Un soir mauvais et une rencontre entre être magique ... Super ! [ Pv : Lisa ]

Je me sentais mal se soir, les bruits et les images du passé venait me hanter, j'avais besoin de me détendre ... Mais pas franchement de la meilleur façon ... Si Brown me voyait là ... Là où ? A oui pardon ! J'étais là, assis au bar, à boire. Boire, boire et reboire. Mes plus lointains souvenir ne voulant plus quitter mes pensais, j'entendais les amis rire autour de moi, les couples s'embrasser et les poivreaux chanter n'importe quoi ... Je ne devrais pas être là pourtant j'y étais, je buvais à m'en faire exploser la cervelle, mais je tenais plus tôt bien l'alcool, j'étais pas encore bourré. Bon, okey ! Un peu. Mais je tenais encore debout, et mes idées étaient claire.

Ma tête se mit à bourdonner après mon ... Je ne sais plus qu'elle verre, à se moment, je lève les yeux sur le bar, tout le monde hurler et bouger, me laissant dans mon mal de crâne, je laisse l'argent près du bar et l'un des serveurs ou même le chef du bar, j'en sais rien quoi, vient récupérer l'argent. Dans la grande animosité du bar, je repère un femme ou ... Une jeune fille. Je ne sais pas très bien ... Ma vue était complétement détruite, je prends mes affaires et quitte le bar, bizarrement, mon mal de crâne descendit d'un grand pas en fur et à mesure que je m'éloignais du bar.

Je marchais de plus en plus droit, et voyais de mieux en mieux, l'alcool était peu nocif et avait pendant peu de temps de l'emprise sur moi. C'était même pratique ... Je marchais donc doucement, pour ne pas me brusqué. Soudain, une odeur de sang me vint au nez. Je m'arrêta et eu envie de vomir, Brown m'avait décrit l'odeur des vampires, elle n'était pas nauséabonde dans sa description, mais après les verres but, c'était vraiment, nauséabonde ! Je vacille mais reste droite, je me retour et vois derrière moi, la femme que j'avais aperçus dans le bar quelques secondes avant. J'attrape une fléchette empoisonner, mais dans la rapidité de mon mouvement, je perds l'équilibre et me rattrape de peu à un poteau, faisans comme si de rien était, je cache ma fléchette et me redresse temps bien que mal.