et qu’il puisse m’administrer un coup de poing. Je vois clair dans son jeu et j’esquive chacune des deux attaques sans mal, il ne doit pas oublier que je suis un expert en art martiaux. Des tactiques aussi basiques ne marcheront pas aussi facilement. C’est maintenant mon tour de l’attaquer et je m’élance donc vers lui sans pour autant augmenter ma vitesse, mais quand j’arrive à la hauteur pour lui porter un coup je disparais dans les ombres et je me retrouve derrière lui, je reproduis l’opération plusieurs fois afin de totalement le déstabiliser et effectivement j’arrive à lui porter plusieurs coups de sabre qui le blesse un peu partout mais chacune des blessures se referme aussitôt. Mais quelque chose est étrange on dirait qu’il ne cherche pas plus que ça à esquiver mes attaques et c’est alors quand je m’y attends le moins que son poing me percute et me projette au fond de la salle. J’essuie le sang qui coule de ma lèvre et je souris. Mon rythme de combat est resté le même tout le long de mes attaques, c’est une erreur de débutant et comme mon adversaire à réussi à se fixer dessus il a pu mettre fin à mes attaques. Heureusement pour moi comme les grands guerrier je suis capable de changer mon rythme de combat et de ce fait de déstabiliser mon adversaire. Mais Bran comme moi savons que pour le moment nous ne faisons que nous échauffer.

Les choses sérieuses vont commencer, et c’est là que tout cela deviendra très intéressant. Nous continuons pendant encore un long moment à chacun notre tour jouer un tour à notre adversaire. Nous sommes tout deux déterminés et à la surprise générale pendant notre affrontement j’ai un grand sourire sur les lèvres. L’amour du combat surtout avec quelqu’un d’aussi fort que ce loup ne gâche absolument rien. Bran est aussi fort que moi pour le moment et aucun de nous n’arrive à prendre l’ascendant sur l’autre. Seulement si nous continuons comme ça sa condition physique prendra le dessus sur la mienne. Je ne suis pas sot et je sais que même avec tout l’entrainement du monde je ne pourrai jamais tenir la cadence contre un Lycan ou même un vampire. Ces créatures ne ressente que peu de fatigue contre aucune pour les sangsues. Il va donc falloir passer aux choses sérieuses et c’est pourquoi petit à petit j’accélère ma vitesse et ma force et je vois bien qu’il commence à avoir du mal à me suivre. Sans ses dons pour l’anticipation de mes mouvements il serait déjà dans un état lamentable. Seulement maintenant c’est lui qui commence à monter en cadence afin de rester à niveau pour ne pas se laisser submerger par mes attaques.

Nous nous faisons face maintenant, du sang coule de ma lèvre, lui aussi à quelques marques de sang sur son corps mais ses blessures sont toutes refermées. La capacité de guérison des loups est impressionnante. Nous nous regardons toujours, un sourire béat sur mes lèvres et nous commençons à marcher en cercle en respectant une distance de sécurité et je lui dis alors :

« Et si on passait réellement aux choses sérieuse ? »

Message par Invité Lun 15 Sep - 22:57

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Je n'étais pas très fan des combats avec des armes, mais cela pouvait pimenter le combat dans le cas ici présent. A mains nues, il avait beau être rapide, il ne rivaliserait pas avec notre force brute à nous les lycans. Mais dans tous les cas, la différence de vitesse ou de force n'était pas assez grande pour que cela soit réellement décisif dans un combat comme le notre. Il n'en était pas moins qu'à mains nues, je pouvais aisément penser que j’étais surement meilleur que lui. Et si ce n’était pas le cas, cela rendrait les choses que plus intéressantes comme dit plus haut. L’affrontement allait commencer, et après quelques palabres échangées les hostilités commencèrent. Après avoir explosé l’ampoule du plafond, la seule qui éclairait un tant soit peu la pièce, cette dernière fut plongée dans une semi-pénombre qui devait dans tous les cas lui être profitable. Autant que faire se peut, pourquoi ne pas l’affronter en pleine possession de ses moyens, il n’aurait ainsi pas d’excuses si jamais la défaite venait à frapper à sa porte. Je ne disais pas avec certitude que je gagnerais, ni que je perdrais, seul l’avenir nous le dirait. Mais je ne comptais pas perdre contre cet homme bizarre. Et quelque part, l’obscurité m’était bénéfique à moi aussi tout compte fait, car contre un adversaire comme celui-là la vision était quelque chose de tout à fait illusoire. L’obscurité me permettrait ainsi de me focaliser plus facilement sur mes autres sens. Alors qu’il retombait supposément dans mon dos, je me retournai afin de lui faire face et de contre-attaquer à mon tour.

Ma glissade ne rencontra bien évidemment que l’air, et me relevant rapidement, j’enchaînai par un coup de poing qui, encore une fois, ne rencontra que le vide. C’était une petite ruse connue et facile à esquiver, mais je prenais toujours le temps de tester mon adversaire au début d’un combat même si je l’avais déjà rencontré auparavant. Cela me permettait de connaître un peu le rythme de mon adversaire et de m’échauffer par la même occasion. Et je devais avouer que le timing de ses esquives n’était pas mauvais. Puis ce fut son tour de m’attaquer alors que je me retournais pour lui faire face. Il fonça vers moi, mais comme je m’y attendais, une fraction de seconde avant qu’il ne frappe il disparut dans l’obscurité. Et commença alors son petit tour de passe-passe quelque peu agaçant mais auquel je m’y attendais. Il disparaissait et réapparaissait, m’assénant entre temps des coups d’estocs. Je savais à quel moment il réapparaissait grâce à mes sens et j’aurais pu éviter les entailles, mais esquiver totalement ses coups m’auraient empêché de contre-attaquer et mettre fin à son petit jeu. De plus, les petites entailles que je lui laissais m’infliger afin de me synchroniser à son rythme –régulier donc facile à anticiper - guérissaient presque aussi vite qu’ils apparaissaient. Après quelques secondes d’adaptation et que j’avais trouvé le bon timing, je posai ma contre-attaque. A peine se fut-il re-matérialisé que je ne lui laissai pas le temps de contre-attaquer et lui décochai un coup de poing qui l’envoya valser tout en faisant saigner sa lèvre.

Un petit sourire effleura mes lèvres, un sourire qui ne tarderait pas à s’accentuer avec l’excitation et la joie du combat. Car tout comme ma petite ruse du début, je savais que mon adversaire ne s’y était pas encore mis sérieusement. Cela pourrait paraître plutôt violent pour certain, mais nous étions toujours au stade d’échauffement, de période test ou l’un comme l’autre testions notre adversaire afin de prendre correctement le rythme du combat. Nous continuâmes nos petits jeux encore quelques secondes voir quelques minutes, pendant lesquelles quelques coups pas très sérieux étaient en train de s’échanger. Certains portaient, d’autres non, et des deux côtés il était clair que nous nous amusions plus qu’autre chose. Un large sourire pouvait à présent se voir clairement sur mon visage, et à ma très grande surprise c’était aussi le cas pour le démon qui me faisait face et qui n’avait jusqu’à présent montré aucun signe d’émotion quelconque. Des frissons de plaisir parcourraient mon épiderme comme des courants électriques alors que je me contenais pour augmenter la cadence. Mais alors que ces pensées me traversaient l’esprit, je remarquai au fur et à mesure que la cadence de ses coups ainsi que la force qu’il y mettait augmentait progressivement, et d’abord surpris par ces changements il commença à prendre l’avantage. Mais petit à petit à mon tour, j’augmentai mon propre rythme afin de suivre le sien, et se fut comme une libération. Je sentais enfin mes muscles se délier, s’éprouver face à cette nouvelle épreuve, et je me sentais en vie de manière la plus exquise qui soit : sentir chacun de ses muscles en actions, éprouvant cette sensation enivrante de force et de rapidité sans pour autant en finir en quelques secondes. La dernière personne avec qui j’avais ressenti cela était un certain « Danou » de son surnom, un loup qui était décédé et était revenu à la vie grâce à l’invocation d’une darkness du nom de Nahelle.

Un long moment plus tard, alors que je ne transpirais même pas encore, nous nous arrêtâmes de bouger rapidement afin de se regarder face à face et tourner en un cercle parfait qui respectait notre distance mutuelle de sécurité. Une distance sur laquelle lui comme moi étions capable d’esquiver n’importe quelle attaque venant de l’adversaire. Je n’étais pas le moins du monde essoufflé et j’aurais pu continuer ainsi pendant des heures presque littéralement. Notre endurance était l’un de nos atouts. Mais je doutais que ce n’était pas son cas à lui, et je ne comptais pas l’épuiser avant d’avoir pris connaissance de tout son potentiel. Sa lèvre saignait, quant à moi des marques de sang maculaient mon corps mais les quelques entailles qu’il m’avait infligées s’étaient déjà refermées. Seul un petit fourmillement persisterait encore quelques secondes avant de s’estomper. Lui par contre n’aurait pas cette chance si je le touchais avec mes griffes ou mes crocs par exemple. C’est alors que mon adversaire m’adressa la parole. Passer aux choses sérieuses ? Mon sourire s’agrandit encore – si c’était possible - et j’acquiesçai.

-J’en conviens. J’attends donc de ta part que tu fasses de même. Je tiens à te préciser, je ne te ménagerai pas.

Et sans attendre de réponses, mes yeux virèrent au doré et le changement s’opéra. Pour la plus part des lycans, le changement prenait au moins quelques secondes, voir plusieurs minutes pour certains. Le mien ne durait qu’une seule seconde. Seconde durant laquelle ma forme de loup explosait presque littéralement à travers celle de l’humain pour pouvoir s’exprimer. Je l’avais fait au cours de ma vie des milliers de fois, tant et si bien que ce processus était devenu naturel et pratiquement indolore. Une seconde j’étais un adolescent d’1m80 aux cheveux et aux yeux noirs, la seconde d’après j’étais un loup blanc d’1m50 aux yeux doré tout en muscle et en fourrure. Attendant que lui aussi prenne sa forme démoniaque dont je me rappelais très bien, je démarrai les hostilités. Avec ma forme de loup, je n’étais peut-être plus capable de tenir des objets ou même d’être aussi habile qu’un bipède, mais j’étais à présent au maximum de ma force et de ma vitesse. M’élançant rapidement vers mon adversaire, je fonçai droit sur sa jambe tentant de la mordre avec mes crocs sans pour autant la saisir. Mon nouvel afflux de vitesse et de puissance me permis d’être sur lui en deux foulées rapides. Mon but n’était pas de le tenir, mais de déchirer le muscle de son mollet tout en passant sur le côté. Je m’arrêtai donc pas et terminait ma course quelques mètres plus loin tout en me retournant vers lui.

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